LIVRE IKÉfaXtfefE.
en sortent, et même à. la eavïtë dû crâne dans laquelle il.est
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Il ne remplit point cette cavité à beaucoup près, et lmajongpe
«d’un muge, d’uit grondin, d’une .carpe , d’un brochet i è t d ’un gfflgon.
_ En 176iI;G‘amper, daps sonTytémoiré-sùrfVeeille-'dés; poissons écailleux, imprimé
en 1762 parmi ceux de I'4 société de Harlem, donna une dçspîiptiôn et une-figure
fiü' âervda% de la“ rrîoru#;' êfW-Sÿba , dans'un mémoire 'suin’6reift|rd'es poissons
en général, imprimé en ijt/4 dans le tome VI dé céferdès savaris étrKi|gersJde-l’aca-
démieydeSjSçienGe^,, iLdécriyit et représenta ceux de la-.jh^udroie, du «brochet et dè
la raie. Il est Je premier qui ait cherché à en déterminer les parties d’æpïes-l’appa-
rkdee 1 a plus sensible ^ il i]^miy^Àé7nirpArr«i? l res^ïohes cieux^ placés en avant du
cervelet, et tubercules quadrijumeaux, les petites éminences) qji^ls’renfeiapeçt ; les
lobés-inférieurs lu i paraissent des épaiaènoes^ mam ilia ires f „
" En 176?), Haller, à'îà'fin du tome IV de sâ’JPhj'Siqlogî'èj'plaça*une^^s'ççïp'tion
'dû cerveau de là' carpe ; et la même ‘'âpri'ée -il- adressàà' l’acàdémi’e dé Harlerri‘ uii
mémoire sur le cerveau des-oiseaux et des poissons,» inséré en! 17^8;dans lë,tpme.ïïl
de ses Opéra minora, p. 191 y dans lequel il décrivit ceux d e là carpe, du meunier,
de la tanche, du ferra, dè; la truite du lac de Genève et de celle des Alpes, de
l’ombre chevalier, de là perche’et de.-la -lofé. Sçs’dcsciiptioiis sont détaillées ;fmais
une application singulière qu’il fait des noms des paétiès, _etJe défaut défigures,
les rend difficiles à entendre. Il nomme les Ipbes antérieurs tubercules blfactifs^ antérieurs
; ceux du dessous ,- iiibercülés olfactifs inférieurs; lés jobes creux avànl) felèerye-
le t, couches optiques : cependant-“il appelle cornes d’Ammon, les grand^ tubercules
dè leur, intérieur ; et,’tout en reconnaissan^prcçrvelet omrtme fti.dogui,de'ce^ii <h‘s
quadrupèdes, il donné le ifbW’dè 'côrjfe -aux™foOeSfrd!aprraIccerv.elet, et
Ç&ni Âe gUndc pinéàle an g£6ïmle qui_estjentre eux dans Jes .fe^prins, Cffidéngjgfc;
nations ne sont pas heureuses; mais l’auteur n’a^ait pas l’intention d’j..alt£tcher
l’idée de concordance« des parties. :
En 177,6 , Vieq-d’Azjr-,. dans ses deux-mémoires sur l’anatomie,desf poissons >
imprimés parmi ceux des savans étrangers présentés à l’Académie t.'VH j-inséra
-quelques observatibris sur.lés cerveaux des poissons,' et représenta , mais a&sezunal,
ceux du conjure, de l’anguille, d’u n ’labre, de la vive-, de la plie etïdu turbot.ill ne
parait pas avoir eu d’idées' bien arrêtées sur les dénominations des parties.
En 1785-, Mbnro,.dans sou Anatomiedes poissons, donna, pl.’3f4 ,' une assez
bonne figure du, eerveau de la raie; mais ce-qu’ïl dit danS'son texte, p. 4'4> du
cerveau des poissons en général, se réduit à peu-pTèè à rien.
On trouve dans une thèse de M. Ebeï, intitulé» : Observations .netrologieoe ex
anatome comparata, publiée en 1788 J et réimprimée en' 1793.dans les Scriptotes
nevrologici minores de Ludwig, t.IH , des-figures ducervéân du brochet, de la carpe
et du silure; il nomme les parties comme Camper.
