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 L e   PlB|ÉEQBE  DE  §ApiHj3lLAIRE  
 (Pimelodus M ildrii.,  ; 
 est  une  espèce, à  longue  adipeuse, VeRsque  non"contigu  
 au  fcpu.?çliei , lequel  est p res que ;ij»yi^£j£^Qmme dans  les  
 deux,  précédentes.,^ ©Wqui  leur  Jcessetnble  en  ^beaucoup  
 d’autres points, et jusque  dans la distribution des couleurs  
 sur  sa  ddrSàle ; 
 mais dont  le  casque est plus  étroit*/il n’a en Jarggpr  d|rri^e‘lés  
 y eux, que  juste moine'de  sa IcnguemA, à  rides moins  serrées, à  
 " produ^on  ‘interpârretàle  plus  courte,,  non  ridqç :  la  dprsalp  a?  
 huit  rayons’ îqous, T épine pectorale est crénelée aq bord  externe,  
 et presque pasdgnt^e qrnàterqe. 
 \  D. ï/%yL‘  | | B i l Ë 
 ‘ >  ISes  bartiiiloni"nè  devaient p^s 'beâércoup  dépasser  sa  dorsale.  
 Ce* Sa mab'hoïre supérieure qui' dépasse i’amre  s^<t©ûte|pïs Iby a  
 une différence. 
 La  taille  de-nos  individus  est  4i%  neuf  ou» dij^.pçpees.  
 jjBojqjs  j^\devon;s à M.- Apgùste de  J^ai^t-sBüairc. 11  ldi a  
 pris^dans  les  rivi|||s  qui >Jilè  jettent  dàn* Celle  de Saint-  
 François  au  Brésil,  et Jes  a  entendu  nommer jandi&ipax  
 les  indigènes/Ce  pont  rappellq celui  de  nhamdia,  donne  
 par Margrave  à son  bagre ,do  R io,  p.  149. 
 M. d’Orbignyên a  aussi envoyé un  individu  de Monté-  
 Video!  ^ 
 L e   PijwÉEChDE  G®$le. 
 (Pimelodiis  gracilis,  nob.;  d’Orb., Voyage  dans  l’Amér. mérid.,  
 atlas  ichth.,  pl. II, figï  2.) 
 M.  d’Orbigny  a  encore  envoyé  de  Buénos-Ayres  une  
 espèce assez voisine des trois précédentes, et qui a la méine  
 longue  adipeuse, 
 plus’grêle,  plus , petite (rile  ne, passe  pas  neuf pouces)^  qui  
 a la  tête  plus|||Mt e, d’oeil rplus  graud^fba- plus  du  cinquième de  
 la lortejiçpr de la tête3b les lqt|eaj3e,la caudale, surtout le supérieur,  
 plus  ïongsi  eVplus  pointus TTe  supérieur  n’est.que  trois  fois  et  
 derme dans la IopgueînHotale); dont enfin là solution de continuité  
 dut  crak^rempnie^^Ti’â  la Bâsé  de  la production  interpariétale.  
 Ce  Crâné  ést* ridë'lfpé^üïièretnènt;  ïs^mâêhdiré'  supérièure  est  un  
 peu plus longue quél’aU'trei Lapine dorsale, plus forte à proportion,  
 ?ést finement dentelée5  la pectorale'est.grtTsse,  comprimée,  eta des;  
 dents  nombreuses atu bord; postérieur.  , 
 D. il|p vA.  12  oui 13  P>  1/8,;, Ji». 6.,  , 
 Tout ce poisson  d’un  gris/ntoirâtre,.poesqrue,noir vers  le dos  
 ^Æt le long de  ïa ligné! latérale, ta   dorSale a  une Bande-noire  sur  sa  
 ''bâsë.  Le reste dé  son  étendue  estc^me/sçme a  une'fine poussière  
 '  aioire. 
 Nos, i^ividus ont de six  à  neuf p@uc.es.  , 
 M. d’Orbigny JéS a  pris  dans  la, province de  GQmentes  
 dans  -le  Parana  les  autres  rivières  au-dessus  de  a89  de  
 latitude-sud,‘  toujours  au  milieu  Jes^gourans  dans  les  
 lieux'pierreux. Il est trèS-éôffifmin,1 étais  se prend rarement  
 lorsque les eaux sont haütë&:,'On'le trouvé’en grand nombre  
 dans les mêmes  lieux. II n^gè^^-iitè ,et  fait entendre un  
 sort  sourd  lorsqu’on  le  sort de  l’eau.  Les  habitans  ne  le  
 mangent point,  à  eaqse ,d^ §a petitesse,, et les  enfans seuls  
 s’amusent le soir à le  pêcher  à  la ligne. Quelques  Guaranis  
 de Corrientes le  nomment p ati,  quoique  eè  nom, à Buenos 
  Àyres,  appartienne  plus  particulièrement  à  l’espèce  
 suivante. 
 L e  PlMÉLOpE  de  Pentland. 
 (Pimelodus  Pentlandii, nob.) 
 «Nous voyons aussi cette forme de siluroïdes s’élever, dans  
 les Cordillères du haut  Pérou ,  jusque dans les affluens du