■ avance un* peu plus que l’autre. Les bandes des dents des mâchoires
sont "larges ; et les dents en velours, mais fortes et pointues; surtout
les>'“antérieâ:tes.: La bande v'oméroipalatine, assez large aussi,
les a-en velours plus ras, et est divisée en quatre parties oblongues,
qui se touchent. Le*barbillon maxillaire,1 comme je l’ai dit, se prolonge
en~<un;filament 'très-fin, qui, dans les ’individus ou il est bien
■ conservé1,'atteint-*oU’ dépasse* les filets de la caudale. Le sous-man-
dibulaire extern^ Ou^qsÆw&ÈJ^d’épasse^sofûverit les> pointés dsi ventrales;
d’interne nedyacqùe jusqU'à’ base cté, la- pecyjrale. I^oeil
est;auimilieu deda l’ongUeUr^de là<tê^ëV près du plan supérieur j^sort
, :dian^ètr-e n’esqkguère^'que^d’unudloüzmmef de cette; longueur, et il
t jesLa quatre diamètres de son semblable. Les arifjces. de la narine
sont en ligne droifedâveû,l’eeil; l’anterjeur près du bord delà mâ-
*, choj|^d® pbâtérîèur au tiers de la disi^aripé du premier à l’oeil : le
p'rèrhier at un'léger. ffenordfeutre a*ùn trou ovale; tous deux sont
petits. !Le ^Crârie' ■ au-dessus dès yeux* forme5 un^casqueJ'à|Upèu près
■ carr®'; qui eriv&feen arriCTé dne^h^niriéncednterpariéta'le étroite,
presque défsa longueur,'unipeu.eehânclrëèau sommet, ©melle-reçoit
lcfp'©âhte.d’une,plâqueÂnteij§pin|usa; un peuempjilis longue qu’elle,
et qui s?4ll^gtt’en arrière; Ce.fcâsque et sa-proéminence,; qt le milieu
de cette plaque,' s$nt légèrèçaent.Rugueux,■ ainsi que la pointe de
~ l’huméral, qüi esï plus;longpçtpquèlarge et aupëV mais l’opercule
est l i s s e u t surplus fegèremen|^veiné.'‘Lepiiïe'>dorsale’ est
grêle, æ peine setesible’ment d'enteléë e‘n arrière!- Gêlle de’la pectorale
est' un -:peu qjlusf fHrte^it^'à? ‘dès dentelures pliîs ' prononcées, niais
^encore très-petites, âïpbord' plâffîieür.^L'es veiitralês sont aussi
longues que, les pectbiràles..tL’adipetts'e<, de moitié plus' longue que
l’anale çt.eoupée obliquement en avan&^-’abaisse, un peu de l’arrière.
Lorsque la caudale^ses filets bien-conservés, elle égale presque la
longueur ou reste du portes.
, B. 1,1; D. 1/6 J®'-' 13», en^ôtnp'tan.t'leV^' aiMifêTi&/C. 17; Y. 6.
Nous n’aMons pu rieâ jpjr deslyiso^res de vcet animal;
ils é ta ien t d é tru its y ;
seulement la Vessie aérienne restait^encore en place : elle est grande,
i5. ' 3