ÏJË C'O'loi'EItï.B i e B r u y n : r y
eoiiduics à Batavia, d’où il s’en fauva 2.. &: les ifQ &
4. autres relièrent au fer vice de la Gompa- ^-Février,
g nie qui les .envoya fur fes VaiÆeaux > pour
le ur faire apprendre nôtre lan gue, & en ti rer -
-enfuite des lumières par rapport h leur pais
où l’on ré fol ut. de Les renvoyer après avoir tiré
d’eux ce qu’on fou h ai toit defçavoir,, pour
faire connoître l’humanité de la Compagnie;
i leurs compâtriofes ?. & tâcher d’entrer en. teutwSè
1 . . r 1 . >• leur marne*- eommeree.avec eux i car julques alors* ilsn a-1 re>
voient jamais permis aux étrangers d’entrer
dans leurs pais -, & le Vai fléau dont on vient
de. parler , étoit lep rémie r q u i y eut abordé.
L’air de ces Sauvages me parut û extraordinaire,
que l ’en voulus.peindre un , L’arc & lai
flèche à la main y â leur maniéré y comme on
le voit icÿ.; Ils vont tous nuds ÿ avec une pe* $
tite ceinture de. toile , qui couvre leur nu^.
dite * & u-n petit .cercle d’ivoire autour de
la jambe gauche. Je pris un-de leurs arcs, 8C
plu fie ur s d e 1 e urs fié ches > que j ’ay c o nier v ées is
Ces fléches : font de canne, les unes plus greffes
que les. autrçs.y ôt .à pluheurs pointes ,• c&
qui rend les bleflures quelles font très-danger
eufe s T mais, comme elles font fort légères
j elles ne portent padbin.ije vaisÿoindre,^
à la figure de ce Sauvage, celles de deuxfem-:-
mesÆalieres, qui appartenoient a IsÆ; TLàjkUin*
Elles -entortillent leur jupe,. qui elt or d i-nai r emene