dont nous venons, de parler et l’occipital latéral; ensuite
elle produit’ une tige descendante qui pénètre: dans la
vessie, et s’y dilate;en une lame parallèle à celles du.sursea-
pulaire, mais plus mince, qui forme dans-la ye&dè!une
véritable cloison. En avant l’ethmoïde se rétrécit; le; vomer
est plus en arrière et nefufcpoint de saillie adà voûte du
palais ;les palatins sont assez grands et comprimés^ies sous-
orbitaires, filiformes, composent avefe les bords'dudromtal
et une partie de^eeux des* frontaux antérieur etepostérièur,
un cercleuegidier autour de l’oe il La réunion d[es pjèëes
osseuses! d e la ceintüreMhuméTale* en dessous a, lieu* pat.
une longue future dentée, dont près de;deuxÆiers''a^»|iar-
tiennent aux cubito-radiauix^ et Qes derniers'ïdsi se relèvent
intérieurement en une grande lawn'veïtre^e;; qui forme
entre la L’abdomen uardiaphragme
osseux, ouvert seulement, pour dei passage de l’oesophage.
Les*, différences .que ëés- appareils peuvent ,offdr,dans les
espèees; me tiennent qu’aux .proportions .''ddsl? parties ,#iet
s’aperçoivent presque stOulés-, à l'extérieur. iGes'i poisslms
- extraardinaire^ sont propres aux Bivière^ de FAfaqué; j
! Hasselquist1 en a décrit une, son scheilan : ce quai disait
des dents inférieures n’était surtout pas ('équivoque; mais
l’attention que l’on aurait pu donner k ms observations fut
promptement détournée pkrd’asspciatiiom qu’en? fit Linné,
sous le nom jejomnmn de chriasr^wc lin piméfodé d’Amérique
tout différënt. Ge nom.jèeé-iclariàs, corrdmpmBë
callarias, était pris de rBelon, qui l’avait appliqué non
pas anu scheilan, mais au scharmuth {heterohparwlim^
comme, nous le verrons, i
1. Hâsselq*, p. 3 6 9 , 'n .0 8 6 .
Sonnini en a donné'da première figure % sous le nom de
schalj mais si* mauvaise^ qu’il n’est pasitrès-facile de deter-
minersen espèce.^jî^ilc^^^'f^ê jjttftj pp S® H p ’
M. Æeoffroy-Sain|trHilkire a publié, dans le grand ouvrage
sur FT^gypft.e^^e belles figures des trois espèces ijpd
a observé^dans le Niyejt dont deux au moins lui appartiennent
, et il en a rapporté de nombreux | individus,
d’apr|s. lesquels J j | Gepffroi fils en a rédigé le^ desôrip^
tions., et qui. no us fourniront aussi la matière;\des -obsete*
votions que nous plions ve©nimuniquer i|É|pi%deeteurs.
]\1. Ruppell en a depuis découvert une quatrième- dans
le Jfil.
Trois des espèces» de ce fleuve sje>tetr o u vent ,rs,ans diffé“
rem ces appréciables, dans le Sénégal, qui têÉ -nourrit aussi
une,particulière, que nous décrirons à la findeeçc chapitre.
Lauhab des schals^estifacfe ; ils .se nourrissent en grande
partie 6*de graines;,et-nous en ayons souvent, trouvé.dans
leur ^estomac.
M. Geoffroy a pensé iqu ils pouvaient être les porcus
des: ançiens; e t ^ t t e opinion a ét^é reproduite par M. Isi—
dore; Geoffroy, sans toutefois la justifier .par une, Mpsfeerplé-^
tajipn positive d es:p,ass$g.es effet. assez
difficile d’avoû», même par une fnduetion o ffranfc quelque
p ro b ab ^ e^ la preuve sque lepoasson .qu© S^'abondj;eite
p,|rmi les poissOns du .Nil sous le nom
soit plutôt un de, .scheilans que tout autre silüroïde,
si mèipe on peut alleyjipsgp’à parler de la famillpiàlaquelle*
il appartiendrait- • Le, géographe d’Apaisée, eit^ »1§& %oiçss-
Z^Stabon;lix. XVIlfe8%fetp£^fe Amsterdain, Wolteis ,»807», pàg. 1-18 0 , A.
B 2 4