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soul^e; par la q u e u e n ’agit point ïfpe qui s'expliquerait:
ass^Kifen ^ r fpettè fiii^nstâncé que la membrane. nx;t?ér
rieurë.dé P^gajjte électrique finit apr*è&Lanale, et ne Va pas
plus loin sûr la queue.
Il n’est pàs^^©lslwë <qûe' ce - poisson soit très* grand
pour prodûird^un effet sensible*. M.JLe'IPrieurnous q$j&ayiÉ
quun individu dësept’ppuces, du"Ssénégal, donnait delà
^es -commotions
La chair du%ialaptérure*fè mange, e ie st même plus
estimée que celleTde lanlugart^es siîuroïdes® j mais A dan-
son croit que*, maigre soit bon'goût, elfe' n’estl|pa|^gale-
ijaent saine polir tout le*n^nde,3
Je ferai remarquer que le silure électrique du Sénégal
a les tachélplus nîaVqi^ees*, et souvent moïhs nuâfeuses que
celles^des’ individus pêcMl^pii^li Nil.
"^pËS': AILIA, -1
e t en p a r t ic u lie r d è /’A i l ia É eng^ e^ s i s , Gray.1
. AI. Buchanan adéçrit, maïs non figuré, un poisson des
eaux douces du Bengale qui a .de [l’affinité^yec le sjlure
électrique propre n i t r i q u e pen ce qu’il n’ai; comme lui
quune nageoire ^ipéusbi>mais il l’èn distingue par plusieurs
autres car-litétés»
M. Gray ad^nné de ce poisson une figure, pi. Ill, fig. 2,
de la premïlre livraison de la? Zoologie indienne du major-
général Hardwick. Cesf à l’aide ||êpes document quemous;
allons p a fl^ ^ ^ g e pdissôn, pÉiït M. Gray a indiqué-àm
J. Forsk., pag.- 1 6 . -
Forsk., pag. 1 6 ; îsid. Geoffir,, ad malapter.
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nom sous-génériqué que- nous adoptons, (fommé celui de
céi, nquveau ge^ëJfïv.j
. Par l’ensemble, il/rappelle beaüç|mp le Scbilbé^qudné. Tout son
jgQrpslIit comprimé^presque comnjâ une-lame de‘couteau; sa petite
|ète elle-,uïë(ne est; assez comprimée, fq
to-'Sa hauteurs à la Igafesance de l’anale, ë'stîeinq.fois et demie daqs
la longuesm^tbtale,*. et-fson ép%is§eur'quatre fo&'dans sa hauteur.
-La.Mgûe de son verÊre* est pïùlimmvex^que.,celle ae sqh dos.La
longueur de SE?Hète est sept fbisd'ans.sa longueur totale; à,la nuque*
eue -^ft Æun tierl, mopis haute que longue,,; et de moitié moins
» laTr^^!juff’’liawæ. Le profil AèNfcà* tête* MJ&ntinue en ligne .droite
ïvec le ddsk Lé& mÉrehorres sofit ayàeuprëPegales. La touche prend
; ;,|t pane plus*d’un cimjuiènje$dipda^ldrigueur de ïà tête, fies dents,
ta&E aux ma,'Ôhoir®' quah p^lais|,son,| presque imperceptibles. L’oeil
est derrière la^cammissipe^êt^unlpeïi pliA bis ,-et a le quart environ ,
de là lçmgueur dê.'la lêtevrn,dîàmèjfe. Les huit ^barbillons, à peu
près égaux entre eux^tCrétins, atfejnent presque à moiipfdê la
- ;Ic>ngueur du cqrps. Lafpe,ctÔrale ei/jïf lqjseptième ; les ve*ntraies,
sôus T& tiers postérieur pectorales,, n’pnt que le quart <^e leur
longueur; e^&sorte qu!e, dans le '^y^tème linnéen, on pourrait
•regarder ce' poissôn ëbmme thm’a,ëique. L’anale'commence sous
. la pointe des petto raies, auïquart intérieur de la longueur totale,
et en! qègûpe,près >de moitié; -la caudale en prend un,cinquième,
•,; ejt est fourchue,'à*lobes pointus. La très-petite adipeuse est un peu
en arrière du tiers .postérieur.
D.s—fOj A.,.T2|J5. îJ ^ P I ^ / iS j Y. .6 . •
Tout ce poisson paraît urgente, ulp peu plombé sur le dos, et
ayec qn peu-de.noirâtr^Veis le b@rd postérieur de la caudalç; ce
sont aussi les couleurs du frais, ^élon M.’ Buchanan.
Notre individu est long» d.e*cinq pouces et demi, et
l’espace n’en passé guère.sept.
Elle habité les eaux doqpeètdu Bengale, et est réputée
pour un bon manger.
FIN Dtr TOME QUINZIÈME.