
 
        
         
		Il nouSiparaît douteuxquéUant de^differences puissent  
 tenir  à  l’âge 4 -;êt  ngusI soMi&pr i s é s   à  voir  clans  ries  
 petitsnpoissons>une  espèce^ particulières H 
 Z/HYJEÎOÇHTHALME  im -S  p iX . / ( 
 ;Bi- .la  f ig ^ e  Æt  la  description  clonnees.  par  cet1  a-üteM,  
 p.  îfh tab. IX ..sont  exactes, comme on.ii’ca peut douter,  
 ce  silnroïcle  ^Qit^imQBp  forcer  
 précédens.,.,q 
 Sf^iéle^est  cinq  imlpet dmiè llan^^ljlngueiir  totale ; Iq caudale  
 n'elt  pas^Ius iongue;^y nageoires  sont fauves % sans  rien de  noir ;  
 son anale au sbixârhe-clouze’ rayons^ e t q u i   est" surJL^u^,très-frap-  
 ''îpânt,  sfs^barliillôhs ‘sc^ ^ to ^ ^ ^ ^ !s"c6^g ^ W ^sOëtet; 
 , .  Bv  1 5 : Pfr> 1; I Air • ' l | p l. j r f  
 Lej>  individus  conservés-dans la liqueur-au- Cabinet  de  
 Muni c h s ont  longs  de  dix  et  de  douzë^piêHïeesîîdls  vién-  
 nèïït^flé^MiVi^ef^d&Ma^partië^là  plüs^^lqlféfcioBàle  du 
 Brl j j îp * ” 
 DESi ^ I 
 M. jd§i^M§pè,de,  adoptant  toujQurSra^ec^Æa^çqjçLn^ince  
 ordinaire;, qui  éloignait*. de  ses * re ehe r ches  tout?’* esprit  de  
 critique, a-établi spnSfle nom que nous*lqi-conservons,un  
 g©nrë^de^ silurqïdè--qUi#4'rdpdse  dans* son-  püvÜ^e^%ûr  un  
 câmCtëlt^fautif, mais qu| çêpendànt forme un groupé , distinct  
 , que lps^zôpfogistqs'’ doivent fûnde^^r.de^ljar^t^es 
 essentiels. 
 Tous  ces^silurpides.dont parles barbillons faits comme  
 dao&. lesbpsp^ep -dje ipstté,  famille. e% générai,  mais, ils t:en 
 gnt  tous $>.*©ar* j’ai<véridié:que *1© silurus' inermis. de Bloch a  
 üe$T' Bàïfbillons  maxillaires '^Ma  Vérité ‘très - courts j  mais  
 enfin ils existent; j’a^'&nltaté leur présence  sur l’individu  
 conservé ait^ Iuse^^é^Setlinbomme sur celui du Gâbinèt 
 Quanjjm  s ^ r ^m ilita y is ^  jpetlsont les  ^ribillonsjeux-  
 m4nes,quLsont-rMeyés^et  dent§l|S^pop.^ faire  fcette^ sorte  
 de corne osseusè si curieuse dânsrée poisson. En examinant  
 laH;;firme,fd o d l^ i^ » |ffii  ressÉifiile  à  oelle - f ^ ï^ p p p h -   
 th'almes/la^oÉÜôh inférieure de i ’êeü; et lès* onze rayons  
 de là membraniHarané^fMÈé^, l’on trouve 'des ' Wîaetères  
 bien  suffisans  pouRféthbli^èe'getifej' que M: de Lacépède  
 n’avait nulle in e nt.ca r a qt éns &||| 
 Les  espèces que n(ojis en ppsspdqn s. j us qu a presentsont  
 toutes  américaines0, j^m m e  -les/ hypoppthalmes  du  |[es  
 àuchéniptères,'auprès  desquels il  conviènt  de des* placer., 
 X ’ÂdËNÉïbsE ARMÉ,  Lacép. ‘ 
 ^ {A g en eio su s 'm ilitaris,  nob. f  Silurus  militaris 3  Bl.)  . 
 La dépresslpji. qxcessjv.etid,,e la  tête, la position très-Basse  
 des. yeux,  et  surtout les maxillaires armés  d’épines  et non  
 prolongés  en barbillons,  distinguent - émineipment.;;cette  
 espèteABlbch,  qui avait reçu dé1 Surinam un poisson très-  
 vôisirf du-nôtre/sinon  d’espèbe  identique1,-  a  cru  y.re-  
 trdtivlf  le  silurus  militaris  do  Linnëy en’ quoi* il  s est  
 gravement( trompé ; xâr  rie  fut-çe  que-par  le  nombre  des  
 rayons  de  l’anale  ( dé? vingt' dans  lé  poisson  de  Linné,  
 de  trente-cinq  dans.celui  de Bloch),  il éjtait  aisé  de  voir 
 1.  Silurus militaris,  Bt;|  pl.'-36a*,  part. XI, p.  i3.  Agcnéiose  armé,  Lac.