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1706V trades Hgnaux dont ils fe ferviroient. Sur le
1 h fôic nous mouillâmes proche de. la. fécondé
pointe de Java«, &c remîmes â lavoile â l’au-
be du. jour*. Il falut fe remettre à l'ancre fur
Ih uiidy, entrecetie féconde poin te , :6c Yljle*
mwvey fnï, 14, brafles. Noustro uvâmes en cet
endroit* un petit Yaifleâu Anglois*, party de
Bataviaavant nous, & nous envoyâmes cher-
v1 çhër de l-’èàu. au coin de |a Terre-.ferme de
J^V.a^où elleeft admirable. J’y deifinay l’/yfe-
t ’ifle-neu- ôc celle du Prince, qui eft.vis-â-yis,.
*e >.& celle 1 . . Adu
Prince* uommeomies» voit icy*.
Le lendemiain nous“contlnuâtnesnôtrejrou^
tej- & laiifâmes â l ’ancre l e a i d e a u Angjqjs^
qui dévoie apparemment prendre, du poivre
en cet endroit*. Comme le. vent, étoit Sud-»
SudrEffe * noufc paffames? fur lè; foir^à=deux
lieues de la poin te Oecidèntale de Java 3 que
no us avion s au Sud-Eft. N ous avau ç âmes c,e~
pendant) â l ’Oüeft-SudrQüefk,. & demy Sud/
6c perdîmes bien-tôt la.térre dévuë ?Je yent
étant afTez fort ; 4L a %j p»ic«^5
rants vent .continua au ;Sud*E$
tfcs-feeauùemsv Le 3.I
â rO ü e f t ;,le v e n t écant.Eft-Sud-Ell. Lepre-
miex jour de Septembrey J# .Càpitainei dé. nôtre
VàiCeau fe r é n d ità b o rd d u Monftre -, 6c
comme on trouva qùe nôfus* étions païyenps
layeille.au iô4vdogré^45 »minutes demoyénr
o ; ne