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lui-même j j ’ayt ern ne pouvoir me iifo enfer
plus Ion g-rems. de. reprendre, les, fautes qu’i k
ont faites fur. un fujet fi in terre liant., & de ju*
ûifîer ce que j ay avancé dans* ma. Préface „
taiu par rapport à. ces Defïinateuts, quin’é~
tants,pas animez-du. défir de gloire,, qui, eifc
neceÆaire _pout découvrir la vérité, ont fait
des m é p r i t confidéxabies qu’à/l’égard de
ceux qui. prétendent avoir, tout deifiné de
leurs propres mains.. (<*jq
- n é t endant j e ne fçaurois m’empêcher,
dedire quUparuten ry i* . une jDeftripion de
la TerreSainte,, imprimée à Amderdamfous le
nom, de jean Baltbafar Metfcher „qui a eu fi. peu
d ’égard a 1 a,vérité., qu’il s’efLfervy desPlan-,
chesde quelques Villes de' Hongrie , pour re-j
prefenter.les Villes de la Judée & de la Pj-j
hûki& ï comme par exempk, de T ô^ipour;
Tiberias »de Peterr^varadi» four Nazareth., & de
P1 ufîeurs. autres fem h 1 ables. Qn a mê lii e ofç
dédier
Æ â I f e/Evray. que M.
Chardin. ne fçavoit gas
ctefliner, niais if Je fer voit
de M. Grelot, qui ;étoitfort
babile 8t très-hoamêtehaim
me. j apres tout M. le Briryn,
11 ? t àfe récrie r, furlà
aiffèrejrce qui fe trouve , HRPR
entre fes de/Teins &;ceuxde I j épurés-
Chardin, guis qu’ils fe refr l
femHlënt fo r t , & on ne
v o it pas ce, qui le met de
mauyaife, humeur contré
lui... Chardin étoitun Voyageur,
très-intelligent , & il
paroît avoir. bien examiné
cas Ruïnes.» Il eft permis à,
chacun de débiterdes con^.
D‘E C oR n Ri ee eï t e: Kr ü y n. yo#
dîdier un Ouvrage de cette nature à uri Prince
aulïi éclairé que l’étoit Son Altelfe Eleéto»;
râle Palatine.
Retournons à' nôtre fujet’, 5c commençons
par Mv C h a rd in q u i reprefonte le- premier
point de vue de Perfépoiis aunum. jz* a peu.
près, comme une platte-forme;, que l’on vo it
d’un coup d’oeil ; pure imagination, puis qu’on-
ne peut voir ces M azurés-, d’en bas , que
comme je M M reprefentéés.. L'efialier d e l&
façade ne doit pas être plus élevé queles Murv
de GÔté , fi cen-’eft à la droite, à l’endroit od
l’on monte aux Cblorones ; Ôt le Mur de la fa~*-
çade doit être plus bas de la moitié.;, à proportion
de fon étendue.» De plus*,;, la plupart des.
Colômnes font hors de leur place r,il y en m
r. de tropy St 5» qui n e p af o iflen t q.u’à.demyv
quoy qu’il n-y en ait qu’une: feule de cette?
mamier-e. - L a moitié: des Pieds - d’efta-ux font;
mal reprefentez , de même que: lès animaux*
qui fon t fur des* Cblomnes. -r ôe co mme tout y/
paroît de niveau r il faudrait, que, les z. Tombes
Royales , qu’on vo it dànsle Rocher: ^fulfonç:
pi u S’haffos que: les> m ie n n e s a u lieu qu’elles;
fon t plus élevées^ Montagne y ffofoend
auffo beaucoup'tro'pbas u & l ’on,n’y/Voit points
a gauche , les. Ce rceüi 1 * de p ie r r e . qu i. de-
vroient être au- bout de là fa f adey ôc que j^àyr;
nepre fentes,. avec tout l’é d i f ic e ju fq u ’i la
moindre