général de forme triangulaire’ , mais plus ou moins compliqué
d’apophyseà et de lames saillantes1, La pointe du triangle
est en avant; et danâd&&puig&pjii& j ug ul air es et thoraciques de
Linna:us, c’est-à-dire dans mes subbraehieus, cette pointe, ou
les apophyses qui la remplacent, s’attachent k la symphyse
des os que nous aVoUshiommés AiUUifrM.îi Dans lés. vrais abdominaux
, elle demeure libre dans les chairS.
Le côté postérieur, ordinairement le plus étroit, donne
attache aux rayons de la nageoire ventrale, au côté inteme
desquels il donné souvent enCOr© quelque apophyse »eü arrière
(b, b). Presque toujours le côté interne s’unit à celui de
l’os correspondant par une suture {a , a).- Il arrive quelquefois
que Ces deux os demeurent séparés l’un dé l’autre; soit en
avant, comme dans les-baudroies, soit en arriére, Conétae
dans les batraehus. Chacun sait que nombre de poissons,JeS
anguilles;,,les gymnotes, les xiphias, etc.; son b entièrement
privés de nageoires ventrales; que d’autres, comme les lepi-
dopus, n’en ont que des vestiges incomplets. Dans le premier
cas,_il n’y’ a point du tout d’os du bassin.
Des Ràyoffîs 'dë's ëjrtr'éhjitëlsî
Les rayons des: extrénhtés, 'sans-être, aussi symétriques que
ceux des nàgeoires verticales, se divisënt de même longitudinalement
chaçun en deux moitiés. Excepté le rayon externe
de la ventrale dans les aeanlhoptérygiens, ils soiït presque
toujours tous articulés ; mais leur base.est plus compacte que
le reste de leur longueur, et les articulations ne.s’y voient
1. M. Bakker nomme fcèt Os coxa. Il est représenté, p l.U I , fig. VKI, par1 ïâ fa'cë
supérieure, effig. IX , par l’inférieure.
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point ou presque» point, jdyfôtte basp’,s’élargit de manière à
prendre une attache solide à l’osràradial, à ceux du carpe et'
à ceux du bassin. Le premier rayon* de lia pectorale, est rare*
ment brancbn, et même ses articl^ sp soudent quelquefois
de manièret^jsimuler un rayon épineux|ii&sfe^erqn.i arrive
entre, autres dans les ssilorési .La même ; eh ose arrive aussi
quelquefois à l’un des premiers; rayons de la dorsale^ dans
lesYyprms, les -silures, etcvp en ’sqrte qugx^ ne sopt pas
vraiment des rayons, épineux, malgré, iéette apparence, ep
que ces! poissons appartiennent à tous égards aux malaeop-
tërygiensi'
i; ..Lès premiers articles des r a y o ^ JieetOraux ou ventraux
s’aJLongént quélquefois dans le iûehir, de manière à
représenter une deuxième rangée* d’os du carpe et une rangée
dtps.du tarse.-;.,
Il mé’ltl^al-^écess'aire que nous %nous occupions ici des
vakïetés de- nombre. Iplîde prop ortion. dcllfsiràÿons ffetfr sont
assmdomnues par. les Simples deseriÿtions extérifruies.
Yoilà-l’exposé dèS; élémèjasxlont |e, squelette
des poissons ordinaires ou-ossôux H§| sous cette dénomination
noùsxdmprenoBS même, comme notelià^onsïdi^a dit? beaucoup
de poissons.appelés cartilagineux par nnsqp^<|gfe§s^u^,
parce que leurs os sont moins complètement .ossifiés, tels que
des haudroies ÿdesdétrodonà, les lb«di|t|é^î^fô l’np px^pte
des vertèbres et les rayons dés’aiageoires-, il y a peu de variété
dansde nombreux làs connexions (jfe»èes élément efce^stseu-
lement dés différences de leurs forpies ebde leurs proportions
qu©i*ésultent ces Innombrables différences: de la^forme, génerale
des p oiss on s., £Ie$|e©rps alongés comme des,yers,; ^ces autres
, globuleux ou prismatiques, ou aplatis horizontalement,