lions, sans aucunes ciselures, comme dans l’espène .sijivamtfe^T.ps
échancrure?. occipitales près de, l’inpsrpaviétal tsont réduites à une
seule concavité, étendue jusqu’aux mastoïdiens et aux surtem-
porâüx. Le croissant des dents vomérièhnes' a en arnere'un petii;
talon très-court. lies barbillons maxillaires ne vont'pas plus- en
arrière que Touïé. Les intérmaxillaires externes les'égalèht; Les
internes sont ! de: moitié et les nasaux des deux tiers plus èUurts.
Il y. ja,5 treize façons àî droitei#t'dou^|Eay®ïs|àiga®che de la, jpem-
, brane branchiostège. L’épine des« pectorales est fiable et'Jk -peine
dentelée.
Voici les nombres des rayons* comptés sur le squelette, e,t il
est à remarquer que sur là figure dé i ’puvrage d’Égypte on les
trouvé1 de mèüa'e: ► • • -7r-‘
m ï 3.toü;Æ'à; D .44; .« t 52; 0 . ',
Toutefois M. Isidore Geoffroy les a donnés dans l’ouvrage
: d’Égypte d’après des, notes de,son père, prises en
Égypte..- § 2 2 £ &
-B. 13j D. 425. A. 56; C. 21: P. 1 .® ;% 6.
On-vo'it qu’il y a une légère différence entre les rayons de l’anale.
-Ce poisson est d’un gris bleuâtre plus uniforme,.que le haraiputh
ordinaire.
' JCn examinant le reste du squelette, nous comptons vingt-et une
vérrebréS' yjfibnûüâles et quarante-deux "Caudales. Les' "apophyses
épineuses des troisième, quatrième, cinquième, sixième et séptième
vertèbres dorsales sont; bifurquéess Les interépineux de la dorsale
• s’insèrent sur la cinquième vertèbre. Les apophyses épineuses des
I vertèbres postérieures çe-prolongeSalpour soutenir l’adipeuse, qui
n’a d’ailleurs ni, rayon m interépineux, j
L’individiLÊSt long de.deux pieds cinq pouçes. M. Geoffroy
croit que ses habitudes ressemblent à Gelles du har-
moutb.
Le Halé AUX'^TN'GSf BARBILILpïîS. Ml
( Heter®bmnchus nob.)
I î^â siecdnilli é'spec&; que nourrit le Nn.se distingue par les
c]|eltir(g^4§£^ hête, la j3j|p,fftnde.pr ejes échancrures, dé, la
nuque, la longueur des^arbillons et les nombres des rayons..
Le diale* rd^emble par ses forai® générales au harmouth
ordirijMVQ^^griiÆf H a s s e lq u is tii/m o b . ). Celle de notre fe-
condferi'Cspëpes est un - peu différente.
T .a circonscription de sqn fuseau ^e-paraît plus i elliptique. Il
est aus,si plus'large et plus aplati que,,celui du harmouth commun.
La largeur dç la tèt^fp^u.r,éekpar% /ÇgyÇiçs.^s, ypux,. fait in itié
de sa longueur'jusqu’à îa pointe de l’interpaqétal. J^riçé^par le
travers tdes- xnastçjiçUens, cette largeur, fait plus des deux „tiers de.
' la mejna,e,longueur de la tète. L’ép^sseur, mesurée enlrçe les yeux,
jst tÿ ift foiV et demie dans la largeur, priset^u njême endroit.
Quant a la proportion de la tète avec la longueur totale^ dup.parps,
jusqu’à la pointe interpariétale, elle en faitpl(us ^du^uartjjet le-quart
exactement jusqu’au bord di|^TX.rsqajmjda^e. J^csgVge jusgp’au, bprd
^ . l ’opprcuL. elle.donpefcquart du ^eorps, la çaudaje non cpm-
'pn^e,. nageoire qui égale la moitié def epttç mesure^ dp la tyte. La
Le „dessus du crâne,, osseux-et dénude, montre que les frontaux
1 antérieurs et Tethmoïde sont ciseî(és et,granuleux; que cc^granula-
tions deviennent plus grosses èt. les J ciselures plus çour|es,sur,les
frontaux postérieurs, que 'l’interpariétal est grenu. Spn , apgle est
obtus et arrondi, et les arçs concaves qui le,séparent des mastoïdiens
sont assez ouverts. Les barbillons sont plus longs que dans les
elârias. Ainsi lè maxillaire>atteint jusqu’au premier, rayon de la
dorsale; le sous-mandibuluitje externe, jusqu’à l’extrémité du rayon
.épineuXadq la pectorale,;. Je raypn nasal fait presque moitié du
maxillaire; lq,sous- mandibulaire interne est aussi long que celui