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1707. avec les,Calmuques., contre des chevaux, '&»
<* bétail, du beurre,Ôc Le-s autres denrées t[ue produit
leijr païs. Je deffinay ce petit 'Camp,,
jb’on voit ces Calmuques fur le rivage,, & la
Ville devl-âujtre coté de laJdiyieré. Je .m’a-
van ç une.demy-Lieuë dans le- païs , pour
voir Iç'orsx .tentes« qjue je traùv&y .des plus
.chétives, ,8c iden^de. ce ra-at^uahie. patin y eux;
a la vérité les plus conlîdérables s’étoient retire^
depuis inois jxanrsw ils 7 «édifiante campez
|>aar troupes., à pmi pares comme les Xar.ta-
res des;enviironsrd’^iicacan-, mais .bieaipauvre
ment* A mon retour à là: V ille „ le (3ou>t
yerixeufl! m’envoya' inviter d faire lia «collation
c-hesc luiæp y trouvay le Minière Géorgien ,
-Ôc. mms fumes; tréVbiîea régalez., Nous refliâ-!
nies; plus long- tems dm ce tue- Ville ;..qn& nous
■fitavions, rjé foin, le Gouvernent ay aimtenvoyc
la plupart de fou monde d la panrfudte: des
voleurs , qui infeftent ce quartier-ld ,, & de
quelques; perfomnes qui^s etcdent fauvéesdes
ptifons j. .deforte qu’il nous. fallut attendre
* j-ufqnes an hxiéme;.Qdfohre. Nous fîmes] cependant
préparer les chariots. dont nous
avions hefom, que nous firmes couvrir, comme
nos cariéches , pour mous garantir vdu
froid, de la neige, de: lia pluye & des. ventsi
Il faut faire faire ces couvertures-bL,, de mar
qtfon Les puijîe: oter & fos remettre,fa*
ciiemenç
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