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ire , Ôc la troifiéme vers la Montagne. Il die
que le dehors en elt un y ôc. fort; poly , fans,
que le tems y ait rien éfacé ôc qu’il n e s ’yr
trouve aucune foulpture : qu’on y voit en de-
dans.„-fur les cotez, quelques Statues un peu»
plus grandes que nature, feules à feules „avec;
de longues.robes , fort larges, qiii.leur tombent
jufques aux pieds., & des manches pliC—
fé e s ,, comme celles dès Prêtres ; dont les unes
femblent s’avancer, en dehors y ôc les autres,
en dedans, Wôc que routes ces figures font vêtues
de la même maniéré ^ que celle qui eft
fous, la porte.*, au.NQrd-OüeÆ,;tient'une urner
de la main gauche *„ ôc de la droite qui efe
pl us élevé e > un-en ce nfo ir„uu e pe tire 1 anter^
ne, ou>chofe pareille. Qu!il y a une fîgurefem-
blable fous la ponte „©ppofée à celle-cy „qui
tient les mêmeschofes.,,ôc que lbs autres n’ont
plus- ny têtes ny mains U que celle qui eft à
liEftreft. au fliendo mm âgé e , j ôc tient à la main
gauche, un petit paquet, ôc une fleur, ou cho-
fe fembkble de la droite;.
G’eft le. même édifice ,.qpe j ’ày nomtnc', 1
la pag.4z4.du Tom. IV.J^^t.madre Sulemorn^.
ou la Mofquee. de’ la Mere de S'Ulem&en* J ’ay
trouve que. cet édifice avoir lü. à zo. pas en
quarrç-,* de chaque, côté.. On y-voit encore
trois Portiques femblablesdeeux- de Perfépo-
Ms, que j ’ay reprefentez , lefquelsf-ont n .
» kfÆimtiê fiêmiïiëivi