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'340 R e m a r . qju-e s »
on a déjà répondu. Il place , fur une de cé&
Colomnes: 3. ou 4. nids- de Gicognes, &c n’ea
mer poinc fur les autres, y> au. lieu qu’il sien
trouve fur pLufieurs , cçmme je lla y oblervé*.
En fuite j,: il fait paroître à J a pag. 341.. les Augures
qui font à l’efcalier, & commence pas
en; haut ,. o ù il place- à la tête des antres, un
Cavalier à. cheval, fuivy d’un chariot tirs
par deux hommes , &puis un Lion aîlé,comr
battant un Taureau , : à. quoy il ajoute une
table de- 2,4. lignes.r Enfuite , il fait paroître
fur cet efçalier des Statues habillées de difif
£erentes maniérés,' portants plufiéurs fortes
dé. choies entre deux ,, alternativement.,
des mulets des boeufs, des brebis,, des-cha*
meaivx &. des cy>prcs : puis unautre.Lion corn-»
battant un Taure auau-deffous de toutes ces
figures & quelques cyprès plantez dans de
beaux vafes.. Quan t à 1 ’ a ut r e ç ô t.é , qui eft à.
l ’Eft.f i l Ih contente;de dire qu’ifeft.rëmplyt
de. figures avec des larices. A la v é r ité , l'Auteur*
avoue , àla-pag. 340. qu’il a tracée cette.
Proceflion un pçu à la iegere , &; fans âyçif.
exam in 4 les choies à. fon ds. il ajoute a ce 1 a $
que fon Graveur.a commis»,plufieurs-fauxesert
cet e n d ro it ta n t àJ’égard des figures „q u ’à,
celui de l’ordre qu’elles ^tiennent r faute d’a-
v-oir bien compris fon deifein & fes remar-,
q^îes.- Enfui te: ^ il q> rome t de donner, de -meife
t
d e C o r n e i l e l . l e B K u y n : 34 %
leûrfes'Planches à l’avenir ,, à.qno'y il'pourra
facilement réi^ihÆ:4 auiPI-- bien qmedb$î&U$ï£5->
après avoir v n ièsihiiennies. Enun mot y toni
ce qui fe trouve dans cet ouvrage ,t|i’a-aucun
rapport auxfameufes Ruines de Perfépolis.On
en pourra jugerpar une.feule planche que jlay?
donnée- Au refte , on a peine a comprendre *
que toutes les fautes en doivent être attribuées
uniquement à la négligence ou à l’igno-
ran ce des Gr a veut s-, qui do iy en t ■ fui v r e na^,
turellemenr les ordres, & ;les ébauche« qu’on
leur donne *> d’autant plus que fa relation n’eifi
g-uéres piusparfaite-, Se qu’i 1 dit-1 ui-mêmep-
que la premiere figure, qui paroît-au haut de
^’efçaUer , eft un homme?à .cheval;*• lied: cependant
très-certaine qu’ ilme fe tronvfe-aùr
cuneStatuëequeftre en cet endroit ,:n y-dans-
t^uteslesRuïnes. de,ÇWt뻫4r.r ny la moindre;
apparence qu’i 1 y ,en ; ait! jamais eü „,ny .d’an-t
eunchariot t irép at ;d eùx?hom.m e? *n y ; de c om»*
b ars-5 db hê t c §1 ext nao rd i nui rg ÿ|, $ fe mb 1 ahlC^î'~fc
ceux qu’il reprefente y njya enfin-,ête; cypnès. ^
plantez, danjs de ibeauxnvafes- Aicifiïîî ^ulv
dire que ces figures, ces animaux, &utou£ fe?
i>e ft e. e^tellemed^clc^gnolde^ la? vérité , qfi&
je ne fçaurois.m’amufer:,4 eumarquer les de**'
jfautsi. ; \ . ,-j . ; a £‘J-il§v ? 4 * b , - a
I l reprefen6e,,à la .3,44. pkg4>
jpire- invention., puis quad lieu de faire, pa^
roître