.34^4 Rx t r ai t D' un vV o'Ÿ'AUï ^
~j voyédu fe cours à Candie contre les Turesü
9j & quoy quelonsla Ban|niereduTapejleTure
Û fut li irrité de cette iîifrâ^fcion cles Traitez
•faits avec lui, .& de 1’ affaire des Timint., ou
l|>|ïieeesde quatre folx> qu’i 1 -y a voit peu de fù-
m reté à -voya^et:dans un pais où tout devo-it
i|| paroitre fùipe^ , avec ^hea «coup de ràildn %
J} ainiî l’Auteur prit lepârty de fer embarquer^
% pour j oind t e l’Ar ni éeFranç oi Ce de va nt Can-
.9j die. il-revint avec elle^ ainiî lereile de fan
t.y Voy^géneJcontient que .crès-peu de chofes
mintértÈÆan^M*4 lparlodeTavantu.re de Mr.
de Beauiort. Il dit que le bruit croit dan«
-^d’Àrmie Turque , -qu’il avoir .été pris pris-
9i:-ùsnnierî'j que deux jours après la {ortie-, dans
1 aquelle il di fp ar u t , le VJfî r ^nvëy a r ç$ç*
>, Caler es au Sultan avec douze prifonciers
ii, de condition y parmy iefqueis ctoient , di»
a, {oient les Turcs , le frere, ou le eoufîn da
iy Roy d e- Fr an ce .C e s C à le r es fur e n t contrai rt-
tes de relâcher a Athènes, bc eofüite à Ne®-
grepont. Lorsque l’Auteureut^ointda.ilote
y, Chrétienne:» furTavis qu’il donna de ce qu’il
venoït d’apprendre, on renvoya Mr. le
„Baron de faint Mars, pour obren ir du V ifîr la
,, pèrmiffion de faire pafler quatre Domefti-
, ques de Mr» de Beaufort pour le fervir. Le
ïfPftB? S :r> par écrit * qu’il n’éroitpas
9J nccelq
^neceüaired envoyer des Valets, que le Sul*.
r, tan n’en m an quoi t pa%j& que quand pnpre-
„ noir un prifonniefdeconfidération, on fqa-:
3i vo ir le. faire t-ra i t er félon fa quai i té; & le Re-’
„ négât François qpi porta la Lettte*refufàde;
3i dire politiyernent s’il étoit mort ou vivant.
>s On avoit compté à l’Auteur, que parmy les
*3j.pfl{dnniers ', il y em avoit un fort beau Mm*
33 de bonnemine, qui fut oondt^it au V ilir , lui;
53 par 1 a avec b eau coup d'adurance, & qnel’o ni
, y e nvo y â i, 1q usifo r te elcor te y d i aC a n é e. - 3
,j D’Athènes à Lance, ou Port fWere, il n’y a?
n que 4> milles ; roaisau Port Pyrée, il y en a fix.,
3:3 Le chemin eR beau ; mais les terres en font;
9> ftériles. Après s’être embarqué, il laiffa, fur
a la droite i une petite Ifle, nómkïÓQ.-Pélytalia*
„ par les Anciens , pofée Nord &c Sud, entre
» la pointe de Salamine, & la Terre-ferme U
. » derrière laquelle on: mouille, quand on ne
veut point s’engagerdansle Port Pyrée. ï\ 1
y, A' l’èntrée du Port Pyrée, au Levant, èft;
isjun Cap moyennement élève. On le riom-
*f moit oJMànichia. On y voit encore beaucoup;
3*de .Ruïnes , iô£;; des Grotces taillées dans la;
^Montagnes, pour fervir de Sépultures. Ce
« lieueft quafî lemilieu delà Côté. Leterrain.
sy de Pi {le à’Egine, qu’on làilFe à droite , efti
?fpierreux*ôc moatueuxv Ilm’y a pas un feul
* U ,, hàbi-/