
 
        
         
		_  C H A P IT R É   X V . 
 Des  S&eào branches. 
 Le poisson que je vais décrire dans ce chapitre présente  
 une organisation  non1 morfas cu^enie  qde  les Hétér'obran-  
 ch.es  et  les  Ciiaï:iaSj,'et qui portn de même sur  des appendices  
 remarquables  des  branchies. 
 G’ést vers  i8$p  que M. Willie, 'chirurgien anglkis,  qui  
 a réside Îbng-Teinÿs'dai^t^lù<|l^  la psfr^ 
 ticularité  anatomique  ce p'ôissonTCé:quil  fv ^ ie   rè-  
 InaVquablé^c^'t iqüe'cë  siluroïdej! offrant'sbus unjerautre  
 COnformatiop un‘‘ôrgâne ggmmuniquantf kvWc’fes brànclïiès,  
 non“ moins  singüEér  qh«^^îuî' des^'^t^ fe^hcSSy  
 §qu^ J îe .îr^^pr^oq,t le  crâne,  très-ressjemfolabs'à; celui du  
 poisson  du  Nil  auquel  noj^, let{ çomp^qn^  Eq  tenant 
 naturalistes  pourraient  
 tres^bién? considéreras  silurpiaes  à“ branchies  coîh^îàes  
 comme  une  sbus -famille  dans  laquelle lë£  • 
 rapport  aux  Héterôbranchèsla  
 plapfètle, même  rapport qu^;îes.s^r^^>fdpl^uëèthdiçs  
 Qlg^eht  dans  cette&é^animale par jrapiè^'àü^'^a^l'i'-  
 ime  nemv^te  preuve ,de  ce bâlaneemewt%ü I de  
 cdtte  reproduction  similairej'<§e‘ fo r ll| I- â a h /  cÎo Il fa u filé s   
 naturelles,  la  nature  ajoutant  ou  ôtant  unGdht  eÉmè'és  
 caractéristiques  de  la famille prise  pour  type. Mais  pour  
 nous,  qui  n’admettons  pas-du-ne  manière  si  abs^lpfe  ces  
 lois  formulées  de  l’organisation,  nous  établissons  les  rapports  
 que  le  Saccobranche  a  avec  les  genres  les  plus  
 voisins,  sans  croire  qu’il  soit  nécessaire  d’aller plus  loin.