épaisses à tin dénombrement exact, il est d it, que Pce
pimélode cuivré a le corps irès-lôrig, €$ qui ne peut
convenir à notre piqueté, dont la tète n’est que quatre
fois dans sa longueur.
Le Pim. cuivré, a la dorsale arrondie , les gepto^àles ^©intuès||pa
peu en faux, l’adipeuse assez grande, les ye«xpetits, i ’im i f in e
jaunâtre. M. Lesueur ne donne pas les proportions de ses barbillons.
Le Pimélode FOüRcmr.
\Pimelodus fùrcatiis3 Lesueur.^
M. Lesuepr nous ja encore envoyé de la ^^pvelle-
Orléans un pimélode queue fourchue, qui a, comme le
Pim. catus, huit barbillons etrhuit çayqps aux ornes.
^gjSes formes sont plus alongéesj sa hauteur çstppèsde six fois
dans sa longueur ; il a aussi toute la partie., d.u .corps qui,vient
après là dorsale plus comprimée, et l’anale plus longue. Sta
et sa caudale prennent chacune le cinquièroe!de„sa'longûeur fq.ta.le.
La tête .est d’un qntrt'ftoins lat-gfe que longue! le profil descend
en hgnp droite ; le bout du mugeau ^ t coupe* en a$c de cercle
peu convexe ; la mâchoire supérieure dépasse l’autre ; ïa commissure
rie prend pas le quart delà longueur dé'la tête-d’oeil est Aussi tas
que l’angle d^ la hOuctê, èt'Idü diàrttètre^iS^syqtfë^fé^pl^tiié^dê
la fente de la bouche. H: y a d’un oeil à l’-àutre einq- d # iis dianaètreSi
En avant de l’oeil, est une saillie osseuse très^marquée^ qui appartient
» auvfipontal anterieur. -On voit au. travers de la, peau une partie
saillantesétfqitK du crâne, fendue longitudinalement et divisée- en
quatre en avant j sa prolongalion interpariétale paraît ajussi,^us
la peau, et va toucher de son angle la. pointe du premier interépineux,
lequel forme une^pièce étroite .entre l^téfpariétai et lé
crâne du deuxième înterépineux. Le barbillon maxillaire dépasse à
pèinë le préoperctile. Lés Soüs-iïfandïbulâires eri dût à peine irioltié,
'et le nasal moins dü quart. La production humérale est- du double
. plus longue que heutfi^pqi^ue.rtf^f^^îÿ.i'bdferen longueur^ sa
hase l ’est transversal cm eut. T/épine pectorale est fojpt%?qomprimée,
striée, tranchante au bord antérieur, dentelée au postérieur, du
huitième environ de la longueur totale; les premiers raydns mous
la dépassent un peu. L’épine dorsale est aussi longue, aussi forte,
moins comprimée, striée, dentelée seulement au bord postérieur.
L ’adipeuse est petite,.et’ étroite. L’anale ocgu^e un egpaq&de »plus
du quart ^ejla, loriguep|- doepoi^Qm «
, B, 8,; ELA/J: Â.JSl2v 3SoÿJi ; jCf
Nps individus, «nsçryés1da.n$, lu liqueur,, &qnt loçgs
de quinze et de dix-huit;poucesf, iteparaisseut d’une, couleur
argentée^ plus obscure versie dés,*
M. ^esnéûï1 nous paraît'-avtoir décrit cette*'espèce «en
j 8 2 9 'é dus le ' riom de Pim. taùda-fur catus (Mém. du
Mus., % |® j? gBfffi bien qu’il de lui #dbnne que vingt-
huit rayons à l’anale, ibecompjStr^-,naturel a cause de
l’épaisseur-des pnmnbr9n.es. .■
Il 4 it que dans l’Oihio cette espèce parvient .à une longueur
de dèux pieds; mais depuis lors il en a envoyé des
inmTmüs' de quatre' et de cinq jiiecîs, prisses uns dans le
Wabash, les autres^ dansle . ]\liss.issipi, èÿ|' pommelles
premiers, pimélodes bfeus, et les autres,;pimélode s bXpncs,
mais absolument semblables entre; eux et aux petits que
nèus vckons de décrire. Ç’est donc une espèce qui devient
très-grahde.
M. tendeur a "trouvé des "coléoptères et d’autres inseetes
dànsscm esloniac.
Le PpMÉLOîDE pORTE-FOURCHEi
(Pirhélàdüs fiiT cifer§ nob.)
Feu M. Leyaillant nouSi a dpnnéun pimélode de Surinam
très-semblable au précédent ( P. fu r catus).