' Son IX.eiiiw;f;est particnUèF©rn^|ijGpns^Gré aux .poissons
et;à leur Justoiçp.-Il donne dans le >XX-XII.^ ch. \
A s animaux aquatiqifès dont il avait^ trouvé ^s»mpa|is^^
qu’il jpoEteyàï, cent soixante-quatorze ;rmais en retranchant
les coquillages:, les^cétacés - et. les animaux quujùe
soient pas d i r a i s poissôh-si|il ne reste guère de d|,en%ei. que
quâtre-flngt^qphg^e pu quàtre-vki^Tsei^ parmi- lgsqqe^
on peut encore ^sdupçonneÿ quelques doubles'emplois., l^rç
trentaine ^environ paraissent me pas rm'çonjirer dans
AiktQjg, même par leurs equivalei^*
L’auteur citea^e®flûpàl|^^ garant' pour le .ESs^Jp^l^Ift
auteurs g^ c^ e t dix-huit .auteurs latins. Il n^siflg plus des
premfei^,qué deux, Aristote et Théophraste, et des autres
que tfois,^ Gfeéron% pépos feti-Sénèque. Parmi se&lgaram
pour.ïleV XXXILe livre, il sCj^^àutçjirsjgf ec&;
dont urnsejjL, Nicandre, jgeus est res*të,et. ciiiq latinsjjdgnt
nous ne possédons plus que le poème attrihu^à^Qvidfpi ^
’de résumé de trenTe-hint auteu^Miedaasf^af qde d’offrir
dgspfeits curieux, dont plusieurs;, fconcernantrJb| pqissfWs
de_la mer des Indes, {sont,qnceuçe dqSj auxj.,Gr^^^sujets
d’Alexandre ou denses sueeesseursifjCeu^ de la* mer,-du^ord,
la s^feyjle cachalot ^ commencent à 1î^ paraître Éfea|s dûfy
^ëit àussi 4 ||| hommes , dfe¥ femmes,;deS^taureaux des;mnr ,•
produits - de l’imagination desâ? voyageurs. La pêche aies,
m^es. dans les étangsjlu Languedoc y est décrite, et il s’y
obsptyeBvâyec trop peu. de précaution laf grande érunti®,"c^yésu,T!;e., Son, ïjjstoire
naturelle,,s en, trente-septiif res, dédiée à Titus,,est Je seul ouvrage qui^nous rpstejde
lui. Il avait employé, une grande partie de, 8,q yieîtajenr rassembler les, matériaux
avec,une ardeur,et une persévérance gni passent toute imagination. Elle se Coi^pqse,
d’extrai%4ejglus de deux mille yolumes, dus à des auteurs dont nous ne possédons
plus gu’enviïoji quarante» ',
trouve beaucoup de - détails intéressons sur le luxe des
Romains, relativement à#x poissons. Il serait difficile de
déterminer plusieurs <3es|) espeqejf dont Aristote a parlé, si
l’on n’a||Mït à ajouter à^qer qu’il, en dit quelques-unes des
particularité^que Pline en -rapporte ; mais Pline lui-même
ne pourrait souvent êère entendu )f si* on ne l'expliquait
par dq§|pà^àgesjid’ïïorace, de Sénèque,. de Juvénal et de
MartiAf g car tout ^ qui a rapport à la gourmandise est
mentiohhé par les moralistes; et par les poètes, avec encore
plus de:soin que par les naturalistes..,|
Au;reste, la sciqnce proprement dite* dans ce1;>qü’elle a
d%gçnéi|aLet de méthodique, n’es^aucunement avancée par
lai*equipilation de Pline; il(tir}e|d’Ari^tote toutupses généralités"
etleqieu qu’il donne,surl’organisation des poissons.3
i . IJouqdjesi au teurs si qoMus^et. dontt;.IeS^^IS|nS)n,fepas un- rapport direct avea
ric|tmlra||ç nous crpyoM^CTOax^oSsD orner a marque!- les tei^WbùTB|^nf vécu.
1- ‘Hoiïâceï’\ QiriniiïsV'Ho&iius! FlaéeusŸy 'Sùc] véridssè’jfj l’an,'UO^'aVant Jésus-Christ;;:
« I g , ^ d e cinquant&sejpJt ans-, Tan, g avant la même éndque. j
(Séjiitjiie ( Êticius Annæus Seaeca) Mu}; à'tCqrÿomfc. ,1»’an 2. ou l’an 3 de Jésûs-Ghrist,
mis; æJ'i^OTtTan 68, par l’ordre de Néron spweteW; a- écrit aussi sur la physique-
dans ses 'sept livres desjjjestions naturelles: i|yjparle des poissons qui vivent sous
terre, etde'la passion desRomâins pour les muM'es:^
Martial (Marcus Valerius Martiqlis,\i£j naquit àr BilbiliÈ, eni.Celtibérie, vers
l’arf/M de Jésus-Christ, e^ mmynit^ve^i’an. îoo. iqjéqf^itr principalement sous
Tl'ornitieni^
Juçénal (Æeçius^ Junivs Juvenalis), contemporain de M^urtlal,. paraît lui avoir
survécu. Qnjj ^{Sait,ate,o,précision-{ ni l’anqée'3de saVnaissance ni celle de sa mort.
Nous aurons occasioiïicLe citer beaüqoup'de passages dei.ces.deux poètes, surtout
de, Martial..
îitSîï, L% meüjeure, édition de Pline est la deuxième d’Hardonj^^dè 1^23,, en trois
volumes in-folio, réproduite par Fraotzius, de.o.^S-à.ii^ài, en dix volumes in-8.°
Ongjeut y joindre la traduction de, PqÎD^net de Siviy^i avec les- notes de Guettaid-
et de Desmarest ; et pour les animaux; celle de Gueroult, a,vea des notes extraites
de BufFon , de Bomare et d’autres naturalistes ornais tous ces commentateurs étaient,
trop étrangers à la connaissance de la nature, pour avoir pu expliquer leur;auteur,,
et distinguer, dans*Cfe:; qu’il d it, ce qui est fondé sur. la vérité et ce qui ne dérive
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