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icÿi Npusphutluivîmès cependant nôtrefOiiî^-
te au Nord-Nord-Oiiell, avec le même veuc >£
& fîmes fonder ,. à quelque diftance du. Rocher
Oiieft. J’y deflinay.l’Ifle àQ.Lareke i l’hft , 6c.
fur le derrière une partie de celle de jôfinw *
qu’on voit, entiere.au bas de la meme, planr
che. •
(Nous trouvâmes em cet endroit ^4* S2
brallés d’feau .,/&iétant parvenus:dur le foirà
.quatre bralfes -6c deux- pieds d’eaü $ nous «y
mbuilldmesi Èânerew Je mei riendi]s «nfutte;m
terre , pour aller.àdamouvelie Loge f ou dëV
meuroit alors Monsieur le J D i r e d e û r l e s
autres' Ofïicie.rxde la (Séin.pagdie^ On fut fuïr
pris.de rhaniretour'parce ^ e j>métoiscppfi
ty l’année précédente eh trësr-mauvàis etat*
J’appris que le Maître-d’Hotel de Sy^fiew^ y
étoit décédé y 6c deux Marchands, dont 1 Un
étbit mort &2£fiê-rà€S-qn•''ailànt-à.dljtefeaihs Sc
que : Monfieut Pfèjcôt, Miniftre d Angleterre
a la Cour de Pe rle , les avoit fuivis.
ïftès de La- reke & de
Kilmus.
€aAmrrroivné. e Ià
, nommé Leefty.quQ nous avions au Nord:
fur Sud , & l’Ille d’Qrmus , au. NordrNord-
Oïieft, vers; laquelle nous avancions en droiture,
& y trouvâmes depuis 40. jufques a3o..
bràffes d’eau* Sur lemidy. nous fîmes encore
jetter la fonde à. l’eau lai pointe d’Ormus,,
au Nord-Eft 6c demy Nord; & à la pointe intérieure
de Kifmus , au Sud - Oüeft 6c demy
. C ha3
w e C o rtn b i l l e ; l % B7r u y n . 1. 3 3:
. C H A P I T B. B LXXVI. ,
Chûfés' remarquable à Qdmroij/iv Situation d Ejfiri.iCo-
. tonniers. Plantés extraordwdires. Arrivée du Xjoti- . yerneur de Gamron.Départ de cette Vaille. Arrivée à Laer & à- faron. ;
a UoY que i’eulfe féfolu de mérendredn-, ^ seflamment à Ifpahan,, je fus obligé de u. octobre. rteenliderr e qdueesl qvuoeist ujoruerssd eà Gamron , pour y at.
ZjK-raes ou Çbiras -, 6c ppaarg nçee.t,t ea vraeicf.onj,’ailay. me divertir âia Oam- y i « ^ M a i f o n ; de •
VNaielilbea,e na uv pqiueid n d’e’ulln eq uM’ào.unntaegbnoen h, ed'lfioeùu ël ’odne laa teur. xupnfeU- trCèestfîtbee lmiea vifuoen feulrl lpar oMchetej iid eS tP.veenrds roQfat mou- eit l’arbre ,dont parleMr.Taïïerftier, avec des taure de; SWWWPBI ' r . ■ ' ' EBTüSa rr , f • . T avernieiv eloges5 qui ne lui conviennent aliurement
pas. Tout; ce qu’on en peut diréifit^f iqpe 1^
branches en fo n t ç q u r b é e$ j u/qUiCS 1 en t et r e |,
ou’elles y ,ont pris( rapi ne,§2;. ont poplfe des
jpts , qui relfemblent-à de jeunes arbres^ Au
relie, cet. arbre n’elt pas des plus élevez , 6c
né fait pas beaucoup d’ômbré. J’en ay meme
vu plufîeurÿ femblables aux Indes., aux ënvirons
de.Malakjte 6c fur la. Cote ,, aufquels 011
donne ;