230 LIVRE DEUXIÈME.
donne la facette pour l’articulation; dé la mâchoire inférieure.
La face des poissons est enrichie en outre de deux appa* *
comme Isugraiide, et feïlDb^pide.^ntéri^ar'ga^'fie l’aile, orî^ijre, : el&£?. çpj’il
fait ‘de mon frontal anterieur Jcne; appartenan^c' dtr’l^T O |^ ê, çt qu’il q $ y or;te
le pqsteneur' aiî temporal, et préopercù^jet le jÿgal l,*? B?r^ f
articulaire-dû 5 em S & |;‘enfin , en pom-fnlnt uns lui
paraissent?rëçsîplaeâ Te^iïgal! Il fa it^ à leu r^ trè s-b ien remarquer à quel„(p o |n til
ÿçn faut qaepè nombi e <b.s biucqs sml, constant, soit
appareils latéraux. Il riq.,parle pas des joit^ccs iwuii Us. ifeTTopercuIe. ~-
^Enftn^M.' G to f f jû j f è n ^ f é jY a , en!j82~^ et À&lërroipai ^ ile sw d e
la UHe jl^s MijWHi v ,d u ln s m ï ceux des jM.QfflSfotly111 1T.jSU.iiI oeernw^f^ucoum
plus tô tj et|à^A^.quels i 1 ( »•; fsorv^s/kJftï'M1 '}B'’’Ç s o n t les os le l’oreille, fl
djsé^^'îpp^î'coiA1 (Ç m'j t/U j'uwn" pas eO ç q ^Ô p ^ ' qualic '
sès^?mcfsseiirs, rnars^vr_) >oir /noirw-
Yeilcb rfs.'jy ult < buc'uûë Vj{r^,cQi|»s/.s i pailn .nirml.ijr. s u p iu fu ii ,*rtmip{?«Jttj(lp
nuatre uÆ^ s l et sajp^ie-.afinulair^ in f|n eû je , i _ u 11 <1’J lUl J ’VJi.I’f
neuf par' vèrMtipet ‘soîxan E(>jïaÇêi 1 tout' L>! |un v 1
^çjmme^fo^çaé Jui-meme d e . m i ^ r ê j p i ê c e s e n ^oül quiln-sin^P
guatre.nyiic|uj; .tableau de sa rédaction du j^yOï^S^br^ J I*
ê t r e d a .Æ r n i e i e V Èwec p ÿ * r e S e x i o n s q i ^ i l ^ s t& e r é ^ . ,f (
Toute tête, selon MT/G-e^ffroy,
est une réunion de sept vertèbres,
composées chacune d,ù|Rà^M^.u .
süpéiienr de deux paires d’os,
d’un corps impair.et.d’un..an-
neau inférieur, de deux âiaties
paires d’o s, _<c?Dmme''iir q
L. Et ces pièces, sëî on
le même auteur, sont
représentées dans les;
Sue q{d©i' jie fais les remarques %^6bse^aughs^'^
poissons pgr'lës*ôsï.que
-je nomme de la manière
suivante. A", i - ;4 , (i éh particulier.^ K de chaqpe vertèbre, ft
• r., ..f:-*®- .. .
f Les deux ethmopbysanx
; 1 ou cornets supérieurs du
Anneau!11®1'
supér. j Lçg deux rbinophysaux.
Ion comets inférieurs du
Les ps-propres du. nez.
Les.apophyses montantes
de l ’intermaxillaire.
- Cés ps, toujours extéri enrs dans
lés poissons, et placés au-dessus
des narines, ne peuvent être leurs
< cornets. ’
. Il pst tTès-raTe qiie cés apophÿ-.
ses soient séparées par une suture;
et cette suture ne prouve antre,’
chose,'sinon qne le nombre des os
n’est pas constant.
Cette rërqiifln , d’os
m a n qu e du car a c t èr e essentiel
assigné; par l ’autèbre
; elle n’a de réceptacle
ni pour le système '
nerveux niipoùr lâutsys-
tème- sanguin.
Corp.,| ou Un cartjlagë placé entre
les pédicules.des- inr
termaxillaires et'14' ïvo-
On multiplierait beaucoup les
os,,. si l ’on en faisait de tous les,
cartilages interar ticulaires.
f Les'deux adnasanx ofi’'
1 intermaxillaires.
