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 un voile membraneux; la supérieure  est garnie  de cirrhës.ï  
 il  n’y a  qu’unq seule nageoire sur le   clos.  - 
 Le  genre  des Acanthicus së' composé^d’espè^qs à  corps  
 aiguillonné,  dont  lé  dessus  du  tronl^st  protégé par  des  
 bpucliers  épais,  osseux, squammiformes et  distinct&.^Tab-r  
 domen est nu; les dents,à doublé"eourburey sopt,disposées  
 comme  celles  dés  Rinelepis;  un  voile- lâbi^Tycqmplet  et  
 circulaire entoure la bouche: il n y -a qu’unë.^d^fdôçsalé. 
 En  comparant  lesifcgractères^exprimés  par  la  dia|^p|ê  
 4 e' ces  fiôuÿëaûx  genres "â-peux/d%^^^^ciesïl dæ--nos  différentes  
 lpiàéa.kès^ e  ne ’ croV7,pa^‘*qü’il  faille ' distinguai;  
 les  acanthicus, des  R i n e l e p i s kduâîaf^ns  u n ^ ^ ^ ç c   
 de  loricaria à ventre  nu,  qui  ne peut ^ ^ ^ d g rît||g§l|l|T.e  
 ramenée-aux acünthicus  de Spix  par  ses autresslea||ét^tpp.  
 L ’étendue  plus uu moins  grande  d u p llp  me:? ^raî^'à^ssi  
 être  de' trop  peu  d’importanée pour  donner^JË^tmt Ja  
 valeur  d3un  caractère-générique ;  à |U a   peu^p|^Comme  
 le nombrerdesbarbillqns. 
 En  étudiant les  dents  de  çès  siluroMes^,  on  leur  trçfûy-e  
 m e   grande  affinité  avec jcelles  des  synodàntis^tçe^i&j^â-  
 llpxion  me ^semble  démontrer  qu’il  ne -fautg^às'd^^aire  
 les ' loricaires  desîuutres  silurôidel, % quoique „nous , les  
 croyions  s’en  éloigner-par  plusieurs  déj leurs ^ caraaigrçs.  
 .On-est  surtout Æqnduit  à  les  rattacher  aux  silqr^ïdes^gar  
 le »pofeson  singulier  dont  nous  venons  de  d agrès 
 MM. HamiltonBuchananet jGray ;JLe sis or rhabàophorus,  
 avec  sa  peau nue^^sbouche'sans dents, ne*pqurrait pas  
 être  introduit  dans  la  famille  que  ljon  établirait jk^cdes  
 loric%irjes, ett  cependant  ôn;ne  saurait,  en  général, mieux  
 le.caractériser,  qu’en disant de  lui qu’il.est un hyp.pstotne 
 af.peau  nue  et. molle.  -Aussi la  pqnsidération  du  sisor,  et  
 celle des dents des schals, montre que les loricaires doivent  
 ië:si|r  parmis.les; silurfis^yjfèisant  un  groupe,  comme  les  
 clarias et les hétérobrancWs en font un, rattaché aux silures  
 propres1 par les sa|M©bTanchcs .ou  sïlurus fossilis,  Bl. 
 D’après^ nés  motifs,  je-n’ai  pas  cru  devoir ■»adopter  la  
 famille établie.par M.Agassizsousle nom de goniodontes;  
 car il  est impossible^de  ne pas, dire aussi  des  synodontis,  
 ots- inferum,  dent es tsetaceiy, -flexïles,. apîce introrsum ha-  
 matir.  ïèi synqdontis ‘ont  âussi la bouche  entourée  d’une;  
 Sorte  de  voile  frangé:}}’ i 
 La  similitude  de  la  seconde, nagédirev-et, les.  plaques  
 écailleuses  du  corps ^  paraîtraient  devoir  en  rapprocher  
 les  callichthes^qui  ne  peuvent'-cependant  pas  s’éloigner  
 des .dorâsÿ: et.quiâiènnékitaux  silurdid'es.'. ordinaires  par  
 ladibërté des mouvemens -et- des articulatipns, de l’opercule  
 etïdfeWutrés girèéesfde  l’appareil pperculaire. <  ' 
 Les, hété^branches  Q,nJ* iiçiontré tdes caractères qarticu-  
 l i é â  propres  à  eux,  qui ,në  se  .trouvent  plus! dans  les  
 a u>dfès i;siluroïde|i3 Les  loricaires  eiijj ont  aussi. de  très-ce-  
 marqua^ès?!  qui rrçaflpelientCeux  des  asprèdes;  leurs  
 prépnerculës. sont  immobiles  :  on, voit  cependant  deux  
 petites  plaques .détachées  du grand  appareil  operculaire ,v  
 qui  seifablent tenir lieurdf l’opercule et de l’interoperctile;  
 qSui-ci meme, dans quelques'éspèees,,ëst mobifeÿet porte  
 des  épines  pointues  et  crochues,  assêz  semblables'  aux  
 dents  du poisson..  . 
 La membrane branchiostège a quatre rayons.; le premier  
 rayon de ladorsalë^ïdé; la .^pectorale,  et  quelquefois  de-la  
 ventrale, est,osseux, dentel#i,eChérissé de.fortes  épines.  -  
 Çes poissons  n ont pas.devessieaérienhé : leur intestin  
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