A f r E X T R A I T flNb N Y O T A G E>
^ bras du Metôi Olympe % appelle T ermesi quE
„ s ’unit au Mont Dragon v- celui-cy au Monte
JpftMMf qui e fl: dérnet^S^dw^'.Pv'hiiîi^éi-'
phie î celuiLcy au Mont Cadmtts 3 aii pieddu-,
H quel eft Laodicée-, qui fe joint enfin au Mont.
tiTaurns , dont prefqiie toutes les Montagnes«
J de PAfié Min euro ne fdnt que de&branchesv.
„ L a Plaine de Mdgnefie a dix lieuës > de P O-,
,i rient à l'Occident;* & huit du Nord au Sud ;;
Jo ëlle fe jôintavee celle omeft bâtie TùrgmHw,
„ 8c on peut même aller do plein pied à: Sar-
2, .des 3 qui en eft à une journée 8c demiè. Le,.
„ Fleuve Hermus y vient aufli couler, 8c reçoit*
„ plufieurs Torrents & R-iviores ^dont laplus*
,2 confid érable-eft- celle de QmnMfi, qui vient,
J du Levant à fix journées, & du pais nomme
3a Cimanu' Le Fleuve Kermus fë jette dans-la.
y, Mer j à deux lieuës en deçà d& Pbokia. Avant
22 que d’y arriver , bn fuit une Chauffée d’ün©
2.,4èmy-lieuë"î On paffé le FleUve^ à gfféq/8c*
22 Pon entFO dans des petites Montagnes, au-
,, delà desquelles on trouve une- autre Plâi-
2> ne y, moins grande que celle dé Magne lie ><
jj mais plus cultivée : on traverfe le Vfilâga
„ d e PaUamoutb y OVL Pçn voit des- fragments«
^ d ’AhtdquitëjFort Gonfidérables'jflirune émin
2,nence-. Au milieude Ia-Plaine, il y a forces«
22 V i l la g e s & Pon yà, couoher à Bkhdgià à ÿo*.
2,milles deMagnefte,onpalTe enduite defort*
«..agréarj
r'A R M. iy é a M'ô ü c é a g '4m 4 0
^agréables Plaines, fuivant un Valfdn ferti-
JÊʧ 8t peuplé*, prèV dë'fîxlieuë#,fbù il y à üne-
jï Mine de cüi vre;> d’ou- le -Vi1 lageBa{ri-Ouajji
», prendfon nom. Un mille1 au-deffus P Auteur-
ji trouva quélqnés^ ffâgmont'S deUolo-mnes 8Ç
j<5 Une Inscription. A huit mille delà on pafle
b N ...... ! le plus. riche de ces- Villages. Onu
r> trouvé" èm chemin un Pont 8c une bàfe dé|
jVÏlàtuë de marbre; Go Vallon , 8c là petite.
M Riviere qu Ple( t ra v er f© 5 fe rend- daiis la Pl a i-
r, n e du Caïqne , orné fi: b ât io P e rg'à*m è. L e V aL-
; j Ion férpentë entre les Mont-agnes.Ges Mon-
Vvtagnës | qui alloient S u d r O ü e f t *
V> tournent à gauche 8c vont Nord-Sud , 8c
W l’onarréte à^Villagé do Cojanli, qui eft dans-
ém milieu de la Montagne, à n . lieuës, ou;
Ib 3 3 . milles de BaUdgia. Delà-, a Pergame-, i l
b n’y a que fbpt lieues; Cette Plaine n’a que;
*vquatre lieues, ou douze>milles $è& d&rgëuç'
’,j pàh un bo ut v mais par *Pautre elle à v%. mil-:
a, les i fa longueur eft de 40. milles j ufqu’ â‘la
j. Mer. Le Fleuve Gdik, quiferpente dans cet>-
y, te fertile Plain e 2. eft - à^ d emy -1 i eu ë - d e Per~
4 game:' • ; ;• ; - _ - ^
-*• j, Pergame eft Bâtiè‘, partie dans la Plaine
j.,-partie fur le penchant de deux Montagnes ^
22 qui font umangle obtus , qui communique»
& par un grand Vallon , à;une Plaine qai eû>
^derrière, U par lequel une petite Riviere ,,
„ a o m i