r<? 4 J ! V o y a g- e s ;
1 uppotent dans le cen trie de là terre. Ils difeitt
17 * Jmvter. que Dieu eré.a le fylonde en ßx termes,, qu'ils
Boniment.MejrdefiremiÀfçÿ'doesjem-i Peti-esjdè^r,
hem, Eoos-aen y Meydie-jeriben, & Ammaespas- miß-
diebem ; mais il ne me pur direflc’étoient des
années j, des mois, des femaines ou des jours>
il fuppofoit cependant que ce potirroient bien
être des jours. Il 'ajouta , qu’après que Dieu
eût créé le monde , il créa auÆ 1 ’hommfe , &c
le nomma Babba-Adam , d’appèsqûitous les
hommes font appelle 24 Adam ^ particulière^
ment parmy lesPerfans Si les Turcs squècet
Adam fut formé des 4. Eléments , le feu»,
l ’air, l’eau & la terre : que Dieu créa enfuit®
fbn ame > quTlsicroyènt être un vent :• que;-
Dieu tira après cela-, du? côté gauche à'M-
dam ,. quelque partie de.; fon corps, & une
partie de fon ame , dont il forma une femme,
à l’image $c relfemblänce d’Ad am r: q u e da ns
la fuite du tems quelqu’un, dont ils ignorent
- le nom,’ prèfontja.. à Adam;,une efpeee dèfroè
ment de lagrolfeur d- un melon,, don t il mangea.,
& qù’àicaule de cela Dieu le ch a lfad a
lieu-où. il l’a voit plapé.. i l me dit de plus-,
•que lors qu’Adam fut créé., il avoit les yeux
au-deifus.de. la tête, de qu’ils ne lui defoem-
dirent-fousde front qu’aprês qu’il eut mang®
de ce fruit j d’o-ù il pardi t qu’ils croyent qu’il
Wûùt la-vue tournée ’vers. le-Ciel que par
fa.'.
t>E C’o R S f i i i ^ 'Uô B ru y nV
fa’dllute, fes yeüx furent tournée Vtrsla’t'èr^ y7®^?
re. {a) Il ajoùtaqù’Adâitfis’ étant enfuitepiè- ^Janvier:-
fente devant DieV, le Seigneur lui demanda
ce.jquîil avoir eù-vifagé au commëpdement , d
quoy il répondit , q-u’i-1 avoir envisagé fon
Créateur, &c que Dieu lui ayûnt ehddre de-
fjnandé:ce qu’il voyoitalors, ilréponditqu’il
fo voyoit lukmême dansf un é tat déplora b le .
Il nie d i t , qu’ il ignôroit comHient Adam ôe
fa fe m-me s’étoi e n t comportfeË dep uis s mais’
qu’il fçavdit f)ieri qu’ils, avoient multiplié
leur efpece , ôc peuplé la te rte : quukavoit-
paru , long - tems après uela ,• un Prophète',
qu’ils nomment gatr^fios^M que lés; Perfes1 '
prennent encore aujourd’huy’poür Abra'ham»-
Que .ce Prophète^ avoir recommandé aux .
hommes de Taire le bien §& d-éviter le mal?
que les hommes en;uvdient mUrmùré^ën di-
ian t > Pàitrquoy nous ordonnes - m- ceey'f nous dë~
fens-tu cela ? Qu’il avoit répondu y je <-uiens de ht
fart de Dieu , a qudy ifs|kymfnfs^epltq.!»&,‘fi-m*
■
(ây' Cette opinion déé
Cuêbfes éft apparemment
JUfte allégorie , qùf lignifie
<jue i ’homme depuis fa chute
, tourne fes a'ffeÊHoiis du
«ôté delà tetrë. Ovide,dàrfS
3é prermér:Livre de fes Mé^
îtamorphofes, Vers 84.85. &
$6. a exprimé fbrfheàreu*
femert t hette préfogàtîvede"
'firoÜXijitte’etHßWißfyutyiminalia '■
^.mter'a ïttmm\r
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tx&mnâÉtuJJ.