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grande dî fl an ce les unes de.sv autres , 8ttto'p*
iêgulietes, outre qü!iLy a- trop de^mds'^’^r
fl aux „ ce qui doit paraître tout autrement,-
La Citerne d.e pierre eft. beaucoup trop gran-*-
de, & ne doit pas. être de ce côté-là de la mu*--
raille ».vers les Colomnes v-mais plus près des
Portiques, dont.les deux Colomnes font trop®
élevées l car le premier Bot tique doit; avoir
35*.. pieds- de hauteur , & les Colomnes n’en
©nt que 54.. Le nid de Cîcogne, qu’il a placé
fur unedeces Colomnes^ell aufli d’une grandeur.
démefurée. La Plaine ne doit pas parois
tre au milieu, feretreflifïant à i ’Oüeft, ny les.
Montagnes fî fort à l*Elt* dé cote. & d’autre,,
comme, illes. reprefente „mais comme on les
vo it dans ma Blanche., aù.j’ay tout mis „ ju f -
iqu’àu moindre arbre.-
Sa Planche des Cara^érer , reprefentée di
lapag,. 333.. ne s’accorde aufli nullement Lia,
mienne ce font pourtant les memes i- mais»
tout eft confus & broüillédans la fien n e o u tre
qu’il y en a qui n’y de.vroient pas être. Il
y repreiente les 24* lignes parfaite^au lieu*
qu’il manque plufieurs Eflypes dans les mien-,
nés, dont ceux.des trois premières lignesiont;
ahfolümentéfacez : au reftè, y aymarqué-tour
ce. qui- fis trouve, dans Les autres„ j^ufques am
moindre point..
là marquer à là pag. 3:3^ qu’il y a 1% pass
de C o r n e i l l e le B r u yn : 33^
<de Lefcalier.auxpr.e.miersPortiques, & 30. de
«eeUx-cy aux autres. En-comptant chaque pas
.3 2. pieds & demy ., les premiers fe trouve-
soient à 3 7. pieds .& demy de Lefealier3.&: l’ef-
paçe , qui efl entre deux , en a 42. Les Colom-
ties font cependant à 26, pieds du premier
iPortique, &; à f c du fécond, ce qui fait 82.
pieds , au lieu qu’il n’en compte que 75. Il
ajoute que chaque Pilaftre n’eft compofê que
de deux pierres , fi bien jointes 9 qu’il efl difficile
de s’en apperçlÊvoir't cependant le premier
en a 8, ôt l’autre 7. comme je l’aÿ obfer-
vé à la pag. 30^. du Tom. VI. où tout eft déduit
avec la derniere exactitude , ainfî qu’il
paroît dans mes Eflampes, avec les Colorm
nés ô£ les figures des animaux, dont les têtes
fdnr ou tout-à-fait féparées, ou fort mutilées*
ce qui fait dire à cet Autéur , avec beaucoup
de raifon, qu’on ne fçauroit juger cequ’elles
reprefentoientÿ? cependant, il ajoute que les
dernieres , qui font ailées , pou’rroient bien,
être des Grifons & meme qu’ il y en a.une,
dont la tête reffemble à celle d’un homme barbu
, quoy qu’elle foit fort endommagée, ce
qui eft véritable. Il prend lés ornemérrts de
ces animaux pour des rofes ou ducoraii. J’en
ay reprefehté deux dâhs mon Y o y agè.
Il donne aux Colomnes deux braffes de tpur,
êc deux fois la hauteur des Portiques, à quoy
V v ij on