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 egalement  velu.1“'* 
 Le squelette  des plotosçs, que  nous avons  étudié  dans  
 cette  espèce',  présente  qqdques  caractères  qui  lui. spnt'  
 propres. ** 1 
 !  Son* crâne est déprimé i  fet a toutès!sès  preces  solidement  j ôiritès ;  
 à .peine yi iHfil une petite solution de  continuité  entre les frontaux  
 en  avapt;  ùn  y -voit  une  forte  et  large  dépression,  qui  s’étend  
 fclepms  l ’ethmoïde  jusque  sur  le  milieu  des  frontaux  entre  les  
 orîitesc Dans  l’arcade  ptérygoîdienne,  l’os  qui  représenteJés* deux  
 ptérygoïdiens  est \(hvisé£  au  contraire  des  autres. silures,  et  sa  
 p.o.rtxon  supérie&^ë's’àrticule  aWc-'ïeérânè  au  noté pu  sphénoide 
 antéjjkur,  ÎAntetmriétal  ne  dopne,  en  gr^ère»  qjVune  petite<é©o-  
 physe pointue, qui  se joint  a  un petit  filet appartenant  au  premier  
 intérépineûx,  et  aboutissant  au  chevron , formé J  comme  aTordi-  
 'cÿâi0 f  pàr  le'âéuiieniè  et le 4réislème cfièvroh,  dont  les b r ® ® e s   
 sont  fort  é tro ite s ;^ e st  supporté  par  une  apophyse  épineuse, 
 } fourchue.  de la  première ou  grande  vertèbres  L’apqphy^ transvase, 
  antérieur^ <fe  pette  vertèbre  a  son bord  d irî^  vers  lç  lm-^ et  
 ^presqUjè^Vertical.  Le  sufscapulair«  y   appuie  sa  ^rapçhe  inferieure,  
 cëUe  qui  ahîra^au.ïfâsnaire.^^ Ànrèsda, granpç v^^hrè  |1  en jtΣn|  
 treize  abdominales,  dont  là  cinquième,  là  sixième,  la  septième  et  
 ; la  huitième  sont  remarquables  parce  qu’elles  sont  çomprqnées  
 verticalement  etjfourphues  au. bout,  et-qu’elj)è§ portenj  des  cotes  
 larges  et  comprimées,  suspendues  à  leur branche  inférieure,  Les  
 apopbyses  tran,syer§es  4ésÇwPent  de  plus  en  p h ip e t   celles  des  
 fieux dernières  sont ipiqtes ,pap une traverse..Les vertèbres Caudales  
 sont  au  nombre  <fe  ^qi^ante  pu- soixante  et  une,-  foqj-es  munies  
 d’apophyses épineuses, sbpérieàres et inférieures,  longues etgrêles.  
 T,n  derrière,estja  plps petite,  pt nullement  çp  éventail.  Le  dessous  
 de  la  ceinture de? .émules  q$t «fort  large. 
 Elle,  nous  a  été  rapportée  ae  la  côte  de  Malabar  par 
 M. Dmssümiërj fet dë PbndidMëïjr Jtafc-^Belangér. 
 de  quittée pottees. 
 ■ -M. Dussumïer ajoute aux renseignemens qu’il a recueillis  
 sur ce poisson y’frais, qu’il sert dei nourriture  au peuple  de  
 Bombay  ët  de Mahé. 
 Le  Plotose  kaki. 
 UP,lotosus .camus,  Bucban.) 
 Le Bengale  produit  un plotose  d’un  brun,  fonfé^à peu 
 près uniforiue, que M. Hamilton Buchanaû ( Poiss. du G-.,  
 p.  r42, et pl. X Y ;^ # 'H 4 )'a ^ y  dôWâître  ét notiimêplo-  
 tosus canius. M; Belangér nous l’a enWyô du Bengale. 
 Sa  tête  est  plus déprimée  qu’aux Wtrës 'espèces, et*sôn'corps  et  
 ses Ÿlntacuîes^pb? plus  longs.  Sa hauteur  esrdix fois  dans sa longueur; 
   sa tête,  contenue cifaq fois1 dans  là longueur du  corps,  a  en  
 largeur  près des trois  quarts  de  sa propre longueur,  et  en  hàuteur  
 un peu moins  de  moitié.  Son oeil,  un  peu après le  tiers  antérieur,  
 a  le  huitième  en  diamètre,  et  est  à  quatre  diamètres  de. cçfoi  de  
 l’autre coté. Les barbillons nasaux,'attachés  entre la lèvre et l’orifice  
 supérieur de la narine,  sont aussi longs que la tête,  et atteindraient  
 du  dépasseraient  un  j&u  lâ  nuque;  les1  ttiaxillàirés  atteignent  le  
 bout  de  l’opercule;  les  sous-mandibulaires  externes  les  égalent  en  
 longueur;  les  internes  ont  un  fiers  de  moins.  Les  lèvres  sont  peu  
 épaisses, et n’ont que peu de papilles. La queue est fort’pointuef du  
 reste, tout est  à peu près comme ckns  la  première  espèce. 
 B.  12 ; B. i/4 - it2 2 fe .  \ z {L ,109 (t. 2tl)ÿ Pv 1/3; .V. 12/ 
 Le tubereule anal est long et grêle, plus que dans le PL  limbatus.  
 Le  tubercule  ramifié  est,  au .contraire, beaucoup  plus  petit ^mais,  
 comme  dan sfés, autres, djvi,sé  en  deux  faisceaux  principaux. 
 Il  paraît'tout, epfier  d’un  brun  noirâtre,  et  seulement  un  peu  
 plqs pâle  en  dessoq^  lïe  frais  est  d’unf^iv.âtre  foncé,  avec  une  
 légère  teinte  violette.^,,, 
 Nos exemplaires sont longs de treize ponces j mais l’espèce  
 a souvent trois pieds, et quelquefois quatre et cinq.