Z&4 ; V O T A Ç E S?
, ^toSL Eglife avec un dôme couvert de fer-BIû-n&J,
J»*»- dans un petit yill^geà aCmmtié-chemin d’Ouft-
. jough, à.Ajch,angek, au tf-3>. degjré dix minutes
de latitude Septentrion ale.Il y avoir une Barque
éclioüée en cet endroit , & plulieursllles;
remplies d’arbres Nous y . vîmes 3,à gauche,,
lîa petite Rivière de Pende , qui eft affez pro—
fonde , & s’étend plus de 40. dans le=
pais..
Le vingt-cibquieme nous trouvâmes Te r i -
vage pierreux. & allez élevé ,8t approchâmes-
Mtmtagnes. des Montagnes d’albâtre , qui font a gaucher
idtalkâtre.- en avançant au Nord- Nous allâmes, à terrer,
pour les vnir-Les.gens dupais lesnomment:,
Piffoentje, ;.,c’eft-àrdire,.fours- Ce font.des Grottes.
foutertaines £brmées.par la nature,.d’u-
ne. maniéré furprenante-La.principale entrée;
en, paroît foutenuë par des pilliers de Rochexr
en forme, de pila Ares.,. Ôc il y. en a plu/ieurs;
autres détournées' qui.donnent.dans. de petir
ces,Grottes... J’avançay plus de cent pas., â la;
chandelle 3.dans^une,des plus grandes, de, ce s .
Grottes. On prétend quelle aplus<dê 30. T’vm-J
$es dlétenduëi^mais^tout le monde n’en; com-
vient pas..,La grande, quantité, de bouë qu ili
y avpit alors dans ce vafte fouterrain 3 m’empêcha,
de penetrer plus avant, quelque envie."
que. jt;èu euflè. Jr’ên delïînay une partie,,avec::
1k; Edi vièrfirdûn & L L é loi gn emen t ^ c o m m e e 11 es*
9 f C ork s i l i e le Br u M l t â f
pRroiflfent icy , ouT’on voit deux ôuvértlüres
en voûtes,/qu’on dirqk qui font fouténuës par
dés pila-ftres-, &c e n t r e 1 e fq u el 1-ë s on ap p er ç o i t
une Barque fur la Riviere ,& le rivage de l’au-'
tre côté. On trouve d’autres p a ITages à-droi test
à gauche , •& de petites Grottes quine vont
gué res avant. Les pierres en font .aulït-blanches
que l’albâtre ,, mais- elles,n©-font pas lî^
dures ».cependant on en fait plulieurs jolis bu-
v r ag es. J.’en • a y co n 1er v é un .m Q t-c e a u , > au lïî-j-
bien que du Rocher, qukeft au-deflus; Ce lieu-'
là eft environ à 1 50. rw-verftes d’Archangel. Ges*
Mon t agn es-,, qu i ont un e demy-lieuë d’éten--
due fe vo y e n t ,. pe udan t i ’èlp a ceded eux heures
, le long, de la R i v i e r e & il n’y a pointé
de Grottes âii- delà. Le haut de ces Montagnes
eft couronné d’arbres , & le terrain 1&--
feouré àT’entour. Après avoir-palfé ces Mon--
ragnes , nous eûmes une grolTe tempête, qui-
tious fir donner contre terre. Nous avançât
mes enfui te au No rd-Oiieft, .1 a Riviere ay ant*
par tout un,<-utz>erfk de large. Le vingt-lïxié*-
me nous continuâmes* nôtre route â l’Eft-
Nord-Eft, par un vent contraire,.allant fort*
lentement â la ligne. Sur 1 e fo i r , ,n o us palTa>~ '
mes â-.«eôté4 e grand Bourg remply tiê '
maifons^ avec deux Eglilès'& un-clocher, 8c
jfîtué dans, un terrain admirable. - Nous parvînmes
peu après â la-Montagne d‘Orlees, que
nous
iyoSfr
l@. JtitHm '
Montagne
’Ôrlees.