LIVRE X VIL* MALA GOPTÉRYGIEN S.
se distingue parce que son casque a Aes .grains bien plus.gros, bien
moins nombreux, et distribués plus «illégalement et non en rayons
réguliers.
D. 1/ 7; A. 20, »etcspV
L ’individuriaa que six«pouées est-îdlcoioréx r?
xL’Akiûs vEiWEQ,i‘
, (jiriu s; venosits, no|),).
est encore à peu'près de la forme des préeedéùs pour la te te;
hiâis le casque n’a qiiB peu de grains épars; ses branches externes
né montrent qüe des veinés, qui s?Éféfidéntf éëmkrïé dans'lfes pré-
èMénb Ùempételë^'hàüt deTêpëéëùlê,?ët; iiqjlqfosUr fie:
scapulaire' et;une grande partiefflu tronc au-,dessus;-,et aufedessous
de la ligne.latérale. .Sa :mâçboire;supédeni;e,ayanpe.;daY^n.tagejcsçs
dents sont plus, fortes et presque en^arde§,rtant aux ..mâchoires
qu’au palais, .où- elles occupent des espac.es;plus petits;et seulement
ovales. Le barbillon maxillaire atteint atrç deux tiers de 1’épine
pectorale ; le ïès
jpines^ plus ■ faibles qu’aux déüÿ
; au bord antérieur, sont presque lisses râleurs feëës. ite!^Ê)fiSale n’a
presque paâ de tient# * sensibles; cellesf^g la, pectorale sont fines,
mais pointues. L’adipeuse est. ,de moitié plus courte qug l’angle;
les lobes de la caudale» peu aiguës, ont lé cinquième de la longueur
totale.
B- 6g;D. l/Igr A4 20^Gx^l5g ;^ I ^ 0; 6. ï
Sa couleur est-un bel argêrité teint de gris-brun vefs lefid'os. Toutes
ses nageoires .pararssént d’ùïi 'gris pâle.‘
• î^ous individu de ’neuf pouc^f;',rapporte’
de Rangoon par M. Raynaud. JNoupcroyojis pduvôir
en‘r|p|>r6cliér une figuré faite à ManiHe/ebqiie nou^afùàs
trouvée parmi les dessins de feti M. de Mertens.
Z ’ArTUS? A1 NÔEUl).
s j (J!rius'nodqsit&» ÆQfe.; milujcmtnqdpsus, Bloch.)
Le FSotLsn’fe^ûonte spécifique
que nolMuÊ conservôns^ paraît devoir venir ici, et pourrait
bien meme appartenir à> l’une des quatre éspècêsj dont
nous venons de parler,; mais Ja ,description que Bloch en
donne est si incomplète ’ët^sà figuré si peu intelligible en
ce qui concerne le casque^qual ,tist;diffiçiie,de.prononcer.^
Rloeh layait. j^eçpAe T^anquebar, ertvl’a,yait appelé ncçud,
à cause, ifit-iL, des* noeuds, dç la base dé,son premier rayon
dofsaJk^jf -s^ikvOiqM^s^iteite1 fitifÇi entendre le croissant'du
premier- inteT^>mrèux, et-dG«* rayon • court ou eq
mais cette
cbnforination na rien-dë’ plùs extfadrd'inaire que dans les
espèces dont nous*' vendus de parlef^ni même; cfëris la
figure^que^BlociL. donne fte son" silyrus nodosus, que dans
une infinité d’aqtr£S? silproïd^Sj.; ,
Il donrifepoiU#«®mbrésè«ti
mais1 jcJisoupbonne quil 'les Wrà comptés sur un individu
dë^ccne. J:
iL’ARi‘US • d e R e l a n g e r .
{ArJusÀ B elan g erii, nob.,)
Indes,
un,petit ppjiss,QfljQng de six.p,puces, rapp.orté de Bombay
rl l à k- têtémitingé^ilftrès-fines granulation^j ciselée principalement
sur la plaque interpariétale, qui'est très-étroite. Le chevron