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eil entent £iar d-autres > parce qudndhange s&oy$<
de chariots en càaîigêa-Qt de claeyausey Mous e-OÉdre*.
e*i^ fîmes couvrit quat re de ;cette maniéré *
que nOns avions^ dont il y en avoir
4a^>iau-.MinièreGéorgien nous nous mi*-
mes en cdiemïn 9i aprèsva¥uir prjfe ooirgié dtn
Côiuyer!ueur9 a&i i ’ayt>iÉ'ï^raBia(Süéde*ùutess'.fes*.
Jîptmête&ez. • (a 51
N»us* trouYameslestcJienlihs parfaitement
Pons en ce quartierdâv maïs il faifoit^grancf
froid' &c grand vent & par bonheur v nous
arrivâmes^ une heure après>Ojid^ , d a t i n ' * MaifoV
Çabac de bois ,-ou le n nous fit bon iecf, dont- vemtdS%•
nous rayions grand, befoin.- MoUs ne nous y queurs*
arrctïknes cependant pas long- temsb St après>
avoir travexfe une Montagne,. &c quelques
Colines ,. nous arrivâmes â un autreCsérftv-
apres une traite de • 30.. l^ruerfles par un che-
efcarpé ,. que 3. de nos chariots s y ‘
nenyerférent.* Le lendemain 3< étant partis
|C4) On peutyoir fur toute
cette route , depuis Af-
tracanjufques âSaratbf, les
remarques que j’ay faites ,
lbrfqpè i ’ÀUteur defcendit
lè Wblga. Comme il revint
dé Batavia, jufques en Mof-
©oviè , par la mêmeroute
par où if avoir été H & 'que"
j&£' ne vois pas qu’il ait fait;
ayant’
dé remarques particulières* •>
il auroit pu épargner àdes ~
LeâEeurs la peine d’enten*
dre fedîrd la mêrne chofe.’ -
J’avertis ■ feulèmenr, que"
comme il ail à de Saratof à«
Mofcovv parterre, ondoit-
faire quelque attention fuç
cette routé.- .