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,1708. quelque^ Prairies; la Riviere coulant au^orË
* o. & p UiS ÿ | * £ | | N o us é cio us alors.a u59.de gré
50. minutes de latitude Septentrionale. Il y
avoit beaucoup de Pêcheurs enxet endroit.,
où nous paflames a coté de l'Ijfle de fedo, fur
laquelle il y a une netite.Eglife, & arrivâmes
T^ - eà fur le foir à la Ville de Todma , au confluant
° •ia' .des Rivieres de Sucbana ôc de Todma. Je fis le
plan de cette Ville au Sud-Oüeft , comme*on
île trouve icy. Elle.eft au sq. degré J 14. mi-
mutes de latitude .Septentrion aie, à ^ 5,0. rxjrpcr-
Sa fitua- de V -Vologda. C e ll une Ville peu confidé-
rab.le, &ç où toutes les maifons ne fon t que de
, bois. Il y avoit ÿ p roche de ..cette Ville , un
grand moulin, fait â làHol 1 an doife, hors qu’il
M, avoit que deux ailes, qui Jetoieni nvemeen
partie rompues. ;On voit 8. nswe-rfies. au - de ITus
•de cette Ville , de groCes pierres dans la R iviere;
mais !a plupart ne paroilfent qu’au mois
de Juillet, lors que les eaux font b ailes. Il pa^
^oiffoit. cependant quelques terres verdâtres
.au milieudelàRivieres mais le eqté Méridio^
mal en eft toujours navigable , & d ie ahiea
& 5gRj pas de large en pluSeu-rs.end-rotitsjjous.
^parvînmes te vingtième, fur ie tardy, à Stare
Todma 5 c’eft-à-dire, l’ancien ne Todma,, qui
eft P endroit où l’on commença a lahâtir 3’il
y a 30. ans, mais on ne continua pas , & onia
dtâtit au lieu ou d ie eft .aujo.urd’huy. Je lifois
faciie