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 paraître  lisses.  La  pointe de  l’huméral  est tout-à-fait  arrondie.  Les  
 membranes  deâ  ouïes  sont  épaisses *  s’unissent  trarisversalement  
 sousTisthme  et  ont  chacune  six  rayons.  L’épine  de la  pectorale  
 est  dentel'ée  ‘kf  son  bord  antérieur,  mais  de  dents  rétrogrades,  
 comme  elles le sont au bord- postérieur  dans  la  plupart  des  autres  
 espèces. Cette épine  est.ioyre, et celle de la dorsale,  Où Ton observe  
 la  même  particularité,  l’eét1 égaretnerit.  Celte'  ria^éoirë  s’élève  èn  
 pointe de  sa partie amaêHëtaïè à moitié dé K  hâUtëUr du ëorpS. L’adipeuse  
 est  aussi  longue  que  l'anale*  et un peu  plus  en  arriére.  La  
 caudale  a  deux  lobes  arrondis. 
 B.  6* D.  1 /î j A-.  16  -ou  l ï j   Ci  11  êt plilsiêlaïs pètlts;   P.  V.  6. 
 La couleur est  en  dessus un Brun noirâtre, qui se  change sur les  
 c-ôtés  en  un  plombé  métallique,  et  devient  argenté  en  dessous :  
 toutes les  nageoires  spnt brunâtres  ou  violâtres. 
 L ’anatomie que j’ai faite de ce poisson, montre que le foie est petit  
 etvécbancré dans  le milieu, que sa vésjçwlë: du  fiel est  assez  grande  
 i^paraît  sous  l’estomac  par  l’échancrure du, lobe hépatique. Après  
 un  oesophagg^assez  Iqngv nou^  voyons  l’estomac  se  renfler  en un  
 sap arrondi,, assez grqs;  l’intestin est de mojlrme largeur ; le pyloré  
 'est }sur  le  dp^de  la  convexité  defcet  estomac.  Il  y   a  une  vessie  
 aérienne  simple  à  parois  argentées' et  flexibles;  les  organej&géni-  
 taux  sont  rejétés  à  l’arrière  de  l’abdomen  et  fie  fonjLqu’une  seule  
 masse.  J ’ai trou.vé,lkstà,mac  rempli  de  petits  crustacé. 
 Le squelette  de  la t%te  du galeichthys felk ep s a en  avant assez de  
 ressemblance  avec  celui  du  JBagri  bilineatus;  les  vides  entre  les  
 Ifrontaux j||s(lea  frontaux  antprieuf#;^  sonticependant plus  petits;  
 il  diffère  davantage  en  arrière,  parce  que  l’interpariétal «’y  dilate,  
 tandis  qUe  s^  nroémineîice, s’y  , r.étréeit.  Les  lames  produites  par  
 les  occipitaux:  externes  n’y   atteignent pas  la  grande  vÉrtèbre,  et le  
 sUrScapulaire  ne  s’y  attache  que  par  un  point  de l ’apophyse  ^u’il  
 envoie  en  dessous  aii  basilaire. 
 iL y   a  quinze  cm  seize  vert,èbres  abdominales,  et vingt-huit  ou  
 vingt-neuf caudales, y compris  la dernière en éventail. Leurs di$pô-  
 sillons sont à .peu près les mêmes  cfbè  dans  le  IfÊtgr.  bilinçfrinîs'.