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extrémités, qui forment un demi-cercle et embrassent la naissance
de la dorsale. Elles appartiennent à ce bouclier en chevron déjà
observé dans les espèces précédentes, mais dont les deux branches
antérieures sont ici soudées et avec là plaque du premier interépineux
et avec ïinterpariétal, comme en une seule pièce, à chaque
côté du crâne. Le surscapùlaire produit une. longue pointe qui
descend obliquement vers l’huméral, lequel donne lui-même une
pointe longue « t étroite, qui se porte en arrière en montant un
peu, et est tout aussi chagrinée que le casque. Plus en avant,
l’huméral est un peu renflé et strié en divers sens. L’énorme casque
n’a pour toute solution de continuité qu’un petit espace ovale
entre les yeux. Le devant du museau est en arc très-ouvert, dont
la bouche occupe toute la largeur, mais n’entame guère de plus
d’un sixième la longueur de la fente. La mâchoire inférietire
avancé un peu plus que la supérieure; il y a à chacune dés dents
en velôurs serré. Les orifices de la narine sont fort petits; l’un
près de la lèvre, l’autre un peu plus haut dans une échancrure du
casque. L’oeil est médiocre, à l’aplomb de la commissure et un peu
. au-dessus. Les barbillons sont grêles: je ne puis en donner la
mesure, parce qu’ils paraissent tronqués dans notre individu; mais
les maxillaires ne devaient pas passer l’ouïe. L’épine 'pectorale est
très-forte, comprimée, et armée à ses deux bords dé dents fortes
et pointues, dirigéès un peu obliquement, les antérieures vers sa
pointe, les postérieures vers sa base; sa longueur est du septième
de celle du corps; elle ne dépasse pas la pointe de l’huméral; celle
de la dorsale, à peu près aussi longue, mais moins épaisse et ronde,
est granulée en avant. L’adipeuse est très-petite; la caudale paraît
avoir été coupée’ carrément.
D. 1/6; % ÏOftÆ.- n, etc.; P. 1/6, y. 9 ou 10.
La ligne latérale est nhement granulée et a des ondulations
nombreuses peu régulières et de petites branches.
Notre individu, long de quatorze pouces, est desséché
et paraît tout brun. Il vient du Cabinet de Lisbonne, et
nous le croyons du Brésil. Cependant il n’en est question
dans aucun des auteurs qui Ont parlé de l’histoire naturelle
de ce-,pays;'et aucun dés* voyageurs récens ne paraît
l’en avoir rapporté? *
Z/’|^pJC'HÉNIP'TÈRE A GRANDES' TACHES
( Jtiicïiéhïp terus ' mam ubsus ? h o bfj ‘
rë&élnble' âu précédent, FAufehéniptère à casqué rude,
paf’fè'Yôrme^g'é^ér'aîe èt'lëb 'dèllilsf^shs 1 différenèés sont
lès (suivantes.: ’
Son easjjue .est .beaucoup plus dtsfcesjiplus .étrék à,.proportion,
• un,peu bombé longkndinalemgnfrb ou^conaime en dçis d’âne. Lés
branches, pftstérieuresfdeison; hqnçlièrviç ne se re-
» ^Gopbent pas à; leur extrémité po.stéricRreA..La„.pointe de. son hu-
m&al u’a^uj&inoiliè de ^a^nguepr^dej s£nqéjp.pe,j pectorale; le
^.^oiîd antérieur,fde* saedqrsalo^est 4is§e^S©n,^anale;a vingt-quatre
f raponS; saAC%^le;^%êontgée^bliiqMement,,cn^^çtetqu^,soxi angle
, .(•supérieur .avance plus* qjie f inférieur., :.
Il esubrupâv#L4 finement pointillé de.pçirâtre; .s^;gorge.et pon
ventre sont blanps.;!Qes taches noirâtres^ez grand,^ sept disposées
sur quatre rangs tout le.lo.ng de chaquejcôtté. La ^orsale a la base
noirg^ puis un espaces clair,»^et ".deux ou trois lignes irrégulières
noires .vers le bord^ll y a,deux;ou te^ d u c e s lignesisur la caudale,
les pectorales,et le^jye^pafe.s^jjanale gn a(une. pr,ès du.hgrd ;et {des
tachgs,Vjgrs. la base nil^ajdg^^pjtrojg getites^taqb^eSjSur Adipeuse.
Sur là tête les bords des j&l sont. plus^cl^rSpqu^le.fond.^Les barbillons
onÆtdfiS ianne^x noirâtres: les m^dkire&. vont jusqu’au
milieu des pectorales ;; les spus-mar^pjbulaires extefges les égalent
presque; les internes antérieurs sa^^beauèoup plus^ courts.
L’orifice de l’ouie n’est, ouvert que„j>u&qu’à là’ pointe humérale; les
rayons| braUchiosWges ,;îàù -nombre- deèjsépt jîSdnttpVésque" èntière-
- ment eachési.dàns les chairs; Giést .uniphilion de forme trapue*, dont
la tête n’est pas quatre fqis dans ,Ja longueur do|aie.
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