téryalle entrera pie-nxpré4)f>qïd le serpe de;près, et la dure-
mère 'p <pif tapisserie icrânie intérieurement *, est* occupé seulement
par une cellulosité lâché1 ou%espèce d’arachnoïde,
dSPéVe^ fâa^üwqfP^!âiLÿ®ïi*é^èî^;^pb Vwâns1- >Aîeë Leçons
d’anatomie cornfoaiéç;-1. P01
(.‘(m-.ùli ré{jt'Vl'i M lnpb muni et d’Ebel, les I>!b 1 ^ s i r o v c les vrais
nemisjïlioi^S.ji-s tiilitrcules qu’ils contiennent comme les quadrijumeaux; les lobes
infêriaûrs m’ont" parut I e s I c ffi^ B '^ îtiq n ë iP J ^ a i dotinjé^’t. V, plyf!/- etj> 18 dps
figurés »détai'Lléé#ç|e s, ceScve^nx -d'e lj^earae,,; de. làn™ril&ejt4u: mismiffiliîn^JJai lkit
eMi^tieL^tadeius, c i^g^^^KgmérEae&jck la ,,d®nbufton des nçrfs“, et j j qi
représenté oeiix’oeila' tCT©’elMes:p|rties àngKreçOTes’ <xro||e; {«**
f; -Jînj 181 darisLùflèi-thès^ soutenuè%A_Halle , De cerebro et
medulla spinali piscium, a regtésenÿé^les ceEpan^,.d<&^ngTe^ dnjdphias, dumjej-
Jns^dè'râ")îm sM |,S le l’u ‘ ji~oépmè^® Wrascasse^^M la doipé , de
la sole, d é jà eastagnol^ dus ;sâîrgub; j tde A a saupe,, du bogue ,‘:ld'u-|Sa^|J^<_d'tt’&uj7
rcîulel ,^dlu gaïqn'diîn', ^d-ufepo^opfilân!ft|; du rçgquin ,^d;u rUartèanj-j'idol^pqsjettq^et
d.yla- jy-tei p l rjdbe -^xact ént^gfute^jL’aRtetl^y
consïdère’Uè^èïl'îtbeafcÿeux jçnmédi^tement'eu^aj'ajit dw cen^eleli corhmej an-alogUës
rdesAtubeMu‘festqu adïïj um eaux,,; pf c.eux qui sont, placés en 'aVanbidfe»,61èUx-'là j Qcu^iûe
.repfésenfeÉbqèqtet^fflteÇÊispbères-.'' ;
^ W^éber; d.aLÎis\£Oib-Anatomîa comparata ne'rvi^nmpathif,, imprirnée
àjLeipz&^doi^etdpIn 4ureàn^efe^plM®W^a çaip»^%do^‘tinluè d » nemmér les
Jubés; creux hémisphirês,. n|iHivC’est&dan$de, 'ldbd; impair, ; où cervelet, qU’if »eroit
voi^llanalogu^ dèsï »tubercules-ii quadnjum:ea^i&«|.feffc d , inomme,, cervelet jlësi, lobes
derrière l ’impair, j ceux qui-bordtent et;cqpyrent>le qdatiièirje'; veritriiculè^ En 1820,
dans sôn tr’ait^rjüe cotre et çfuditu hominU et anirnalium, iï repifeeîîtoi;èncore Je
cerveau-d^Mcârpe,, e^-jf, aj,niÿ|éitç.elu^^u,s}W^i{i^K^Qifr1d?M]J^nr-s à j^ t^ |) iJ ë
.»ainateimis^^Vpor.tanjes' denairVgrtes ^sur,&*OT£^pg^ idps poissops Æ ffi^ im en t
1ÿ^|e dmrterf 10l%iïudinal sûïiériqüfi t t n ^ p ü ^ d le la cinquième .paire,
mais àüqijeîifà huitièfn^coiïtribud “sO*àvent aussi. ’
: La même année' l'-S'ao, M. i^e«^r/,dMt4 tinejtbèsè,.imprimée;à Iéna, De anatomia
comparata et naturali philosbphiàjcSminentatio,., etc!,.tient eneosÿv%Iridée^,que le
vrai.cerveau est dans les lobes creufà.e^ place les codches optiques dans les lobes
inférieurs. ...
La même année enporé, MyG^R. Trenranus, dans un\m ^ g ir e ,s^r le-cërveau,
inséré dans le troisième volume dn recÿjeU qu’il pqb-lie avec, spnÆl|rè, donne aussi
sa- théqrie.dn cerveau ^es’poisons. Les lobgs,antérieurs lui paraissent représenter
les lobes olfactifs du Gèryèau, des mammifères^ :• les lojjès creux devant, le .cervelet,
ou, Cpmtne if les appelle,'les hémisph$:b?-fg^stérieurs, répondent à*la partie pos-
‘ térieure des couches optiques; lirais il leur attribue les fonctions du grand ccrveaii :