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 une  sorte4 de broderie  agréable  à  l’oeil.: 
 Le  barbïllon 'maxillaire  »’atteint  qu’au  milieu de  l’opercule;  les  
 soüs-mandîb'ulâires  ont'  un  tfcrè'  de  môins.- Les  dents  sont  en  
 vélôÉfs'  ras';  celles  du  palais  oèdùpem déïrx :ès^aees; OValeé-mé-  
 diocres,  biek  séparéS. Les épiti& Sdjÿi?ilisSézvfortes, finement  dénte-  
 lées  aux  deux bords,  légèrement  striées ;à  leur  suifàee.  L’adipeuse  
 est  aussi  grande  <§ui  l ’ânaïe;  les  mies  dé  ÎS  «küdale  spnt  assez  
 pointus,et  du  cinquième  à pfeiï près  de  ïadènguéfièji» ' 
 ;  B.  6; D.  l/t;î41  19yCr45;B.  î /l i  ; V.  6.  ! 
 Il  paraît, 'dans  la  liqueur,  argènté ,  plus  ou  moins brun ® |rs lâ   
 tête et l’épaule; il y adu noirâtre au b<ârd de l’anale et de la caudale. 
 La longueur  de l’individu  est  de  six.pouceTs  et  detiii.  
 Nous  croyons pouvoir placier  ici aine  espece  de  l’Amérique} 
  qui  a aussi quelque chose de singulier dans l’armure  
 de  sa nuque, 
 -Z /A r iu s   blanc , 
 (Jr iu s   albican s, nob.;  AtJ.ichth. de  d’Orbig., Y o y.  dans FAmér.  
 mérid.,  pl.  3-,  fig." 2'.)y 
 et qui est vulgairement nommée  b a g r e   b la n c  par Çes Espagnols  
 de Buénos-Ayres. TÈllle  se  distingue  des  précédentes  
 par  sa.tê^e longue,  étroite en  avaÿ, par  sa grande plaque  
 interépineuse,  tet  surtout  p,ar  ses,dents  du  yomer,  dont  
 e lle   n a  que  deux  très-petits  paquets en  avant  dû  palais. 
 Sa -tête,  mesuréecomine  àTordinaiFedu  museau  à  l’ouïe,1 ^est  
 quatrë  fois  et  deux  tiers  dans  la  longueur  totale;  du  museau  au  
 bout  dé  la  production  interpariétale,  elle  n’y  est  que  quatre  fois.  
 L’oeil  est âu milieu  de  la  première  longueur;-son  diamètre  est du  
 neuvième  de  cette longueur,  et  il y  a  trois  diamètres  et  demi d’un  
 mil  à  l’autre.  Mesuré  derrière'l’oeil,  la  largeur  du  casqué  est  trois  
 fois  et demie  dans la distance du bout  du museau au  sommet de  la  
 production interpariétale, laquelle a sa longueur  aussi  trois  fois  et 
 •demie  dans*' cells-$etiesnidipp; vqq^LpIus  Iongue,q.yi.ff,large-  La  
 plaque*'inîterépineusg, ÿlejnbi|jél moins  langue.que  cette  production  
 , es vj f igur emi -el l ipse, d’un  qprt, plus longue que large,  
 Obtuse  ,en  ava^t,. qqnpéê  ,ani]ièrj5  ep, dfmi-cercle,  et  augmentée  
 .àîçhaque angfefFun pej^làe.appartenanLautçoisième interpariétal. 
 Sa  surface  ^ g^uJâiioùX sef^ees-;' le  crârie  ést  granulé  de  
 même  jusqu’à  îfipitt’ëjxlisi an c e  de  l’oeil  au  bout  du- museau^, sauf  
 -  uttè'iéhâ.iférur"é médiane«  quij^eVetjfaïques  entre les:bords posté-  
 '  rieurs’*des* yeux.  LeJ surseapülaire * aîaûssi  sa .surface»  granulée;  et  
 est  séparé-extériefireipent  du mastoïdien  pan uu petit intervalle i é   
 p^au^|t^e.j La ppjpjte.dp Flmméral  gsfcplqs; lOngue que large,  aiguë  
 et-granuîée comme le  erânle ^l’opéreule, a je s   st^s|typmqn?br eus es  
 et  trèsf-serré,es.  .Derrière-  l’oeil > est-.encore  un.  petu-( squs-prbitaire  
 granulé:  fe  museau  est  comme  tronqué,  chaque^mâchoire  a une  
 lar|e  bande  dé  dents’ eil ^éîbi^h  ^  'deux  petits/grüupes' dont  
 j^parléj*  voient Réméré, la  supérieure. 
 ;Le.‘harbiüon maxilfaïire^^l|)^sSe''les .^eMrales ;  le  sous-mandibu-  
 llxré externe  atteint presqué.à; la< pointé, desipectorales.  Les  épines  
 . '.littorales  et ventrales -oxydes fcotésdisses ,.et un  rang de granelures  
 ! ,iau  bofrd  antérieur,"  La ' âprsalp.  égale  la  hauteur  du-.corps,  et  n’a  
 presque ^pas/de^ dents sensibles  au  bord’ j^sténieur; màis  celles  dp  
 la  dorsale  sont àssez  fortes  et très-nombreuses.(mp&'de, cinquante);  
 les  ventrales 4 sont  plus  courtes *• que-"'  lés  ‘pectorales.  L’adipeuse  
 t  piendf pkié  du  sixième"de% la  longueur .totale ;  l’anale  est  plus  de  
 deux  fois plus ^courte, mais  deux  fois plus haute. Le lobe: supérieur  
 ■  de/Iacàuaalé  dépasse  l’autre. 
 B. >9C;  D.  l*/6; A.'10'ou  11 ;-G.  1 T ; P.  1 ^ ’rV.  6. 
 A  l’état  seo.Ge  poisson  parait  fauve  ou  jaunâtre,  et  a  le  dessus  
 teint  de  violâtre. 
 L'individu * est long  dè  vingt  et un  pouces. 
 Selon  M.  d’Orbigny,  à  qui  nous  le  devons,  l’espèce  
 atteint ou dépasse deux pieds. Elle se  rencontre  en abondance  
 dans  le Parana depuis  le  26.®  degré  de latitude, et