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G H:A P I T B. L X X X II I.
XXépart de Sdmachi. Arrivée a Niefervraaey,) Dépdtâ
de[JtfiepirvczMep-} arri^vée a AJiraean.
f May.
Départ de
Samaclÿ.
J E partis de Samaëlii^e- vingt - quatrième
May fur le ’foir ^ le Gonful Ruifîeu Sç ceux
de fa fuite ayant pris les devants. Je les trou-
vay dans les Montagnes, à une lieuë. de la V i l le
y avec pluheurs Arméniens s &c quelques
.Indiens, jgt nous commençâmes nôtre voyage
à la pointe du jour. Lapremiere ehoieque
nous remarquâmes fut un bâtiment démoli,’
qui relfembloi tâun ancien Monument 3 étant
rempiy de Tombes. Enfuite3apres ayoir tra*>
yerfé un eR iv iê re /.quelques-Canaux Jk «des
Montagnes % couvertes de; pe tit s ar.bres: fau/
y âge s r = de pla;£eujrsrplaiiiies,<^ei,è#5^v'mou$
arrêtâmes a 8. heures du foir fut le bord d’un.
•Canal. Le lendemain nous fpivîmea le cours
4 e la Rdvieré Jufques aux Montagnes:,, Às,
Rayant paffée uneXecande fols , nous palfâ-*
mes la nüitdur iesrivâgè j àhui t lieuesdel’en*
droit d'où nous étions partis. Dénia nous en-^
tr âme s dans une Plaine, qui donne fur JaMer
Galpienne, d’pu nous vîmes plu y eut s Villa ges
dans l'éloignement $ des terres labourées
&
Arrivée à-
J^iefawaéyi ■
D‘E G O it NE I I DE LE B R U V N ; t ' i f
»Ët dautres;; inondées dur les y. fheurës ,L iyo<£<
nous apperçùmes les Dunes ôs la Mer même.. 8* 7«'#*
Nous la e ot o y âmes v ex s le fo i r t ra ver fâ mes
un petinGoIphe quelle- forme dans les ter-j
r-es ,;où jetrouvay plufieurs pierres de touche*^
St n ous ar r i vaine $■ ' fu r les io .-heures; à Miefa-
>^4^;,oùvnous rejoignîmes les Ru-dieu s , qui
a-v o ient pris un au tre che min.; No us y I tr o tipf
TâmèaisfeJt Barques RufEennes & plufieura'
trentes fùr le rivage^dduslel^uelles il y-avoit^
• de s mar c h an difes p L e s R u {liens, qui dévoient-
palfer rhyve r e n’>oe 1 i eu-là, y a voie ntfai t des J
des tentësv. J ’en lis $istdeilein ,-que voicy;, -
tP-i o i* j o ur s! ap t^è s ; n o u s appt bch âm es dur i va---
ge s: qui n’étoi i qp’âumquattde lieuë de nous,-
&; on commença à embarquer f les marchan-
fê s , qui conhft bieutsen fôyes & enris^mais^
dl fallut-skrrêter' pendant- quelques jours câ*
caufo de la vio-lencede-1 a poul£ere ,-,caufée-'
par un y en t cTEfl:à - quoy> cetteCôte eftfor;n
fuj e t té y com me on • i a: idé j a pbieryév J y fis •
auffi le. dedein du riyagè aj qu’on t ro u v e* ic y §g*
avec. les tentes ,~Jes barques , &c; -
Le huitième Juin tout fut embarqué , ët le :
plu i p et i t rb ât i me n t fît*y o il e p ou r AÆ r açah 3 i,
d’oè il e n a rriy a deux • e#ce m omen t , £b;une-
autre de Tarkji o\M:é&rX^kriSkt'i^JSbit Jsè-mee
. .TOndrsâUjord^e 1 a pl us gran d e-Bar que i a v edli
-
î'iffi