qui dq|lj s%r^prpnher plutôt det^tm, dps trois précédons.;
ear l’auteur lui compte vingt-sept plaques latérales, prenant presque
toute la hauteur du corps, et .
D. 1/6; A. 9; C. 20; P. 1/6; V. T.
A la vérité il assuren’ayoir pu lui découvrir gpe quatre rayons
aux ouieSj mais' cela a tenu peut-être àla difficulté^ae les compter
sans dissection, son corps èst gris brunâtre, et il atteint une
longueur d’un pied. .
Il habite le§daqs*et étangs ^ÿeaij.douce, et les rivières,
et se nourrit d’insectes-aquatiques.
Hassar est le nom générique des doras parmi les 4 ro-
■waeks, et celui-ci sé nommé hassar à tête plate; c’ést un
des'poiss'ohs qui peuvént^Fe^transpo’rter par térrejd’une
eau à l’autre. Lorsque les étangs se ^^sechent,lorsque les
callichthes et les yànows s’enterrent dans la-va«e, et que
tous les autres poissons périssent ou deviennent la proie
des oiseaux rapaces.-, ces doras*sfi me ttemtvemmarchey.snuvent
en grandes troupes^et passentïquelquéfois une nuit entière
avant d’artîver à .d’autres eauxuJGlù dés amis dêfM.’ Hancock
en rencontra une fois e.n.si grande quantité;que ses.ii^gre-s
en remplirent plusieurs paniers..Il s’est assuré lui-même
que le poisson peu^ vivre plusieurs heures Jgprs de l’eau,
et même exposé à l ardeur du soleil.'Eps Indiens disent
qu’ils emportent une piôvîsidn’ d’eau pour leur voyage,
ce qui pou-rrait avoir- lieu par la n^pturé de leurs., pûtes;
majSgM. Hancock pense, que.la substance mêipeyde^lgur
eprps. absprbe,.beaîi.coup d’eap^tet assure qu’il ;e,st difficile
de les sécher, parce qu’ils transsudent à l’instant de nouvelle
humidité.
L’auteunéfouté 'què4- ce doras} ainsi que le çpftShthe ,
fait un nid régulier, où il dépose ses ceufs en pel^ffon aplati
et les couvre soigneusement; et sa sollicitude ne se borne
pas là : le mâle et la femelle font auprès de ce nid une garde
attentiveet le défendent avec courage jusqu’à ce que les
petits soient éclos. Ce nid est fait d'e feuilles, et quélque-
îoi^ci’eusé, clans :la berge p^epst surtout en temps humide
qu’ils leîponstruisent*, ét.M, Hancock a vu de ces nids apparaître
en grand nombre le lendemain d’une pliiie. On les
remarque à cause d’une bulle écumeuse qui se montre à
la surface*de l’eau au-dessus de chaque nid.
L e 'D O RAS :‘TpteHEïf?
{Doras maculatus, nob.; .Doras giïanpl&s&s*Nalêne, apud Humb.
et d’Orb., Atl. ichth. du Voyage dans l’Amér. mérid., p. V,
__
Qest l’espèce que j’ai débite en abr^gé s,pus le nom de
dorasj granulosus dans* les jObservations zoologiques de
M. de Humboldt (t. II, p. 184), d’après^un individu sëc,
cédé -par le Cabinet de Lisbonne < à^eelui de1. Paris ; mais
M. d’Orbigny en* a envoyé de Buénos^Ayres ; dans la liqueur,
deux autres miemc^dhsfeïvës'^et qui en présentent
plus complètement les caractères.
Ce doras ressemble assez par la tête au D. costatus; cependant
ses yeux sont plus .petits {dp. septième de^la longueur de la tête),
plus avancés (au tiers antérieuf|jL plus écartés l’un <|e.Tautre (de
trois diamètÊ^*). Sonjtols^au est/iplus arrondi.' Les rides d'e son
casque sont plus grossières, ainsi que celles de ses sôüs-èrbitaires.
Le limbe de son' préQperouie est(lisse eftétroïkJSon opercule est
strie peu profondément? Sa*"produetion humérale est moins longue
et plus ffiaute, mais" iF h’en paraît' au'travers de la peau que la
■ ponidn " au-dessous de l’anete/ en sétteK^m’on la juge beaucoup
plus étroite. La hauteur de cette partie n’est que le sixième ou le
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