454 livre am i. malacoip té rygiems.
L e PlB|ÉEQBE DE §ApiHj3lLAIRE
(Pimelodus M ildrii., ;
est une espèce, à longue adipeuse, VeRsque non"contigu
au fcpu.?çliei , lequel est p res que ;ij»yi^£j£^Qmme dans les
deux, précédentes.,^ ©Wqui leur Jcessetnble en ^beaucoup
d’autres points, et jusque dans la distribution des couleurs
sur sa ddrSàle ;
mais dont le casque est plus étroit*/il n’a en Jarggpr d|rri^e‘lés
y eux, que juste moine'de sa IcnguemA, à rides moins serrées, à
" produ^on ‘interpârretàle plus courte,, non ridqç : la dprsalp a?
huit rayons’ îqous, T épine pectorale est crénelée aq bord externe,
et presque pasdgnt^e qrnàterqe.
\ D. ï/%yL‘ | | B i l Ë
‘ > ISes bartiiiloni"nè devaient p^s 'beâércoup dépasser sa dorsale.
Ce* Sa mab'hoïre supérieure qui' dépasse i’amre s^<t©ûte|pïs Iby a
une différence.
La taille de-nos individus est 4i% neuf ou» dij^.pçpees.
jjBojqjs j^\devon;s à M.- Apgùste de J^ai^t-sBüairc. 11 ldi a
pris^dans les rivi|||s qui >Jilè jettent dàn* Celle de Saint-
François au Brésil, et Jes a entendu nommer jandi&ipax
les indigènes/Ce pont rappellq celui de nhamdia, donne
par Margrave à son bagre ,do R io, p. 149.
M. d’Orbignyên a aussi envoyé un individu de Monté-
Video! ^
L e PijwÉEChDE G®$le.
(Pimelodiis gracilis, nob.; d’Orb., Voyage dans l’Amér. mérid.,
atlas ichth., pl. II, figï 2.)
M. d’Orbigny a encore envoyé de Buénos-Ayres une
espèce assez voisine des trois précédentes, et qui a la méine
longue adipeuse,
plus’grêle, plus , petite (rile ne, passe pas neuf pouces)^ qui
a la tête plus|||Mt e, d’oeil rplus graud^fba- plus du cinquième de
la lortejiçpr de la tête3b les lqt|eaj3e,la caudale, surtout le supérieur,
plus ïongsi eVplus pointus TTe supérieur n’est.que trois fois et
derme dans la IopgueînHotale); dont enfin là solution de continuité
dut crak^rempnie^^Ti’â la Bâsé de la production interpariétale.
Ce Crâné ést* ridë'lfpé^üïièretnènt; ïs^mâêhdiré' supérièure est un
peu plus longue quél’aU'trei Lapine dorsale, plus forte à proportion,
?ést finement dentelée5 la pectorale'est.grtTsse, comprimée, eta des;
dents nombreuses atu bord; postérieur. ,
D. il|p vA. 12 oui 13 P> 1/8,;, Ji». 6., ,
Tout ce poisson d’un gris/ntoirâtre,.poesqrue,noir vers le dos
^Æt le long de ïa ligné! latérale, ta dorSale a une Bande-noire sur sa
''bâsë. Le reste dé son étendue estc^me/sçme a une'fine poussière
' aioire.
Nos, i^ividus ont de six à neuf p@uc.es. ,
M. d’Orbigny JéS a pris dans la, province de GQmentes
dans -le Parana les autres rivières au-dessus de a89 de
latitude-sud,‘ toujours au milieu Jes^gourans dans les
lieux'pierreux. Il est trèS-éôffifmin,1 étais se prend rarement
lorsque les eaux sont haütë&:,'On'le trouvé’en grand nombre
dans les mêmes lieux. II n^gè^^-iitè ,et fait entendre un
sort sourd lorsqu’on le sort de l’eau. Les habitans ne le
mangent point, à eaqse ,d^ §a petitesse,, et les enfans seuls
s’amusent le soir à le pêcher à la ligne. Quelques Guaranis
de Corrientes le nomment p ati, quoique eè nom, à Buenos
Àyres, appartienne plus particulièrement à l’espèce
suivante.
L e PlMÉLOpE de Pentland.
(Pimelodus Pentlandii, nob.)
«Nous voyons aussi cette forme de siluroïdes s’élever, dans
les Cordillères du haut Pérou , jusque dans les affluens du