Lés in t ermaxillaires. 1
Anneau)
infér. J Les deux addentanx
! ou portions dentaires des
Les maxillaires.
CHAp, III. OSTÉOLOGIE DES POISSONS. 231
reils, inconnus dans les da-ssjès précédentes, ou que l’on n’a
cru du moins y retrouver qu’au moyen d’analogies très-
s^Mptibles dé contestations ; l’appareil des os sous-orbitaires,
qui forment u#ë chaîné a l l a n t du frontal antérieur au pos-
. f Lçs deux nasaux ou? oa
{propres dix nez.
Anneau?) ’snpëri-p '
'f ^{'1q s Lue^s dneû^xT la^crymaux ou
Lerliinosphénal ou laie
ethmoïdale.
L’ethmoïde. ^>Jgos que je nomme ethc
fltiif fàireiTèpy^senterjdeux
deux nasaux ;
est entré les narines',' et ùo
oîde
peut
:àr il ! des-
Les frontaux antérii Ces os existent dans les crocodiles
, dans .les t^rtuësv etc., à
côté de? vrais lacrÿmauxcaractié-’
risés pour te ls , et ne peuvent leur'
Le vomer.
rait pas d’anneau supédouble
; car l’çtbmoïde
‘Ij&diyiserâit en deux-: de
plus , les adgustaux, qui
seuls peuvent être censés
faire. l ’ann eau inférieur >.
SOyÉ séparés dé« autres
pièces par les palatins et
'lesptérygoïdiens.
I Les deux adgastaux
ma^Ualra* *T
Les deux vomeraux ou.
KJ Vomer.
Les transverses.
Parties supposées
dées au vom.er.
Ges os sont-purement hypothétiques,
dans les poissons.
« v i R f i i l l ,
S -J5e|-:!deux-,frontaux. Les frontaux princi- rfî’ïf S^ixC'J
.supér.] Les déni palpébraux bh |
én al ou le
Liorps.^cQrps'.de l ’ethmoïde.
Un cartilage placé derrière
l ’ethmoï&e.
(
Les deux adpTbitâpx
ou portions orbitaires des
IB ? '* ) Les deux palataux, ou
f palatins.
Les premiers sous-orbitaires.
H H
Les palâtins. .
IV.e VERTÈBRE.
Gomment les cartilages tarses,,
qui sont’ entièrement détachés,
iyîouri-afenyws i contribuer k l ’anneau
supérieur , lequel est ■ clos
indépendammeat d’eux?
Voilà .encore un cartilage ,in-
terarticulaire érigé en os.''
Gette vertèbre est enpalatins
et; les premiers
sous-orDÎtaires sont sépà-
rés des frontaux par ms'
frontaux intérieurs ; il
n’iest possible de voir n i
neau inférieur .continu.
Dans le système qu i,n’ad-
met trois vjertèbres,
chaque vertèb.re a an
moins Davantage d’étre
continue.
( Les _ deux .ptéré&ux f on
grandes ailes du sphé^’
noïde.
• s^ûp’éri y Les deux ingrassiaux
I ou ailes orbitaires du ilsphénoïdé,
G r s f L’entospbénal ou corps
P '{antérieur du sphénoïde.
Les grandes ailes.
Les ailes orbitaires.
Le sphénoïde antérieur.!
' yÇe^te vertèbre est la
plus disjointe de' -toutes
pour jSon anneau inférieur;.
car ni les sous-orbitaires;
postérieurs, ni les
-ptérygoïdiens', n’ont antrdis
au 1res- os ;; ils en sont
même fort éloignés. .
Anneau’;
' Les deiix jugaux on os
de la pommette. , vV’1 '
Les deux hérisséaux
i apophyses ptérygoïdes
Les sous-ôrhilaires pos^J
térieurs.
Les ptérÿghïdiens.
|Jèi: l’auteur abandonne sa doc-?
trine de l ’identité du nombre des
‘piéqes^ oh un os ne doit être re-2
présenté que par un os. Les sous-
orbitaires postérieurs'sont quelquefois
très-nombreux.