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• fyoÆ. avec tnüs les Pians & les De lie in s que fa ÿ
Ottofojt, faits , nono.bftant toutes les oppofitions qui
s’y font rencontrées. Au refte, jefouhaite que
le Public reçoive cette Relation avec autant
de fatisfadfcion que j ’en ay en la publiant >
dans refpérance qu’il s’y trouvera des ehofes
digne.s de fon attention, puifque je n’ay rien
épargné pour la rendre utile & agréable.
F l N.
R EM A R *
REMARQUES
D E
CORNEILLE LEBRUYN,
Sur les Tailles-Douces de l’Ancie n Palais
PERSÉPOLIS
an jour, par Me/fieurs le Chevalier Chardin,]
& Kempj?er.
U elqxjes perfonnes de diftinc-;
tion, fit d’une érudition extraordinaire,
m’ayants fait connoître
qu’il feroit à propos de donner
au Public quelques lumières fur
le fujet de la différence qui fe trouve entre
les Tailles-Douces du Voyage de Monfieur
Chardin, 8c celles que j’ay publiées dans le
mien, à l’égard des fuperbes Ruines de l’an-
tien Palais de Perfépolis, j’ ay crû qu’il étoit
de mon devoir de leur donner cette fatisfac-
tion, ôc de me juftifier à cet égard. Dans cette
vûë j ’ay recherché avec foin, 8t avec toute
f ’exaétitude poffible, tout ce qu’on a écrit 8c
Tom, '0 §tq pp*.