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 celle de  l’^n^^om'pour^sa partie postérieure  et pour ses palatins.  
 uEhl. avant,  les  vides  entre  les  frontaux  principaux  et  les  frontaux  
 antérieurs, sont  très- grands ;  maiscès  derniers- ont  sur ; la  basé ? de  
 ;id’apophyse  externe par. laquelle dsiserjdigneht à.l’àpopliysfe externe  
 -des  principaux, une  dilatation dont  la  face  supérieure ; esticrpusée  
 de  petites  celMés  liexàngulaires^fettfàÆit  sem blables ‘ eus petit %  
 des  rayons; d’abeilles.  > 
 Le premièrcos maxillaire est très-grand à proportion, et le second, 
 ; ou le tentacule qui Ikrticule avec le premier par gynglymê y conserve  
 ^surl toute, saiëâgioeuFsaiconsistancè osseuse;  I  
 111  S& e  vertèbres, après la grande“,  peuvent être dites ^abdqniànàles,  
 et ?som  suivies de vingt-neuf caudales et de Péveikail terminal. Leurs  
 u  disposïtioiïàesont  comme | dans  les bagres.  ; ! 
 Wos individus’ont depuis  cinq et.six pouces j usqn a près  
 cfun^ pied. 
 M. Dussumier  npus. apprend  que  l’esp'è^p devient  plus  
 grande;  qua  JBoim^ay  k   peuple  la|m§n'g%| madame  les  
 plabfnrs  redoutant, if s ;pi;qûreptdqt'aej^^p'ines.}  , 
 Z /A rius  a  papilles. 
 ■^  L A tvus  p cm illo su S j  nqb.j.  • 
 '/ L’Anïériqüe  du sud nourrit aussi  un  arius  à  deux barbillons  
 seulement ; "ef  dont  je  ne  m’^toùnerais  pas  que  
 quelque ichthyologiste  (crutdevoir faire un genre" distinct. 
 La tête n’a point de casque  la peau molle  et flasque du corps en  
 recouvré tous les os:  il n’y a pas  de proéminence interpariétale ^  ni  
 même ne  cnèvron  nü au-devant de la  base du premier' rayon  dé là  
 dorsale.  Le  museau  est  saillant  et  arrondi,  et  il  est un  peu'ëMrgi  
 süf lès côtés par la lèvre épaisse qui caché le maxillaire. Le barbillon  
 qui  le  prolonge  est  épais  et  cfeariiTïpil  n’atteint pas  au-delà  de  la