L e Piriéeqoî; a dents km peigne
(Pimelôdué ctenodus, Â'gàss.),
représenté <Jàns l’ouvrage de Spix (pl, VIII, a), paraîtaussi
Revoit’ appp’tjenir à. çe groupe.
Sa fbroeeîjgaaérale diffère, peu de' celle du Pim, p a ti, et il a'dë
même une adipeuse très-longueet très-basse; de petits yeux, une tête
plate,; njais qjîtte J,êt^e est longue, 4WM fois, et demie
dans la longueur^totale. La caudale est aussi renrésentée( bien plus
courte ^dii^s^ptiètàe délia longueur totale ), et coupée seulement
un peu en croissant; fis§, J||irb^l|Lons maxillaires tjépa^seqt l’an a l®
les
leur base. Aucunes dentelures ne s^m^mampées^À^^émnes. Ce
que M. Agassiz donne comme^son caractère spécifique principal,
• ;^git qtfen: avant de :sfes*éents én-^ïoufs5 est utié rangée de petites
'dents ’ obtuses ’èf distisèftës^ il compté iés ràyëbs fe<5fiîtoe 411 sliit :
- Di j P g ? lVfCl 16 ; !
et pléint le pwSôn ejntîer nùn eris?bléua|re. ’■
ij Mous u avons; pas vu. ce poisson., dont il n’y a.à Munich
qù’ua seul' ;4^hian4illon<|doHg de di^êpt^o-uee&ÿ mââs^n©u&
tro.uvons dans le recueil du'Prmce Maurice,!If- p ^ 'S !;: Üne
figure qui lui rèssfemfelé lifeufcdiip, sl cb;ü’éfet que l’adipeuse
est. moiu& longue, EUe est eBrltunlnéé dfeblqui «Mp; la
ligae; latérale rou^e^ les bprbillbns uèals^; les imagoodres
noirâtreSi Le noiB^y est marqué &mri,i*\e' qui rappellé le
£zOTu»;de‘i3®ÔQ. etidjÊ Feuifiéq.' ■ *
Ii^est dit que lp taille du ppiskm égale celle du brochet.
L’éditeur de Margrave n’en a point lait usage, à moins que
sou nhamdia oubagre do Rio, p. i 49? n en soit une copie
tfès-altérée.
Le iPlMÉIiODl JAVANAIS.
(Pimehdus javus, K. et V. H.)
• le trouve parmi les pôissbns envoyés de Java par MM.
Kulil et Van fîasselt un pimélode de G e tte subdivision, la
seule; eipè^e qne les Indes,, qui d’âjjleurs nourrissent peu
de pimélodes, nous aient envoyée,,
D a n s celle-ci la dorsale et; l’adipeuse se tôuehènt presque; le
barbillon maxillaire est long des trois 'cinquièmes du corps. Le
k premier stiüsutaaindibülaire atteint l’extrémité de la pectorale, l’in-
" terne est mèMAplus fcôurt. La caudale,“ fourfehué, &:le lobe inférieur
plus longqtte le supérieur; les;pectorales étles ventrales sont petites.
Il'ïé$i:k 'pas-d è '-fa^ iv:;#sèëiâ|^.|e:;:é^iïé:paraît nÿoiire continu; il
est plus arrondi, totit-à-fait fisse.1
d. 1; A. fôyC; '17, le: ;
Le poisson est tout brun. Il, est long, de quatre poucjes
et demi»
Enfin- nous terminons ce genre par les espèces six
barbillons dont le casque est continu avec le bouclier, et
rappelle les formes dè tête que les bagrés, les glànisies et
Wariüs nous ont montrées conjointement ayeé leurs dents
palatines.
§ B || P ïmeéôde de B loch.
(Pimelodus B lo cïd i, nob.; S ilu ru s clària$, BL, pl. 35.) ;
LeSp^cè que nous allons décrire est celle que Bloch a
représentée % pLXXXY.,, fig. î e t 2ÿ sous le oom d d silurus
mais, comme.nous l’avons déjà dit ci-dessus, ce
n’est ni le silurus~ clarius de Hasselquist, ou le schal
scheilan, ni celui de Gronovius, n.° 8 3 , que Linné lui
associe, et qui és& riotre pimélode dè Seba.