antérieure de la branche^ et servant h la joindre'avec sa
correspondante1. En avant d©éefthj onction < est jjg | lingual
(n.0 44 ) , comme dans lesi oiseaux efclesreptiles^et en arrière,
dans l’angléformé par la rencontre des deux branches et sous
les branchies, est'une pièce impaire, le plus .ordinairement
verticale (né! 4 2 ), qui représente; la de b&s^hyàîde,
si connue dans les oiseaux et des lézards a«èC es# cette pie.ce
qui, en se joignant à,la symphyse des. huméraux, -forme
Xisthme qui sépare en dessous les deux ouvertures des ouâes.
Au total, l'os hyoïde des poissôns se compose donc de
douze ‘ Bg <
Le^ rayons qui soutiennent la membrane, branchiostège
adhèrent par articulation mobile/ibuvent même
par de Siinplesil%à««L& an bord inférieur des ;dm& principales
pièces-de* charpie branche3*? les antérieurs sont généralement
articulés^ au bord ; les postérieurs ne sont iguere
qu'attachés à la- faeé èxteme près du hord. JLeWr* nombre et
îeürsfoTineS varient beaucoup : dans la carpe il -nf feni’a que
tr®fei-#dÀ^^Mops
plus commun, du moins dans lesUcanthoptcrygiens, est de
sept, comme daris la perelfc.1 i ?
;Cetfcos hyoïde peut s’étever -et s’abaisser, et entraînewep.
lui leS branchies fi ët même'la mâchoire :Mériêhr& Il peut
aussi, quand il est entraîné par récartement de la lâmë
' 1. Là supérieure de-ces deux petites pièces est ribmmée paf M. Ç eàtâifyapo-fyoet,
et l’inférieuie cérato-hyah parce, qu'il ^ r e g a rd e c o n ^ e r^onda^rt aux deu^pre-
’mières p i^ e a d e la c o r n e Mtténeure de l’os hyoïde des mammifères.
; % C’est cette pièce* impaire et verticale-que M. Gébffrôy Ægarde comme l’anàlogue
de lïp op b jse iAipaire antëiirfoï#dù stermim-deS'OÎiséaux., .& $ 9 ix iin < ^w è s^ r !C ^
épistemal; mais l’episternal dè^SiSëaux est toujours derrière la fourchette q a ie it leur
clavicule.- 1
g. Ce sont les côtes stematü àe M,.Geoffroy.
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palato-'temporale, rendre plus ouvert l-angle- de ses bran*
dferf et élargir ainsi*, dieiifqncert avëèdloperéule, l’ouverture
des^ouïes. lies ; Rayons* qui s^ attachenP ont aussi leurs mou-
vemens particuliers d’écartement et de rapprochement, et
©tendent oui plissent la membrane qu’ils soutiennent.
qui ^orfent^W} •Brmwhies.
^fies polésons ne respirent qu’en faisant sortir par, les côjtés
de.leur cou l’eau qu’ils ont fait entrer aans leur bouche; elle
p a s s é é f i t r e les branchies,'‘qui sont des.especes de peignes,
ordinairement au nombre de,quatre de chaque côté,
formés1 d’une grande“ quânmte uë lames membraneuses on
carfilagihëul|s, minces', ‘étroites et* fourchues,) placées q ïa
ïileles unes des autres.t Ges quatre paires, de branchies sont
portées pa!r quatre paiyés a’arceaux adhérèns parleurs extrémités
mïérieùres aux d’eïut coïés aune chaîné-intermédiaire
d^Qss’èlëts^,Kqui *ejfe-meme est attachée çn ayant Hans l’angle
He 1 os*liyoide, entre les quatre pièces, antérieures, et au-
deffsus ue "sa qu,eué. Ces"memes arceaux montent eh së.re£
courbant, et attachent leur autre’extrémité spus le.étâpe:4
mais sëutèinfeiit par de là cellulosrre oïi deslîgafaprié
: La^chaînéintermédiaire' des ossdets fait en quelque sorte
suite a lu s . lingual, il y en a ordinairement’trois2:1e premier
(n.° ^3) ^.s’attache dans le iond dê rangie forme par les bran-
1. Les os des brançhîtes et les pharyngiens sont jébrësentés en dfessljs,'Vtfect’os
hyoïde-, et dans leur position naturelle, pl. III, figi,Vf/ét ceux d’un 'cotéj’aye'c' les
deu* parties de leurs arceaux étendus / pl. III, fig. Vif.
*2. M. Geoffroy, les-ctosicière comme dés articulations du corps de l ’hyoïde.
■ 9i G%st le basi-hyal de M.- Geol&t^®0^