D. 1/6; A. 18; P. 1/40; Y. 6.
L’individu n’était long que de 7 ’ pouces.-
Schneider a observé dans ce ’pài&'àori, entre la pointe de
riiuméra'l et la pectorale, jin petit, trou qui communique
dans la cavité de l’abdomen; l’observsation est très-juste.
Nous en avons fait une toute semblable dans l’espèce precedente
: c’est un nouvel exemple de communication des
membranes dites séreuses avec l’extérieur.
■ L e , Plàtyswoîae panthère,; »|$%
( Pîatjstom a p a rd a le , nob. ; Atï. ichth.' de d’Orh., Voy. dans
l'Amer, mérid., pl- 4 , fig .,2.)'
M. d'Orbîgny nous ar encore énvofe un énorme‘poisson
de ce genre, qui a les-formes:et les dents des Platjs-
toma tigrinum eiPLOrbighianirn, et à peu près la même
armure > Si ce n’est que ï^plaque intèrépineüse nest point
granuléeyet ne se montré pas au travers âe la peau.
Ses barbillons maxillaires n’atteignent qu’au préopercule; .les
sous-mandihulairés externes vont’ un peu plus loin. Les ventrales
égalent les pectorales. La dorsale e§t:assez basse/Les lobes "de la
caudale sont coings, égaux et arrondis. • L’adipeuse est p'fesque
aussi longue qu ™anale.
B. 16. ou, 1*7; D. 1/6; A. 13 ou 14; P. 1/9; V. 6.
Tout le dessus du c'orps, paraît fa u v e e tNest (à l’exception de
la tête) semé -de petites taches noires, npmbreuses et assez fines,
qui vers l’arrière deviennent .oblongues et .s’unissent même en partie
en petites lignes. Les dorsales, l’anale, la caudale sont ,semées de
plus petites tache^ rondes. On voit en outre de chaque côté douze
ou treize lignes verticales blimébâtres, au-dessus de la ligne latérale,
et les mouchetures sont disposées de manière qu’il .y en a
cinq ou six rangées verticales entre un de ces traits et le suivant.
L’individu est long éfe plus: d e^inq pieds èt vient des
environs de Buenos-Aÿres.
Jjfl’ai fait représenterédans la partie ichthy ©logique du
V oyage .(Je M. d’Orbigny,. dont - ce ■ voyageur ma prié de
me charger-' au moment de la publication de sa relation.
Le C ab in e t^ Berlin en possède un semblable et aussi
grand, «
L e ;PLATYSTOME ÉCLATAIT?/ '
{Pîatjstom a corusçam, Agassiz; Sorubim\ capaiiari, Spix, pl. XIII.)
Le p^ïssbn, décrit dans,l’article précédant, répondrait
parfaitement à la figurç dû'so ru b im c a p a r a r i de Spix, ou
p îa t js t o m a c o ru sc a n s de M. Agassiz,
s ii dans. cette, figure;Jes taches n’étaient beaucoup moins nom-
l)re‘uses.set plus grandes, et surtout si les barbillons maxillaires
n’ÿ étaient pas représentés-.aussi longs : ils y'atteignent les ventrales.
Les nombres marqués
D. 1/6;. A. 1% 1/10 I j . 6.
Le dessus en est enluminé d’un fauve brillant, et le dessous dar-
■ ' gént. Il n’y appoint,de traits blancs .&ir,.l|g qqtés. i
On eu* possède au Cabinet de Munich un individu de
vingt-cinq pouces, pris dans la rivièr^qn.Saint-François
au Brésil. :
j^e Platystome spatule. ,
{Platjstàm a^spatula, Agassiz ; SoTÜbim ja n d ia , Spix, pl. XIV.)
On trouve dans des poissons de Spix trois, platystomes
que nous n’avqns pas vus, mais .qui paraissent appartenir
au même groupe que ceux qui précèdent Les deux premiers
semblent même, d’après la grande proéminence de