est garni de deux valvules gnalogtfcs’aux mitrales de l’homme,
mais dont les attachés sont beaucoiî|> plus simples.
Le ventricule 'f§§, p j| moins dans les poissons osseux, est
le plus souvent de ïoiànéltétraedrëj quelquefois il estoMong
ou approche de l’ovale : dans 'les cartilagineux sâ forme est
arrondie et souvent*déprim& j
Il est au-dessous *de l’oreillette ; sa cavité se contourne de
maniéré que, presque vértî^ie ,dans la partielqùitcommunique
avec l’oreillette, eîle devient horizontale .et longitudinale
pour aboutir au bulbe (7 )® 'Ses parois sontîres-robustes e t1
munies intérieurement de colonnes charnues finissantes y sa
substance, èSt formée d | deux couches très-différentes- ;.l’in-
terne a des fibres plus transversales-, l’extqrbe les a piusjon-
gitudinales, etJeur union esbsi légère*qu’il se ijprme souvefif?*
entre elles*, à la partie inférieure ët latérale du coeur, une'
solution de continuité- qui" a l’air-d’un Second ^entfrcide;j
mais qui est close*de toute part-et même n’èstqjasüntérieu-
rement tapissée par ütoe membrane.1
„Mfâest dans le bulbe (y) de ïartère branchiale que ’sont les
fibres les plus vigoureuses-, ,1a plupart'-diSposéçs circulaire-
mënt. Le nom .de cette partie vient :de,sa formëpsa communication
avec le ventricule est garnie tantôt tantôt
de trois valvules membraneuses; mais ilp^a-so-nvent dans'
son inténeur? surtout dans les cartilagineux, d’autrf^Jran-
gées de valvules ^quelquefois même ces yalvules sont .charntiÇS.
. ’Ji'rj
Le prolongement de ce bulbe sort du péricarde , et devient
1. M. Doellingerii’a décrite dans les i ^ r i a s p l^ lV i u e frès-maljifeste âan^un
grand' HafliM[‘ÿj&SMjr'0 $ raîsôü yi«ifieie'é8t produite par
lin commencement de décortipositiop,
l’artère branchiale* fh)-, quilse porto 'ên avant en marchant
sous*, la chaîne" impaire «d’osselets qui» réunit les arceaux des
branchies.
<*-L’artère branchjale se divise plus ou moins immédiatement,
mais-de manière »donner tin rameau à chaque bran*
chie.
■ Ge rameâu "marche dabs le sillon creüsé le long de la
convexité »de chaque arc branchial, et plus extérieurement
q.ue la v-einè'? qui suit la mêmetvoig, mais eut sens contraire.
À xefe arc sont attachés un grand nombre de feuillets parallèles
les uns aux autres, ordihairemènt. -terminés en pointe
fourchue et quelqùefois très-profondément divisés f ie grand
rameau qui marche dans lé sillon de l’arc donne une branche
(:>n} à> chacuns de’Ves feuillets, "et cette branclè,- après
s’êti;e bifurqüeê&leUx fois,- fournit une infinité de petits ra-
muscüles qui rampent en travers-sur chaque face' du-feuillet
et finissait par s’ÿ changer en Veinules. Les petites Veinules
de chaque coté aboutissent toutes dans uneveirie branchiale
('V-)ÿiqui marche le long, du bord interne du lobe latéral du
feuillet, et.les- deux veines aboutissent, dans le tronc de la
grande veine de la branchie (è*}, lequel marchèMans le même
sillon qued’artère, mais plus profondément, et qui va d’ail-
leurs, en seifs contraire-, ^t-à-dire-que l’artère branchiale
Ven^fe du coeur et du- côté ventral, diminuq à, mesure qu’elle
montetV^eESifb dos, èt qu’elle fournit d'ers artérioles, tandis
que la veine branchiale, au contraire ^recevant, par les
veinules et.les veines des feuillets, le sang derees artérioles,
grossit qu’èllè sè porte vers de* dos* §1
Lés raies ont dëux veines? pour ehaqué branehie, lesquelles
ne;s.©iréunissent qu’au moment où elles en sortent^"
; Eh sortant du côté dorsal dès branchies (en àx p) >les veine®