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tems.„ Mon&euriCb^din ja’.^i# pas <été aJÏe2ç
„ de. te ms. non plus „ pour examiner âfonds ^
„ &. bien, reprefenter ce qui s’y tro u v ep u is ;
*>qu’i l avouSpi^rnêmei >. dans fon Voyagp w
Tbm» ht.. »y.-XomwJX.. pag. fcyy^qull n’ïa. eimploy é oueu*
Il.d j0> li' >3 c*n><l laur^ Çbglmmtfr&t àenufçWe duscdeJC^
Æ> eiuptioias ôc des deCeins y,& q u ’il a éteobli-;-
ge.de fe fervir pour céla.d’un Peintfejàga-
jy. ges^. Aùifî.iattt-iiicon^nitî's,Mp»fou?,*qugô
quoy qu’i l fe t;ro.u.ve:queI ques.figures
** les Pianekes' de ce. Chevalien *,qul^àcêu^-
3S». dent, en partie avec les vôtres qu’on voir:
jj,bien q u lo n t été.; delEnées. fur les; lieux;, i j
nelaifie p ^ deparoitre. évidemmbhi qufçlr
„.les ont été fai tes. à. La. haie, & qp’ona tou-;
,„ché plufîejurs.chofej tellement à; la légère,*,
*» qu’on a été oblige de les fini r e n fui t e à t o ut
À* kazardL.. C.’ e11 cmque mo us av efctickrjiudi H
„jCieufement. obfervé .dans. vos Remarques dj
» feairéfutant: toutes.les fautes qu’il inomnji--
» lès*,* &. cela, avec toute L’exaô^itnde d’um
>.^homimê qui a* v k les ehofes, defies propres*
*,,yeux,..& qui les a examinées-1 fonds ;Cela^
étant, je f uis perfuadé qu’il; n’y a point dô;
lie dieu r éclairé qui bal a n ce a vous, don net"
,>.fon fufixage:.* Il m e fe m b le . m ê m e qu’on n e
,>/çadroit; révoquer én doute:, quelé-s repre-
» f i ntations*fiaïtes,par;un con no i fleur ôc un
„ruici eux: comme: vo us, .q u i „en t en d p a rf ai t e*-
>9ïmen£
DE C 0:R H E IEEE 1 E B R TJ Y K-. J ^
H ment le de fie in., ne foient préférables, à cel-
%kèm d’un Peintre d .gages v qui n’:a refié que
„ cinq jours fur les lieux , & qui n ’a fait que
„ parcourir les chofes a la hâte , . au lieu que
vous y : avez:; employé tcois mais entiers
fp avec u il e ap pl i c ati ofn co n fi an te * <8p- toute
„ 1 ’ e x a éi i t u d e p o fli b 1 e.. C ’eft - la mon lenti-
, , ment à l ’égard de l ’ouvrage en general, >&
$, il me fe m b Je qu’i 1 n’eft p as m al fonde. A u
, , refi e ,.jè ne p retends nu lie ment dé roger au
„ mérité de ces Mefiieurs , ny aux louanges
„ qui leur font dues à tous autres égards; {a}
,, Mais comme vous fo-uhaicez , Manfieur^
5, de.£ç avoir mon £e n t i me n t fur i e s remarques
„ kiftoriques que ces Meilleurs ont répanr
3, ducs dans les relations de leurs voyages,
„ par rapport aux figures qui fe trouvent à
fj- Chelminar , j ’auray Ihbnnear dec vousdife È
3, poiir vous obéir, qu ilme feniMe qfieMonf
„ fieur Kempfer efi âfiez retenuià cet égard ,
s, & Monfieur Chardin fort fupérficiei, ôc
3, que vous n’avez rien obmis dansMe vôtre
■ Y y i) i-i,de
(<*) On ofeaffurer icy que I belles Planches qui en con-
quand vôtre Voyage # qui I tiennent des Ruoies j il;fe^
■contient d’ailleurs plu- I roit : toujours affez pré»
fieursiaûties ^cfiQfes très^ j cieüX#:pfiisqü’ii.donnerelit
curieufesf » n’auroit prefen^ | Une, «xa^evonnèiCancd
té au Püblicquétla Relation. I. d undes plus beaux Monus
feule de chelminar # &' les l mentsde l ’Antiquité»