374 L e t t r e sur le s R e m a r q u e s ’
vîte.fTe: extraordinaire.} deforte qu’on a bien'
,, de la peine à de prendre. EHen.dit a peu près
^ i, la même chofe „ d’apr.ès Cteßas ( a;), Anfiot*
% dit auffi 3 ( b ) qu’il y a des Mulets aux In-
„ des qui ont une .corne * mais qu’il ne sert
trouve guires. Pline rapporte la me me-ch0*3
)> de Ä Voyez aufii, fur ce fuj e t , Tbom.ïïaH
»3 tbolijn.( d). Quoy qu’il en doit, il mejfemble
?> que vous le reprefentez à peu près de cette
■ 33 maniéré .fur l’efcalier.; ôc à l’égard de ceux
ypqu’on voit dans la 6$. Pianchefie Monfîeur,
» Chardin, il peut y en avoir eu de fembla-3’
y, blés , nonohRant qu’ils nous foient incon-;
# nus. Vous- représentez auffi un H m s , qui
s, combat contre un Lion y qui a une corne Ü
„ l a nature produit quelquefois des Monf^
3, très. Je vous avoue mçme que le Combat
33 du Lion ßc du Mulet à une corne, ne me
„p a ro ît guéresplus extraordinaire, que celui
,> des Mulets & des Ours, dont vous parlez au;
rTom.’ ni. ,^chap. 9.3. de laRelation*de votre Voyage.*'
l’Ed. in 4. ja Au reite , j entrerais allez dans les lenti**
jj ments de Monsieur Chardin, pag. 70.. qui
>? croit que f Infor ipt ion en car avérés, qu’on
■ , m ./•„ „ voie
(a) L. If, de Nat. minimal* j (c) L. Hiß:, Natur. £L’
52- I 37/&4S.
fb) L. II. Hiß. minimal, j (d) J)e V ni for nu. fM %yA
c,L. j
v p C o rn e i l l e le B'r u ym .' '„'37y- -
y voit au bout du long bas-relief de l’efcalier^
^ encontien11’explication ;-cela n’empêche
pas queqe ne fois pleinement perfuadé, par
^toutes 1 es-r ai fo ns que je viens d’alléguer y
que ces fameufes Ruines font celles d’un
Palais i &• ne fçauroient être celles d’un1
„ Temple. - ; ■ ' ■ ,, ' ' Vv
3, Il a aiiffide l’apparence,.que l’endroit o t
r fe trouvent la plupart des Golomnes a fer-'
w v y de: Par y i s au -devant de c e Pal ais, c o m -
■ me celui qui étoit au-devant de l’Hôtel du^
Roy-a Sefe, dont il eft fait mention au Livre-
ys d’Efiery, Chap. V. par oifd’on faifoit entrer:
yi. l’air & la fraîcheur dans les appartements*1
iy II effimême à préfumer que ces Colomnes •
5)ne portoient aucune- couverture , comme
l ’obferve Moniteur Chardin M la pas;.'76% *Toni. 11$
vina is il pourroit bien etre , qu on tendoit
yy au-delfus des tapis ou des toiles , pour em-'. |
y, pêcher les rayons du Soleil d’y donner à 1
y plomb , ce qui eÆ*un ufage-affez* ordinaire
y en Orient. Le grand nombre des quartiers ,v
à* dont 011 ne peut plus- reconnoître la fym- -
y métrie ,fe ryo it apparemment pour le Prin-~
y ce ôc pour les Officiers de fa Cour. -
.. 33 Moniteur Chardin neparle pas moinspo^
^lïtivemen-»* des vêtements des figures, que
de fon Temple imaginaire,, ôç des. Sacrifi-
^.ces qui s’y faiforent ,*parce qu’il trouve
„qu elque