96 LITRE PREMIER;!
giste | Steller * iJ l’un Ses hommes qui ont le mieux connu
les animaux marihRf ne réussit à fàire imprimer que ses
recherches sur tes .phoques et sur les• lamantins ; et j après
sa mort, que la malveillance et la trahison' avaient accélérée
, ses mémoires d’ichtyologie, à l’exception d’un seul,
qui ne .contient que ides remarques générales sur»- la classe
des poissons, furent ensevelis à-réoté des papiers de Messer-
schmidt; ce n’est que depuis peu d’années que MM; Pallas
et Tilesius en ont fait connaître quelques fragmens.
Catherine I I ,. conseillée par le comte Wladimir Orlof,
en ^770. Retourné à Tubingue en 17*49, H’y thouruf yS-S. II a ’publié la
relation du, voyage, .auquel il avait pris part';'' Goettuigtre'5fiif^^%S'7 3^5 'en
allemand, 4 vol. in-8.%On en a un extrait français, en deux volmyes in-ia&rtor
Keràlio, et un autre dans le dix-huitième vofH^Vin‘-4 -° de l’Histoire.géB^Sl^Rp
■ voyages 1 il fia 'parle peu dés jïbissoiiè. f
1 . George-Guillaume StelleS, ml des plus, courageux et des plus habiles^,naturalistes
que la Russie ait eus à son service:-, ,-et def'cepx U i’eBe a traités'avec
le plus d’ingratitude, était n é , én’ i 7 cfcyà Winsnetfn ,'eii rra igSn ié ; étudia',
dans plusieurs universités allemandes, la théologie-J la -médecine-et ■ lfbi's.toire
naturelle, et fut admis comme .médecin dans l’armée russe ù^assiégeaiU©àù|æig
en .1734. t e baron de Korff, président de l’académie de Pefersbourg, ,1’envoya
en 1738 pour se |JS®Èê à ESxpiaitiôJÏ psîrtie dès 'Bbhriitg',-
naître les liés situées entre la Sibérie, et T’Amérique, l’invita é n » , i l j a c c p m -
pagner; i.l. souffrit horriblement dans ce voyage ?- et se vit à la fin trtmpé . spr
toutes les promesses ..que ëegcàpitaine lui avaat'"faites'. Se rendant a^P.etersbo urg
pour réclamer justice/ on trouva moyen de-lui'- faire, envoyer l ’oMrejde1.retourner
à Irkutzk, pour se justifier lui-même- de je ne sais quelle fauteçdqlï’on lui
imputait : il revenait de nouveau, lorsqü’iTreçnt un second ordre 'd e ’||El!Khie
nature, et cette fois la garde qui le conduisait le laissa geler sur une-grande ro.ute,
en -ij'lfi. Sa description du Kamtschatka a été publiée^n, allemand etf 1^^4,
par les soins de J . IL Scherer, employé des affaires étrangères ' de F r-afice.-Ey-a
de lui dans les Mémoires de Pétersbourg (deuxième tome des Non^cofnfheÿtarii),
un excellent mémoire sur les phoques-, et les lamantins,’et'dans le, -troisième',
des observations générales sur les poissons j d’après- lesquelles’:on peut .juger çftt’il
les avait étudiés- avec soin. Il avait"-composé une Ichtyologie de la Sibérie, dont
MM. Pallas et Tilesius ont donné d’intéressans fragmens dans leurs ' propres
ouvrages.
Hï^oiRE; de ,1/ ichtyologie. 97
veilia^ipofirseulemerit :qu^ 4 troisième exploration,
qu’elle ordonna en 1768, fût faite ay@4, encore plus de soin
et de régularité mais à ce-qup hn science profitât aussitôt
qu’il serait, pgssibleyff es, efforts des ^Qmmes qui æ | furent
eiripleiyési. A cet effet, elle ordonna que l’on' Rédigeât les
oj^ ervatiôjis; pendant chaque quartier d’hiYer, qu’on les
envoyât aussitôt â^PétorsIiourg, ayg6|flesl.>c§llectiotis faites
pendant l’anriée ; pr.q|ajo,tion qui séj%ouTâ d’autant plus sage
que-trois des.naturalistes, Quldenstfi^Gl
perdirent la vie» ou pendant le/yoyage., ou du quoins avant
§ | g g g i’dans l’expédition de"¥-7©8, outre les-aStrbpomeS;et lés géomètres,’
cinq natiifariisfes, et, quelques
Pallas seydraigêa- veM.-Ie-Jaïk, la eiirMlaspiTnin les .niirus dih monts
o ^ ^ P /'c e lîè l’dès 'monts MîtaasV dans ïè cjis trie? dé'KM^WinÇ-traversa le lac*Ra'ikal,
et ' s^pproena 'des ftonti^rès de?,lu; Tartaric? èbiijoise y, en. revenant il; fpucbâ».,ajr
Caucase.
e t a S ^ e n a ^ f s ^ e ^ p ^ ^ ^ ^ d u T J a n “et
qfc fit H en y RYcilTsioes'enPeMg.- .
InlAa x siiuii t 1 l o i 1 1 fi s p u s ulj içins |n sq u a lO b . (notgt
fut d’abord son adjoint et ensuite celui de Pallas.
(juliJSristedti »se; chargea S,P^tig1|l!ipiiemenft\qj^(Saugase.. v,y
„ityschin visita, surtout.POiafâ!-,- A^raragj;§£,jcs ç ô t e ^ d e i& ^ ^ ^ a n p h fn _ |
», flrL * ,« !P^7Vy»jE^.i4);pét;f11 'V\ j ^dtpjJ lÿnajûsgl gUsuifer
professfec^Aedsbt^nmue uûdgrjjilùdé| apotboea&es dç^éteTsb^.rgjîj ^ffeçtç»d’Ijyjÿ
condrie et de souflîançcv^dc,. tqxfÇ gfinri1, il '.I1 M'!.1? 177^• Son
1 ‘ b^uhllf-«» pal JÏ(VÿUins ‘jcjGtoraf J^ktrots/vnlumt s 1U_i ,’l 11,^86 ,
z y àdmtiel-TïMnykik Gmilih u b i n g ^ R ^ ^
Gsorees^mérqb^eé^V’^ P ^ » 1^ de JpBfft. yol^b'èjjjdç^sçQi
voÿâgàijlaruïenj , v étant, oe rré e tte ^ n n é e pfjsc^râjÆ^du k.an
des, Kha'itakes, JagrédaWon ! du" qua^ème|U ^ p ^T!f1^c ^ ^ ^ d a astedt;.,et, a mes fcsf
mdipMPiLlas, qua 1 leAfibipa^^tçeleçÿjp^ On y tnouyefquejques^d;ss/;riptiflns
et tr0i5Ljdgur.es» dé» poissons,, > de j déjad^^iEj'lë^
■ ■. A... :
du czar de Çséprgîn lul 'PiC0cns'^b|gq^oiup^lde,facih^i,TOÿil^^x^^Spu,O^gasg ;
mais il gagna dans.eg pays dès maladies,q^yl’aj(faiblMf|t. Il rfV^E^da.^oins à
Pétprsbn]tmr î in^ . ÀI .'.rncii mi t enM , ^ trn n j^ b j- a ru il^ ^ n e fievpè(putoidnj-qmfflv
régnarfj milypyage a .été imprimé, sous la direction » ^P a lla s, ebredeux^yojumes