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Sfejuin. I
Femlfes
i ’un arbre
feuvage ,g
«pai cre-ît:
daas las.
lois.
4* , V o y â g e s .
jneat. de terre > qqi.ébranla toute Ia g ille de
Batavia j ôc renverfa tousdes Jardins d’alentour
* de for te qu’il n’en relia point dit.
„tout dans ceux du General. Mais les curieux
en ayant découvert quelques rejettons dans»
la fuite, s’appliquent à les cultiver de nou-
veauv ôc avec tant de luccès, qu’il y en aura
en abondance dans quelques années. AinÆ
on fe trompe groflîérement lprs qu’on croit
que ce fruit-là ne croit qu*en Arabie, ôc que
les: arbres qui le portent ne fçauroient fe cuj-
tivér en d’autres climats. £a.)'r,.
On v o it , à la lettre C. des. feuilles d’un an-
brifleau fauyage,, qui croit dans les bois ,, dont '
les unes font certes ôc les autres blancbes^ôc
qui porte une feule fleur rouge.
ç<t) On eft àprefent bien
revend de cette erreur ; on
a fait, depuis quelques an-
-néesdes Plantations d’ar-
breff dé Caffc dans l’Ifle
Màfcarêjgnç $ en pjufieurs
autres païs des Indes Oect
dentales-*. qui; réüflliïent à*
merveilleuffaut feulement
©bferver deux chofes ef~
fentielles j l’une que les
Mwes' . qu’on tranlporte
n’ayent point été mouillées,;
parce qu’àlors le ger-
m& en df pouxry-1 Paiitre; s
qui! iâut efioiïîr , autant
qu’on peut, un climat dont
la cbaleuéapproche de celle
de cette partié de l’Arabie
d’où le • Gaffé nous eft. venu.
Qn a vu un Jardin Roy al des-
Plantes des arbres de Caf-
fé , qui n’ont pas bien réiif*
li , peut-être pat ces deux
railbns, furquoy on peut
oonfülter l'es Mémoires de
l’Académie, des Sciences *
où l ’on trouve* des chofes
fort cUrieufes fürce'féfet..