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yisc|j^ j je' suis obligé • =est
très-inexacte et très-rYjtgue. Aussi M. Geoffroy fils iï?a*t-il pas
pu donner une explication de toutes les parties indiquées
par les lettres graves,sur la figure.*
. La marche du canal intestinal, ii3 n’est certainementpas
copiée sur la nature, llë st difficile'de deviner ce’ qu’in.di-
quen.t e et^espéce dé canal double qui se^rendent.à,l’anus;
m m m ffiÇVSfentpas j au^sjjÆ« Isidqyq^eq|froy' n’enparle
pas, non plus que du s,ac indiqué;par la lettre u, qtti #st
peut'^etre »n4?re.prés.éntation inexacte d’une des^coiüesjde
la vessie urinaire.'e^iv? .«HI
Le crâne du malarp t éru re .i^ f ’,^iûÉré,rpa!r • M^Crëdfltoy
sur la même planche XII de rou^ffigé d’Égypte, vu. en
dessus et en d é l i t ) ; ‘u est ûccoÈdjpa^në de Tôs!hyoïde,
des rayons branGhiosteges et de la grande.yertèlrrë. Malheureusement
les*,futures .ne^s.ont marquées sur ces
figures. Î^ J^rai remarquer que sur les deux figîires, m(et
n ne représentent pas le même os, et que M; Geoffroy
ne leur assigne pas* de noms. Dans la figdre du côté gauche,
je (|pois m un maStoïdïemet.n umocmpitaLlatérâly’et sur
la figure droite n est une branche de l’hyoïde,*ét m me
paraît àppartenir à la mâchoire inferieure. / sur la figure
gauche, n’èst pas, comme le dit M. Isidorè'Geoffroy, los
du parais, mais le p té i’ygoïHieiu Oh voit donc que les
explications de cette planche ne sont pas plus positivés
que les figures elles-mêmes.
4 Voici les observations que nous avons faites sur le squelette
même.
Le crâne est extrêmement comprimé entre les orbites, et-élargi à
sa partie postérieure e'n un rectangle transverse, dont les angles
antérieurs, formés par les frontaux postérieurs, produisent une
longue; apophy&i^cylindrique, à laquelle^se, suspend la chairie.des
soqsï^j’bitaires, quiJseîSCpipitrq extrémité va s’attacher' entre le
palatin,et le maxilIaire. .Ges sou^-orbitaires sont filiformes comme
dans tous lés silures. L’angle postérieur du rectangle appartient au
mastoïdien. XJn,surtemporal grêle-et presque cylindrique s’étend
de cet angîefâ l’extrémité'ae l ’apophyse du frontal antérieur. En
avant, le fcrârie esf€ un peu élargi par drie lame <hbrizontale des
frontauxf ântériéürs:, ëfi cette lamé. se contiûdè en descendant ùri
peu tout le long du coté dû sphénoïde antérieur. L’ os qui tient
lieu, des deux .ptérygoidiens , s’articule;;;çpmiï\£ dans le plotose, avec
le frontal «^ériftm ,,
Le suTscapulalre ne* se, soude, pas avec le crâne, mais s’y articule
seulement d’une manière mobile entre l’angle du mastoïdien
et une crête d^.Toêcrpfiîl externe. .
' L’interpariétal, aussi large que long, a une crête' transverse,
échariergê au milieu, et donne qn arrière une petite pointe'co’mpii-
mée, qui* s’enchâssé dans l’échancrure du sorhmet dB* là crête
antérieure de la grande vertèbre; celle-ci' a‘ trois apophyses trans-
vefseâ, dont l’antérieure, après avoir appu^jcontre le surscapulaire,
se .dilate, comme dans les sciais, en une laçîe verticale pince,
qui tient à la vessie natatoire; mais il y a cette différence que, dans
le malaptérure, le surscapulaire ne produit point de lame semblable.
JSous avons déjà fait remarquer que, malgré l’absence d’une
forte épine à la pectorale,. lès os de l’épaule n’ont' rien de particulier,
et que le: filet Osseux : dans'lequel M. Geoffroy, a " cru voir
le remplaçant ‘du GOràcoïdien, est le même arceau qui s’observe
dans les autres siluroïdes. La suture inférieure des deux huméraux
est assez longue.’
Il y a après la grande vertèbre seize vertèbres abdominales, dont
les apophyses épineuses sont çornprimées, médiocrement hautes,
et dont iès transverses, déprimées et horizontales, portent les côles
à leur extrémité.
Il ne commence à y avoir un anneau sous le corps de la vertèbre
qu’aux caudales, qui-sont au nombre de vingt-deux. La vingt-
deuxième, qui est l’éventail, a les apophyses inférieures de la vingt
et unième et de la vingtième soudées à son bord inférieur.