LIVRE agpffc MALAjGOPTÉRVGIENS.
B. Ar Bt; 1/fi; A. .1^6 g,£Lj 13-ü P.
lia peau qui. recouvre ce ppisson est nue ct-:sans,,auçune trace de
jhmir.li ers osseux sur aucune partie du eûrps. Elle est molle. couverte
x • de fines ^Éanul^ti^i^pnpcipde^ent sur la tçjt% Elle tient aujgorps
par un tissu cellulaire flasque et lâche., La. ligne latéral^ est marquée
par une suite de petits traitSjélgyés sur le;nû}ieu d^^ô|^s.La coul|ur
est un^gris cendré, maxhré de noirâtre; en,dessus. ; '
(Ta sünrnïflp. n’a pas de jmame natatoire,,et le reste de sa splançh-
nologie^slFi-e. par sa simplicité plusieurs traits curieux. L|oesqphflge,
•. assez,large et plissé, en dedans,;su>prplUngeh | un estomac vomique,
donnant une branche unorttaxxtea^^ccaffitte^ fermée par le pylore.
Le dundéraim ^ qni sjflppnie s^ |é p q t | dRgi^del’èstqntacj repygpte
vers le diaphra gipe .ets e contourne en^se dilatant un peu poaupasser
sous roesophagefderrièj^çgtfe c loi^li; et.de îidf, pgnabinTOStinal,
d’ailleurs assez grêle, se rend droi^à;,l’anus. Le dnpdénjuii ;est un
peu dilaté près de/l’^tomac. Lejioie estj très-petit et situé sous le
duodénum. Il est réduit à un seul-lobe :droit et umque. La rate «est
mince et aplatie à gauche de l'intestin., Les reins sont larges et assez
gros, et remplissent surtout la cavité laissée de-phaq^ cpté^de la
grande vertèbre, qui p .lgtcorps cQurtss^% i}rnÿ a paSy^^àÆlllori
spr les inter4pineux., e e s^ in s se racdourçissi^tibiémqt , pp donnent
par de très4QQgGt.v^tèresila|i^^qj^dé. «râ^alre a langée^|^®ite.
Les laitances du.seul individu que j’aie vu.et que.j’ai disséqué-; sont
deux rubans grêles assez longs. Le péritoine est fin et noirâtre:
Je n*ai pu fairele squelette de çe poisson j dont jM ’ai
jusqu’à présent^ qu’uq'seul individu, long dé'sêpt pouces
et demi.
L’on mange cette espèce , dans le liaut Pérou, et elle y
est fort estimée. Elle ne vient p,as_des:affluens du lac de
Titicaea,1 car M. Pentland m’a dit qu’il fallait la . faire
venir dé loin y et l’enyoyer chercher à la mission de
Santa-Anna.
Z/ArGÈS DES CxCLQPES.
(A r g e s . Oyclopum; jPimelodus GrGlopum , ïiumb., Obs. zoohjfe
tom. I , pag. a i , pi. v n . J
L’espèce décrite et figurée par M. Alexandre de Humboldt,
doit, comme je l’ai d it, appartenir à cegenré. Il
est probable que lg%dents seront semblables à celles du
sabaloïjr par iceUelï^ u Bronim prenadilla > dont je vais
parler dans l’article ‘suivant,-..sont aussi, les mêmes que
celles-du poisson de M. PendamL Les affinités entre ces
deux êtresî sont assez *grandes p o u ^ n e pas hésiter à
adm^tre la sîmiïïttide ^ e s dents.
La dfSiCripMqll; qui v ^u iv re ëst extraite du travail de
M. de Humboldt.
| Ce poisson a la tête déprimée, le-tronc un peu comprimé ; on
eu. juge très-bien par L rfi^ re . I^b@uclié, très-grande à l’extrémité
du jmuseaîu, est garnie de .très-fines dents. Les yeux sont très-petits,
sur, le d,essus de la tête, et placés ver§ ,le milieu. Les narines sont
tubuleuses. Les nageoires ne paraisseoppas avoir les première rayons
prolongés en filet. Les rayons branebiostèges sont au nombre de
quatre. Ainsi, voilà la formule des nombres de rayons tels que
M. de Humboldt lès a comptés.
1 B. 4;D. 6 — 0j À. 7} C. i2} P.!lf; V. 5.
L’adipeuse est petite, et plus haute que longue ; différence spécifique
notable si l’on- compare cette nageoire^a celle de l’espèce
précédente.
Tout le corps est couvert d’une peau sécrétant une abondante
mucosité; la couleur est olivâtre, mêlée dfe petites taches noires.
Ce petit poisson est long d?environ quatre pouces, et
M. de Humboldt en . cite des variétés qui ne paraissent pas
dépasser deux pouces. Aurait-il vu parmi ces variétés notre
brontes prenadilla?