qu’il a établis le premier ; stsrtynanceiaj par exemple, que
l’on confondait avec les seorpènes, et il êri a adepte avec
raison plusieurs dei&ronovms, dë Brunnich êt de quelques
autres de se§! prédécesseurs.
La plus grande utilité» de cette production singulière
consiste, en ce que l’auteur y a inséré plusieurs - espèces
nouvelles, qu’il avait reçues depuis que son grand ouvrage
était terminé; Son éditeur ,M.: Schneider, y a fait lui-mêinc
des additions importantes'.^ prises des papiers de ïbrster et
de quelques auteurs plus récens. Il y a inséré aussi plusieurs
remarques critiques dignes d’attention , et quelques observations
anatomiques/ en sorte que e’esfr un recueil à peu
pi’qs^ complet sur les poissions connus âîl comMëncement
d u siède actuel. Le nombre des genres y?ëst de c e n tim e j
celui:ps empèses* de quinze cent dix-neuf. Mais dans Je
nombre il y, en. a bien1; une centaine de douteuses otr de
répétées deux ét Jro is fois.
Ayant ëS l’avantage,, grâce, à la ÇÔmplaisance jdël. naturalistes
de Berlin, de pouvoir remonter aux sources employées
par Bloch., d’examiner “lès pbissbdssP^êmes::;qu’il
possédait dans son cabinet, et de ramener à leurs ’éSTOcbs
tous les doubles emplois, nous ferons connaître .dans lé
cours de cet oUvrage les véritables genres des eS^ëcel^qu’il
a. ainsi déplacées, et nous n’y donnerons que trop souvent
la preuve de la négligence avec laquelle il a travaillé.
C’est pour ne point séparer les différens écrits de Bloch,
que nous avons conduit notre histoire jusqu’à son Système
posthume. Maintenant il faut revenir sur nos pas, et rehdre
compte des ouvrages ichtyologiques publiés pendant qu’il
travaillait aux siens.
L’apparition dès premiers volumes de sa grande Histoire
des poissons semble avpir, été le 'signal de la reprise des
travaux généraux sur cette elasse d’animaux.
la vé|^it4|,i,j^a^^1t,n€-te doutait jpas„. encore de, son
.existence, dans le. Dictionnaire iehtyologique de l’Encyclo-
pédiçlpiéthpdique qu’il rédigea so.u.% le nom de- Daubenton,
quoiqu’il ng L’ait publié, qu’çp 17§7; maiSfCe Dictionnaire,
fait par un homme qui ne-connaissait nullenient lçs/poissons,
ne jîÉpisiste-iguiere qu’en extraits de; JVillughhy- et? Jes autres
auteurs cités dans Ja douzième édition de Linnæus, des
cahiers de Klein et des Spicilegia de> Pallas.\Il< n’y a point
d’observatiqus , nfjfeVyiies >propres à l’auteur. ?
Bonn&term^j, chargé Je recueillir des figures pour la
•même entreprise,, ^e^crut obligé-de refaire un texte plus
âu niyeau de l’état de la science ; dans les planches d’ich-
tyblogie*,|ipu]biHées en A 788, il cqpia tout çqcqui avait paru
alors de Bloch, compléta son travail ?ayeç. .des figures
de Pallas, Koelceuter, de Gronovius, de Broussonnet,
1 .* René -WLt t e J V é V n * 17^3 , à&yénui si’1, illustre par .ses' #décôiiTelles^ pris-
•tküQgiapti'cfues'iit par les excellebs' buyràgfes-iH^nfc îlr ‘a eWiichi 'Tà .minéralogie.’,
Muspum ■ d’<M#£oire natûrfelle, - passa sa; jeunesse
dan«1 de-regent des basses*'daslesWun1 eollégep |)aubento)\,
^OT^il s u ïfllle sw u rs \ lui inspira'Ie gbtft, de l’iîjltoffe nàrarélie, et 'Rengagea
à travaille ^PEaqjpljfcédie raetbodique,,>sÔu£.sa direction et sous soa.aoço. On
peut remarquer que ce. n ’est( qu’agrès ,14 mort çlq Paub&bM^quç.Lacépède Fà
rare' oe nime aptèuVçfe'c^ bictionnaires®?
‘ ^^^î/B'oNNdERtiE, duLtolièrgute,’ mort en x«t>4 5 professeur à Fécolè eerîtrnl~
.,U1'Rbndès. a y a itM chargé, par le Uiffafre Paneloocke de diriger» la partie
des S m S e t o d g PEneÿclopé’die m éth o diqü^Tour Tes m a ^ M - e s ,'îês*oWea®T,
les reptiles./les.‘pojssonsiet les i ^ t e S , bomnte Bruguière.lePu^spour les yers,
de Lamarck pour les végétaux. Bonrtal&ece rédigea un texte étendqsur les
oïasses> eut à faîrereprésenter : il. a -eq/.pQUï (^nri^Hiateqç^qu^t mam-
mifères,, M. Desmarest, plus èri.état que lui def remplir; une parrille jUiissioii,.
Po$0 ès yers , M. de Lamarck a succédé: à. Bruguière, et M. Lampftrqugc À M. J e
LamareKiL.rf,.