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Les voûtes là
ligne médiane, ce qui forme une espèce de corps -calleux et
une arête saillante en 'dedans ; màisûl n?y a peint de septum
complet;
Sur le planeKqr ; de è#} ventricule se voient ('dans- leSîJÉôis-
soçts osseux )- deùx ou quatre tubercules: de substance: gPÜe
( fig. ■ IX : et - placés., au-devant de* la hase-du
Fâqueduc qui conduit du ventricule dès lobes creux dans
celui qui esfcs^Miàie :éervelettj^AiS0b arrière,; léq-mehrépônd
au quatrième ventricule des. elassès^supérieurés. >
Le nombre et les tformés 'et proportions? relatives de ces
tubercules varient selo^es’geûres. ;
Dans certains poisson^ commedaecarpe, la .paire antérieure
est longue, et^se d ir ig e ^ arrivés, enysgjÉecoürbant
comme une corne de, bélier. g
Dans d’autres, telsjquc le u ia q u e re a u ^ è stla paire pi's^
térieure qui est la .plus grande.: ellîeiseÉsourbe ;en gavantet
semble fe ireplif r comme un intestânÿïi^
Dans le thon i l ^ a jusqu’à tèbis ttuhereules^deï chaque
eqtfi, places les uns#- ©ôté des autres , etsemblables à autant
de replis d’intestinih
Ils manquentenièrement dansles chondroptérygiens, où
l’on ne voit pas non plus de fibres distipetès. à la faeednterne
des lobes creux.
‘iï'Mais dans le très-grand:nombre des poisson», msseux, po-.
tamment daps des perebes * lés brochets, les^dtapées^to
Oea des17 etc,7, les tubercules intérieurs <$o®fe ; au : nombre de
quatre, peu différens par la grandeur,
s Le nerf de la quatrième- paire naît en arrière des lobes
creux et des tubercules qu’ils renferment, et dans le sillon
qui les sépare de la base antérieure du cervelet ; quelquefois
CHAP^vy CERVEAdÈJ ’ETSNE'RJ'S UES POISSONS, 31»
un peut sUr le côté,1 mais mon paS$ comme on l’a dit, tout-
àd^it en rdessoùs.- v -
Il k’esl: pas difficile* dbfsüivre la moelle alongée dans sa
marche-vers lès parties’-antérieures} efcde la voir se rendre,
après quelle,a dép-assè lfe cervelet, par'ses fibres plus extérieures
daUs^ries l.obêS- èièùx' efi par les plus internes
dans les lobes antéMéùr^^
sù#^#erniers^ quand nllnèlsonffpas entièrement soudés
ensemble, losayrfe'cèla'arrive^danfejites'rai'êiftet dans'les squà-
ids, communiquent l’un avèc, l’autre, au moins par une ét
quelquefoisnpar deux commissiir.es jmjMM Leur surfacehest
quelquefois sillonnréeU:dêneh(|)n^olutiôns‘:f on en voit dans
l’anguille, :dàùs le ^f^rrnulel, Mâis^surtout dans la irioruei
Leur proportion varia ^ ’ordinaire ilsF^nt plus péiâts que
les-lobes creux; l’anguilledes a plus grands : leür supériorité
esiP' enjMSe dans&msL^Uius * èt lesjj sqùales. ' 1
Lès noeuds- ou-1 es tùbercùfêîf^Vfi) ùjùi sont encoreJ quel-
qûemislim avant dé- cW^lèbes^^^CTie^ufs, donl%npeut même
q uelquef%issdistinguter deux pairés ^commeMans l’ânguille,
ne punissent point entré; eux par uùle^oîtmjâssurè ; mais ils
sêij’oîgnent chacun au lobe devant lequel iLVst; et l’on peut
■^vfe^le nerf olfactif; sous* leurjtfàce* inférieure jusqu’à -la
coim missure . ($ } desdobes? antérieurs É || i -,
toujours aussi une commissure (m) qui unit les
parties antérièuVes4de la base des deux loËel creux; et c’est
derrière elle, et en avant dés quatre tubercules contenus
dàns ces lobes; qu’est ouvert le-ventricule analogue ku troi-
siètftede l'homme, qui cènduit^ cO*Ume à l’ordinaire, à l’in-
fundibulum et vers la glande^ pituitaire, à la face inférieure
de l’encéphale.
. Aux côtés de I’infundibulum, en dessous, se montrent les