
 
        
         
		2 2 0   L IV R E   X V II.  MÀLAC.OP.TÉRYGIENS. 
 vEinférieure«la bbucllé estpetiite, et ne {»rend pas moitié de la largeur  
 du'museau;  salèvre supérieure est un peu  charnue;  l’mférieme est  
 une  mcmbiane  réfléchie  en  ariicre;, ^.eÿcliacun  de  leursj angles  
 -  naissent'deux-barbillons.,  dont  la  l'açine  commune  recèle  le  très-'  
 cburt  os maxillaire,  et  qui ne  semblent  que.le  barbillon maxillaire  
 divisé,, en  deux.  Le  filet supérieur .dépasse un  peu l’oipé;  l'inférieur  
 est plus long et atteint au  milieu  de la pectorale. La mâchoire.s,upé-  
 .  ueure n’a point de dents  et celles de l’inférieure, sur une bande fpès- 
 ''leB®étlïent d%îfeqiëaü4isse jùsqtfaux yeux,' qui sont'dé «haque udté  
 près  du  bard?e‘xterne dtria fece supérieure ,  un -peu avant; te milieu  
 .  .de  la  distfefiçe  du  müseau  àdferne.  Leur  diamètre  est  à  peine du  
 dixième-de  la  longueur  de  la’tète,  et  ils  sam.;à.%£qpt  ou  huit  diamètres  
 l’un de  l’autre.‘L’orifidçpinférifitn-'^e  la  narine  est  près-du  
 même bord entre l’oeil  et le barbillon ;, le.ju^érieur est près. d.e^l’peil,  
 un peu  en  dedansj  tpus deux sont petits; 1 inférieur  seul.a un léger  
 rebord.membraneux! Le dessus  Se îâ lêt’ê  esT^pre et divisé, en neuf  
 ’■ éompartimens, dont un mitoyen, polygônè,  que l’on peut  appeler  
 interpariétal;déux triangulaires en avant, qui par un angle touchent  
 à  l’oeil  et  en  ont  chacun  un  petit ?ôyale  dans  une  échancrur-e  du  
 bord  antérieur; dans  leur ligne  d’union  est une très^petite solution  
 de  continuité .ovale,  deux  autres gcpmpartimens  de  cbaquç.côté  
 derrière  l’oeil  complètent  le nomly^.de neuf5: à quoi il fayt ^qnter  
 quatre grandes écai|les sur la. nuque,  en  triangles  dont les sommets  
 aboutissent  âu  polygone  .et  qui  forment  automùdé  lui,  avril  
 “huit compartiinens^dont  nous'venons  de parler,  un  grand^casque  
 plat  et  presque  circulaire. L’opercule  est  âpre  comme  ce  casque,  
 obtus  dahs  lè  haut  et  ensuite  en  are  un  peu  rentrant;  s a ’ partie  
 inférieure  se  replie  un- pèu  en  dessous.  On  ne  distingue* pas  le  
 préc^erculfe au travers delà peamiifsf'iqni  garnît laqmae j. ainsi  que  
 la  gorge ;  là  poitrine  et  lie  bas- ventre; La  fente, des ouïes n’entame  
 la  face  inférieure^»que  d’un  quart  environ  de  chaque  noté,  dt .la  
 meinbraùé  s’attache  au. côté d ’un isthme  fort  large.  Il n’y   a  que  
 s  trois rayons branchiostèges. 
 . L’os jde l’épanle a nn  prolangememf obtus et  âpre  au-dessus, de 
 la pè^orafo,*oeP së' recourbe uré peu-dans  l’aisselfe,  où .ihse  è#ù?re  
 de-la  peau  liss#de  la  poitrine.-L’épine  peëto'jrale  est  grosse, .légèrement  
 comprimée,  sans  dentelure,^ garnie;de  poils  rudes  etcpurts,  
 et  terminée  en  pointe  molle;  sa longueur  n est, pas  du  sixième,,  
 Souvent 'au;’plus  du  huitième,  de  belle  du  corps.  Elle .est  suivie  
 de'sept' rayons mous,  dont  la‘ face  inférieure  a  aussi de  très-petits  
 ®joife  ras.  La  doifeafe '-commence  a ltie rs , antérieur  ptfr  une  très-  
 -coùrte  épine,  et  a  sept  rayons  mous,  dont  le  dernier  double:  Sa  
 longueur est encore un peu moindre que celle de l'épine.pectorale,  
 et elle  est d’un quart moins haute  que longue; ses  rayons  diffèrent  
 peu  entre  eux.  Les  ventrales  naisseni sOùs: l’aplomb  du milieu  de  
 là  dorsale  et  égalent les  pectorales  en  longueur;  leurs  six  rayons  
 -  ont  aussi  des: poils -ràs  à  leur  face  inférieure!  L’adipeuse  est  sur  le  
 .  quart postérieur triangulaire; son bord antérieur est.garni d’un-.gros  
 ’ rayon pointu  et un  peu velu,, de moitié  de  la  hauteur  de la  qiuéue  
 •à  cet  endroit.. L’anale'- est vis-à-vis' 1 adipeuse,  d’un  tiers plus haute,  
 et  a  six  rayons,  dont  le  premiér .très-court;, le. deuxième  simple  et  
 vélu-  La  longueur  de  la  caudale  .est cinq  fois  et. demie  dans  celle  
 du  poisson;  elle  est  tronquéefet  ses! angles  s'arrondissent  un  peu.  
 Ses  deux  rayons  extrêmes  sont sun peu  vitù f > 2 
 N  B.  3 ;  B!  1 > l !   i f ? 'î» '?W ;  Y .  é. 
 Après  les  quatre^ grande^p^qe^écai^euses^de  la  nuque^  dont  
 npus  avoxisvpaçlèyll^e^y.ie^uunç> dq^chaque jcotç,  dpn^ Iebprd  
 'est  à peu près parallèle  àufeùivét lti-serie  s*éü çëminue de  çiraqùe  
 coté  du^dosJ jusqu’à'  1a  vingt-sixième,  apfèfc  laquelle  en  viennent  
 deux -plus petites,  puis  trois- formant  ensemble  un  demi-cercle.  Il  
 y: a  de  même dfe chaqrae  côtridu centre üné.série  de  rings* quatre  
 écailles  à  la  suite  de  l’humeial,  et dont  les  bords  sont  parallèles  
 aux  siens. Ces, deux^éries , ija*snpérieum et ^ 
 et sç*l»qisent unpétfsur unedi'gne^mfègnfi tom^e lon-g.du.milieu  
 du flanc», et,.qui répond;à!a,ligne,4at.ér.ale, en  sorte qu’elle^fbrfpent  
 au  poisson  une  cuirasse  en  même  temps  mobile,  mais  Cor»piètre  
 pour  chaque  partie  découverte^a  dans ,fe  seiis  longitudinal  
 leqùartdeleur hauteur.1 La dorsale commence-Ma troisième