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 ou  trois «premiers  de  Fanale. Cm voit inême ^par  eé  qu’il  
 ajoute ,  que dans  des individus  d’Asie^il n’y^uvàit  qüe$ix  
 rayons aux ventrales, qu’il avait confondu une autre espèce  
 avec  celle-ci; 
 M.  Mitchill,  pÇ^3 3 j  donne  a jspn  silurus  catus 
 B.  1 ;  D.  1/6 ; A,  20 ; G.  21 ;-R  ijk > V.  8 ,  
 cè  qui  se  rapproche  un  peu  plus  de nos  ôbservatiora|t‘et  
 s’explique  comme  le  dénombrement  de Linné.  Les deux  
 ou  trois premiers  rayons  de 1 anale sont réellement cachés  
 dans  le  bord  de  la  nageoire  au  point  d avoir  besoin  lde  
 dissection  pour  être vus.  ! 
 Catesby dit que le Catjish atteint quelquefois  une  longueur  
 de  deux pieds.  Il  avait  regardé son poisson  eomme  
 voisin du deuxième bagre’d e  Margrave,  p.  \fâ{secitndoe  
 sp ^ e i  Margravii  qffinis). 
 TSes  auteurs  postérieurs  ont  été  plus  positifs:  tou^f à  
 1 exemple  de  Linné,  l’ont  donné  comme  identiquejte’est  
 une  erreur. Ce  deuxième bagre  de Margrave^eift uri'Do'ras. 
 |   L e   PlMELODE  SALI. 
 (Pimelpdus  coenosus,  Rich.,  Faun.  B o r.  Am.',  v.  III,  p.  i 3a.)_  
 M. Richardson, l’un des compagnons du capitaine Franklin  
 le}$prribile yqyage  qu’il  a  exécuté pa| terre  à In  
 mer Glaciale, nous  a bien, voulu  communiquer  un pimé-  
 lode  pris  dans  le  lac Huron,  et  qui  a  de  grands  rapports  
 avec  le  Pim.  catus. 
 Il  nous  a  semblé  néanmoins  que  ses-  barbillons  maxilîÉtes  
 étaient q>lus  courts  (ils  n’atteignent ‘qu’à  peine  aux  ouïes),  son  
 anale plus  haute,, son, épine dorsale plus longue. Voici  les nombres  
 (Vaprès M. Richardson. 
 iP SfiÉ I?  VII»  PHAÉLOBESi I  
 B.  9j Dvl/Ï; -A.  24^ ®.= 9- 41- 125^14/%.A. 8. 
 |   À  l’éta®i sec  il  noua* a paru*  verdâtre.èn. deàsus,  marbré  de  
 verdâtre plus  foncé, plus  pâle en  dessous,  af^c un peu de noiij sur  
 les  nageoires, verqpa^, .et  les  nageoires  paires  noirâtres. 
 M.  Richardsdune  nbüs^ppVênd  rieh  sur les  couleurs  
 du  poisson  à ; l*é*àt  frais*  1 
 Mndividii  qn.’il  a  décrit  et  que  hotolavôns'  examiné  
 nous-mêmes,  était  long  deJdix  poucek :fet hvait  été1 pris  à  
 Penetanguishem.  Les  individus d,e jgfltte ,i|spàce atteignent  
 à plusieurs  livres  du poids, et  sont  un  très-bon  manger. 
 L e   PîMÉLODÉ  BORÉAL.;  ‘ 
 ÇPiateloditS;  boreülisj Rich.,  Faun.  B o r .Æ È LV III, p.  J5.)  ! 
 A la  suitoiâe î^ette  espUt®,  M. Riohtàd^nadée â tdine   
 autre 
 dont-le  dos  est  d’un  brun  verdâtre  assez  foncé,  -etlé  ventre blanchâtre;* 
  ®llèM a  là  tête  aussi  large  qife  lôfigüeyh<uit  barbillons,  la  
 dorsale  à  jièuprès 'rëëtafigülâieé^ #âdipeüsëy  lOfigîté, ■ répond  au  
 premier  tiers  de ÿîinale. 
 L’individu quai à publié màïflëttg  dé 'tfeMé poncés; et  
 avait  été  pris  à  Pme-ïsïâtfd pàr ^ h é   latbüdé  dë Üf4°’N.  
 Quoique l’aspeet da  poissqmsoit feponssaflt, il est d’un  
 excellent  goub ^âiCMdéur  l’â -fàk  nonmiéï'i^af alès  Grées  
 Mathemejr,  ce qui  veut  diré  pïïisstm  îkié. ééS>Gànâdiéns  
 le  nomment  catjish  ou lond  cot. 
 M* Richardson, dans 1 appéndix dti VbVage, p.  ig y avait  
 déjà  du précédant; 
 car  sa  description' s^aéeorde: avec ce  que nous avdns  observé,; 
   si  èefn’est^poiiÉr  de>H^ères  différences? dans  les  
 nombres :  
 i 5 . i3